Ci basses fourmisà flanc de coteauhors de l'eau à demi.Que le vent vienneen sa douceur mêmeau corridor s'apaisentles chants de Maldoror.Firmament printanierdes roseaux du tempsles fumerolles cheminentvers l'instant présent.Accroc dans la dentelledu Simorgh en partanceenfle le ventre des saisons.Par une échappée d'ombre et de lumièreen lune incandescentela terre quitta sa quintessenced'ors et de tentures tendres.Étrange bacchanaleque cette coquilleà flot d'une pluie de roses.Sourire juvénileà même l'offre faitenous dûmes parcourirla prairie de Tournemirepour danses sacrées à pas de brisefaire jaillir la sourcecouverte d'une menthe odorante.üçüncü ateşd'un hoquet de rencontrese barbouiller les jouesd'une eau de jouvenceaux aromatesfraîche.777