Lugu on kohtumine platsil pärnade all ilma ääreketita lahti tehtud taht külgnev sõnnikulõhn. Valetama, ära valeta see on asi, mida teha kastmisaugu lähedal mida teeb vanakarvaline naineigatseb. kõndida ja painutada kurb väikemees halvasti liibuvate aluspükstega kortsus särgi all. Et olla viimast korda vaba enne tunnelisse sisenemist vastavalt korraldustele kõndige tagasi kaetud kõnnitee ette. See oli aeg kitsad käigud mosaiigil haarata puudutusest, mis teeks abielu sinine sinisel koos pöörleva lehega. Riistan end alistumise varjus südametunnistuses selle loo ees mõlema käega pakutud. Milline oksa palpatsioon meie armumängudest valgete pungade lähedal kalduvus kiindumisele. Purustatud kurgu urisemine kressis pimedas ennustuses armusõnaga. Emakest Maast Maa Vaimuni kõik on seotud algsetele arusaamadele kuulda ainult ühte heli. Valgus kõikjal heinamaa valgel linal piiritledes energiaga tuhapuude vari. Piinatud kepp ja trumm kutsus ta totemlooma maailma taaslummuses ilma et rida kustutataks. See jääb alati vahele aga mis see tegelikult on see Kohalolek õõnes ja värvides Elamise päeva mastaabis ? 752
Le clou ou le crochetsur lequel fixer le Feuengendre le mouvement des quatre saisonscroyance commensale des princes. Voir clairdans le cercle des pierresborduré des yeux du cœurpar l'Archange du mandala. Pour être notre pain de chaque jourde prime abord d'un acte posé tôtla semence prit grâcepour ficher la flèche en création. Demandez le portage en susla dénivellation y pourvoirapar ses verstes communesen ce début d'ascension. Le regard se détendles brumes disparaissentles nuages rentrent chez euxle son des clarines monte de la vallée. N'empêchez pas le petit hommede tendre la mainà la sortie du sous-boisengendrement du dépliement de soi. Savamment orchestréela rencontre avec son créateur intérieurse fait en lumière rasanteà la sortie de l'estaminet. Ne figez pas l'actionsoyez le premier mot de l'avènementaux quatre directionsdes galets de la Connaissance. En lisière du domaineposez les armeset dévorez les coléoptèresfruits des contritions écornées. Épris du bruit des feuilles mortessous le talon nusoyons le trou noir des reconductionsl'ouvrage aux énergies universelles. Küüs sulgub le crochet crochètele labyrinthe labellise l'étreinteles gouttes d'eau fleurissent. 751
Au sortir des plaines et collinesles membres de la sectionempruntèrent jusqu'à l'expositionce qu'il y avait de meilleur.Du papier kraft sur l'étalun Cimabue encadréaucune mention d'outre-merrien que le passage des troupes.Me mets dans l’embarrasen huit et en effroila proie est à saisirsans retenue au pavillon d'octroi.De la tête aux piedsle corps dans l'entre-deuxdes crocs ad hominemsonnent le glas des accusations.Ivre et frêledans son habitacle de satinle furoncle des merss'accroche au bastingage des aurores.Essai millésimédes enflures programméesle vide s'époumoneà nommer le plein et le délié.Rétablissez l'Atelierfaites que le Vent chantefaites que l'Esprit nécessite la pluiepour la méditation des ascètes.Des vertes pâtures désengluéesà la mise sur le billotd'une régalade endiabléedonnons libre cours à l'excès.Pour le soir venuau creux d'un vieux poèmedistinguer la limite des formesdans l'Infini de notre Être.( Céramique de MARTINE CUENAT )750
Leedi Neitsià vous regarder de plus prèssous la lumière de fin du jourvous êtes Femme Couronnée. Un certain devoir accompliau tardif chant de l'alouettele passage se fait paisible et sereindans l'outrance des manifestations.La tempête soulève la mosette du Pèredu feuillage jaillit le chantde l'éternelle passionmon éternelle douleur. De sacrifice pointmon cœur comme un lotuss'ouvre sur le manteau de deuilextase d'une sombre nuit. Vous êtes Mère Éléphantineun caducée de paix sur la chasublechaste concubinede la constellation de la Huppe. Nous monterons les marches du palaisavec la musique de l'Océantous gréements dehorsvers les terres lointaines. Fermez le bancde cette multitude d'objets disparatesfaisons le feu de la Formeafin que vienne l'Unité. Par le trou de sourisde la relation esthétiquemanduquons Beauté et Véritéà juste proportion du temps et de l'espace. En arrière-plan de notre vieles bêtes et les plantes palpitentcomme la Mère et l'Enfantdevant collines et ruisseaux. Un bruissement se fait entendredans la forêt royalele long des sentesde larmes le couvert scintille. Se tenant par la mainl'homme et son œuvrela femme plus libre que jamaiset l'Enfant dans son écrin. 749
Kahe jalaga kahevärviline illustreerivas mahus ma jooksen anatoomia põhireeglite järgi. seal on hall hall, mida me rullime jääme purju hingetänavate nurgal. On kollaseid päevi päeva ilma lubjata ootab mandlit külgnev vesimündipunkt. Ja siis nagu tasakaalutus väga raske järele jõuda tekib varanduse röövimine surnud puidu päästikul. Paitada granuleeritud divertikulaar kaval õun käsi pilgutab nende metsade metsloomale. Romantilisel kõrgusel ilma võõrandumiseta, kust ma pärit olen Ma eemaldan kahjulikud elemendid vastupanuvõime rasvase pooluse poole. sa mõjutasid mind Advendihõbeflöödidrinnamärgi juures kuningliku taime kosutav puudutus.Peatatudnäpuga taeva poole sõnajala tants visandas näo, mis ei vahti. Ja mõjuval põhjusel ilma et peaks andma ega vastu võtma genereerida end suletud tsüklis ei laienda teadvust. Kahest värvist üks on kaitsev teine pardaleminek ja nende kohtumine, valguse lapse sünd.748
Siffle dans l'air du tempsla volée de flèchesà l'horizon arquédu triangle de nos amours. Le puits maçonné est làprélevant l'eau des profondeursdans le noir des tritonsaux mémoires enfouies. La cible au demeurantde ses couleurs arc-en-cielsigne le cadre d'un haussement d'épaulesœil sur la mire. Le siège de rotin tresséattend le sage de ces lieuxdevant le déroulé implacabledes à-propos d'un corps au repos. De l'eau sur les pommellesfriction de l'érosion par la connaissanceembarque le penseurau-delà des deniers de l'échange. Dans le cœur de ciblele trait de radiance ira se ficherempennage vibrantau plein emploi de la sérénité. Se glisseront en bord de mareles animaux de la veillechien, chat et lapins de garennedans l'insouciance des circonstances. Accueillons sur la surface herbued'un printemps au sourire de Jocondela graine de lumière triangulairedu puits, de la cible et du siège. 747
Ecoute les pierresmême qu'elles parlentla ponce et la doucede la nuit de notre histoire. Elles ont pénétré l'ombreet perpétué le grand brassage des élémentsjusqu'à fissurer la montagne pour jailliren accomplissement de la grande aventure. Elles fomentent déjà l'avenirelles appellent la formequi les fera entrer et sortirdes recouvrements et des pliures. Dialoguons avec les pierressoyons la veine et le lichen de leur texturelaissons couler leur lente dérivevers la construction et la destruction. Et si une pierre finit sur l'étagèrece n'est que passage éphémèreen costume gris sourisd'une mise à nu de circonstance. Moment délicat où sans protectionvoir en approche de soile grand Retournementet renouer avec l'Etre Vivant. Fulgurance et dépossessionsont d'étranges mémoiresrassemblées à hue et à diaen marge de nos apprentissages. Ecoute au loinpar les coursives du désirmonter à bas bruitle mariage de la pierre et de l'eau. 746
Déclaration du grand-pèreen activité profonded'une promesse génétiquefantasme de chef de famille.
Éclaire-moigarde la tête froiderenonce à l'hypnose et parle bastoi le soleil cathartique. En amouril est une façon de plairequ'augmentent le sadisme et l'aviditécelle de ne pas assister à l'accouchement. A chaque techniquecorrespond une salve d'à-prioricelle des cosses se cassantdans une histoire précoce de gosses. Ne restons pas en bord de routela règle est de lever le poucesans angoisse et patiemmentpar petites touches de conscience vigilante. Le bon père aboie devant le louppour une mise en ordredes approximations culturellestel le chat avec la souris. Délions les sourires de l'esprità ne plus consulter l'embargo religieuxsoyons le pur produitde l'arrimage au cerveau limbique. Et si le monde ploieà perte de vue la glaciation des œuvresn'employons pas de mots pernicieuxpour esquiver la proie et l'ombre. 745
Des caresses à pleines pelletéesrécolte des lumièresdans l'arène des matamoresdansent les amabilités. D'un geste elle invited'un autre elle retientla dicte souffrance des droits et des chancespar la parabase. Respecter la vieest sens menu des choses de l'espritn'y prêtons garde que durablementsans que l'heure intervienne. Le miroir se troubleles serpents de mer montent en surfacela pensée savante passe au rebutémergent les perroquets bleus des professeurs. Salut, ce sera sans moije ne danserai pas avec toià la une à la deuxle polype éclata d'une giclure fine. Pas de tapageau loin la démence en grand équipagepour peu que les radars passent au cribleles mains tendues de la soumission. 744