L'aurore ce matintel estran en mantilleattend le baiser du soleilconque marined'humeur sourde sollicitéeaux lèvresnruab nrab ntawm tus ntiv tes xoo thiab ntiv tes taw que le Grand Chat grignote. Envol lent du linceulaux miettes de la nuitsuccèdent le desiderata de l'oublisans que grogne le loupattendu tôten marge d'une équipéequi l'amena sans coups fériraux marches du palais. A n'en point doutersyllabaire médiéval des tendres heuresles feuilles terminales de l'amandiergraphent le cield'une offrande insignemasque aux oreilles atteléd'un saut du cœuren catalepsie douce. De frais nuages enjambent le portailde couiner davantageentre les dents de sang et d'ombreau casse-noisettes d'un lever de couleursgriffe griffe la peau du tambourcerne les yeux de la déesseet me plie en quatreaux quatre saisons de la raison. Calme retourdes nuéesaux joues assagiesla truelle étire sa matière grisebalustrade déployéede la droite vers la gauchefaisant pasteld'un sourire de paille broyé. Rebonds vergeturesle dragon se réveilleet offre ses talentsd'un discours claironnantde bleu et rouge affamédans le sillage de l'oiseau noirferment le ban du ventre retournésans que s'offusque l'addiction. Lever vénéréélégant dépliementvers un jour lumineuxun vol d'étourneaux quitte la villeaux arpèges d'un lampée de cuivre blancle lait abreuve les yeux qui s'ouvrentle jour respireet c'est bien ainsi. 672