Tearcairveidhlín anamAg fanacht le heolas .Mór i gcoinne an té a luíonnAn síol beag seo .In airm Doirteadh isteach sa chéid seodeachtú dúr .Tearcair Ag féachaint ar cheamaraTá an crann ag croitheadh .Mórde phointe díoltaisDíreach an fad .In airmgo bunúsach fuarTaiscthe ar an tairseach .Tearcair Easpa teasaSioc ar an talamh .Mórgan taobh thiar den chnoc Mount na hoifigigh .In airmPas a fháil sa traein mhianaighLeanann na rothair sin .TearcairOs comhair an MausoleumBláth sna blianta atá as dáta .Mórgan solas nó ceolslam na oriflams .In airmAn epilogue grozenAthruithe ar Mystery .Tearcairde roic gan roicCas an Grand-Roue.MórTéigh go dtí talamh na marbhLuibheanna glasa sa lámh oscailte .In airmTá an tsúil i gcodarsnacht leis an imleacáníonach.Tearcaircheana féin saillede na heyelids a ísliú .MórLuibheanna fíochmhar flugal flugalBoilgeoga airgid báis .In airmAisling adhlacthagealach -clear .Tearcairspallaí forleathanFaoinár gcéimeanna luaidhe .Móriontráil luathLe caipín labked .In airmtimpeallaithe ag crios mórBuail an fána .TearcairSa ghrian paradisTá focail ina seasamh .Mór Sans aithríI log na dtailte bána .In airmAg imeall an phoillshovel an t -amhanta seo .276
Jacasserie des mots en impertinence au fruit mûr de la mutation la parenthèse moderne se ferme puis s'ouvre le pas nommé.
D'isthmes en lagunes la mer creuse les reins de l'onirique sapience d'une rationalité tombée en déshérence .
De Dieu parler par évitement brutaliser ce qui requiert sens et passions reflétant les bavardages faire l'éloge de la raison sensible .
De la paille pour les vilains sans écrit sans parole l'exemplarité en perspective la mule passe le gué.
L'imaginaire et le sacré prennent des voies détournées en perversion les pulsions pullulent capillarisent le corps social.
Suivre le chemin descendant au sacramentel des rencontres sportives aux zéniths enchantés le matérialisme transcendé.
S'organisent les faits de reliance en l'odyssée de l'empathie sans quantification ces formes meilleures .
Ritualisées par le bénévolat en générosité les émotions collectives déclenchent des allures liturgiques .
Musique piano aux piverts enchanteurs le visible gros de l'invisible rappelle par digression le son grave du discernement .
Croissance harmonieuse des monastères le grand silence paradoxal au bruité des racines saillantes renouvelle les eaux de la jouvence.
En désaccord ces deux sociétés l'officielle redondante et l'officieuse passe-muraille en décalage d'intuitions inopinées.
Se purger des paroles illusoires s'asseoir pour trouvant ses mots le verbe à porter de main pallier l'incantation banalisée.
Mots et choses mise en pertinence le Vrai matrice fécondante du paradigme manifesté secouant de poésie et de mystique mêlées l'entièreté de l'Être .
Le muet du Mystère à découvert communion des silences ailes déployées dans l'azur compatible cette aspiration à être heureux en errance tendre juste l'instant de notre vie .
Pastille sèche à la mentheaccroc accord et rythme rebellesà l'entrée en scènedu spectre éructant . Mauvaise affaireeffet de manchecadavre exquis posésur les mots membranes . Que brassent les corpsaux trémolos des courses en forêtacquises - point acquisesil se fait tard - il faut rentrer . La calme erranced'une quête aimablese mue sous le ciel étoiléen butinantes considérations . Au marché de plein airse vendent chapeaux et chaussurespar dessous les chausse-trapespar dessus l'accueil vernaculaire . Les poulets sont plumésles lapins dépouillésavec tambours et trompettesla peur et la mort en visite . Pommes , jonquilles et mielen cercle - immobilesaverse de printemps - couteau repliéavant la découpe du jambon de cocagne . Fines tranches de viel'essence bien plus que l'existenceécoute sageentre amis devant le feu . 272
Massive attaque des chutes de mots en naissance du jour flèches de vérité .
Cahotant en chemin de sable et de poussière la carriole hoquette la mayonnaise prend .
Que m'importe les clés l'avenir n'a de fin que cette mise en bouche l'espérance abrégée .
Déversoir à point nommé le ruisseau sourcille dru dans le ravin des emmurés au souple écart d'un flux de mai . S'en remettre à la vie tirer fierté du fait exprès ignorer le piège des offices être l'élu inconnu .
Un sac pour cela les mailles laissant passer la mousse et l'élixir de tant et tant d'amour .
A cru sur le dos de la rosse embrasser la queue du mickey en descendant la pente herbue jusqu'au torrent des attentes .
Sceller la lettre et l'esprit appel d'une nuit d'ébène ouvrir la talentueuse bedaine ... de neige fine .
Cette nuit à venir à vivre en chair et en pensée à renverser les murs pour se faire comprendre .
Se recentrer est au carrefour de belles conquêtes .
Faire apparence est putréfaction annoncée , levée de la porte infernale , artefact des anciens désastres .
Attention le nom imprononçable est ce tombeau mouvant aux multiples entrées bouleversant l'homme dépenaillé .
La conscience de l'existence accueille l'approche du réel .
Donnons à l'amour de quoi fabriquer l'amour .
Soyons transparent .
Vidons nos larmes acceptées Restons amoureux .
L'humanité , les dieux et leurs rites se rappelant à nous .
Ayons le regard vif porté sur un monde vivant .
Sortons de l'abîme .
Créons par le cri les étoiles nouvelles .
Nos sanglantes blessures nous mènerons vers le langage , où vivre la raison en haute mer et nier toutes croyances .
Devant l'intelligence du désir de vivre soyons le coq des horizons avant-tracés qu'une vie entière représente , foi figée et instable , en guérison de nos paysages intérieurs .
Il m'est donné d'être . Aux modillons du chevet le bestiaire nous est offert frais et agreste en ses arrangements floraux , un seul geste ,
Les cris des frères et sœurs qui s'étreignent en rondes chaleureuses aux marges d'été des mains maigres pommadent la pâte de fleurs des champs nuages pommelés trouant leur manteau de pluie pour une écoute singulière et bondir sur le râble des minérales églises que le miroir ausculte étrange retournement à point d'heure d'entre les brûlantes paroles lentes poussières dévalant le rai de soleil l'odeur emplit la pièce il n'est de politesse que formes vivantes et blessures saignantes sons et lumières à l'unisson l'œil bibelot délivrant la cohorte du langage saisissante sangle enserrant le mystère irréfragable invisible errance traçant noir sur noir au carrefour des conquêtes le signe du partage à venir sur le sac de toile à bout de bras tenu en guise de viatique .
Sylvain . Flûte andine à la sortie des garages petit homme droit sur ses appuis la bouille chafouine et néanmoins indéfectiblement optimiste ça balance et ça revient cette verrue sur le nez partie en espace de ses harnais les tuyaux de l'air montrent la piste du caravansérail où s'arrêtent les chameaux de l'obscure évidence .
Elles balayaient devant leurs portes les flèches pointues de la dérision irrésistible amour de tes genoux sensibles Ô mon amour tamaris aux yeux doux .
En conversation avec la paresse nous fûmes nus haletants devant le grand désastre le carnage jusqu'à la moelle par dessus les gouffres en agonie les fossés comblés par l'âcreté des égouts refluants.
Puis le temps à contre-jour fît le reste .
Le corps dénié nous éloignât sur la pointe des pieds père et fils morts les oiseaux replièrent leurs ailes plus vite se succédèrent la forme et le sens donnés à la vie mains et lèvres plaquées contre la vitre à murmurer la table de multiplication sur la buée des cœurs froids .
Mon enfant les portes et fenêtres sont refermées l'abîme contient le germe des boites sans frein et sans refrain éclatées à coups de burin mes doigts en sang agrippant la gouttière ce tabernacle des eaux ligneuses exposées au vol des étourneaux emmenées déposées sanglante beauté puissantes enjambées finissant à cloche-pied sous le pont de Grenelle à ramasser quelques boulets de charbon dans le grand cabas noir .
Ô fils au fil à fil des statues de sel que trouble la parole perdue d'entre le visible et l'invisible un pas sec cadenasse le passage pneumatique de ton fauteuil roulant .
Je vois, j'entends, je sens, je touche, ma gorge est sèche, il fait bon chaud .Le jour est mouillé de rosée,la lumière est blanche,les feuilles fraîches des arbres en printemps sont affamées de beauté .Et je change,à chaque seconde je change .J'évolue,je chevauche à hue et à dia le souffle de l'univers,et le monde change en moi .Je bois la résonnante transparence,et je transmets .Ma mission est de faire passer ce qui estau hasard de l'étincelle bâtisseuse .Patience, patience,mes os craquentles greniers se vident,la parole ouvre l'orifice de la gorge,je tends les voiles du coutre princier,et parfais le donné .Mon corps .Et c'est une chance que d'avoir un corps .Le corps de l'océan aux bulles d'air rendues,et c'est une chance d'être en tensionaux estuaires de l'aube éternelle .C'est par la pratique personnelle,à contre-pied des accroupis de l'ombre ,que rencontrer la froidure du matin,ouvre le cri de vieloin de l'amour-néant qui fût le notre .Mon être le plus cher,ce monde qui est en moi,plus grand que moi,l'autre moi .Je suis à toi .268