Messaline endormieau sein des symphoniesla muse lierre de fards paréeénucle la face grise de l'ennui. Au son des cymbales et des olifantsle cavalier de Trencaveléclaire d'une épée de feula meute qui le dévore. Ici point de lanternepoint de carabistouillesau gré des passionsjuste quelque oracle inaugural. Demeure le petit hommeaux callunes assujettiaimé des dieuxà l'immense tendressedestiné à prendre son envol. Petit hommepetite femmetournent l'horlogependulant leurs véritéssociales et planétairesà l'ombre d'une vie d’exil. Dans cette inextricable toiledes meurtris venus à termerien à direhormis le silence. ( Céramique de Martine Cuenat )504
En lisière de forêt saol la vie secourable la vie en offrande la vie giboyeuse en amitiés la vie qui se faufile et que rien n'arrête Un carré de verdure où poser ses pas une échancrure si fragile que le regard même trace les courbes de l'avenir Une flaque d'eau D'avoir marcher devant soi vers la nuit libère l'espoir de ses convenances Reste un sillon de lumière où béance tenante choir sans retour arrière sans pomme de discorde une corne de tendresse en plein cœur.
Bhí an madra ag rith sur le chemin des bergèresentre les fougères accoutumées. Navré de devoir frapperfear dathúil mar sin ag an carotid. mam os comhair bhí ar athraíodh a ionad ar shiúl en simulation d'être pressée de rentrer.Bhí an bháisteach ag gol agus pricked an aghaidh une brume nous recouvrait. Bhí an taoide ag ardú d’fhéadfaimis an surfáil a chloisteáil frapper les dalles de granite. Bhí an ché tréigthe mairnéalach ina bhád beag gnólacht sculled feicfidh tú muirear ancré entre les jetées du port. ( péinteáil le GJCG )502