Sielun ontelossa huimauksen varjossa paradoksi hiipii sisään, lintu kaareva ennen kutsua. Ylitä rajamme, kerätä vehnää, syntyviä siemeniä, Apollon tarjoukset. Avaruuden poikki tähdet kohtaavat ja kohtaavat niin elävästi, että ajatukset pidentää unelmiamme. Tiskin yli taivaalla ohittaa pilvet, synkopoitunut vuorottelu universumin pohjalla, katkeaa kappaleen tenori. Temppelin akroteriossa akrobaattiset enkelit suuntaa peilinsä alkuperäiseen Lähteeseen. Yhtye, sopiva sisätilojemme hirviöt repimässä yhteiskunnan nauhat ymmärtäminen. Hidas kävely, lähestymistapamme etupuolella demeure invariant manteli vanhentuneen ilman poistaminen lisälaitteista. Pyörii mielikuvituksemme seragliossa Komentajan käskyt, Olen samaa mieltä pyrkimyksestä purkaa eripuraa. Helmikuun murtumaton valo, pussi täynnä leinikkia vuotaa hänen muistojaan ulkopuolelta ilman tuntuvaa selitystä.
Un œil derrière l'arbre à crocs et museau frémissants, le loup s'épanouit en rase campagne. Évaluant l'espace il fend la prairie vers le replat d'avant talus, unelmien toimittaja. A mi-carême repu il dort, fricassée de poissons en mémoire des jours passés. Bas sur l'horizon auki ikkunat le soleil flamboie, traces des gens de bien. La ruine attenante en son écrin de framboisiers tresse l'aventure adresse des petites mains volantes. Filage du temps en remontant le cercle des saisons les pleurs se font rares kun poissaolo tulee. Kaikki näyttää häneltä tässä suuressa huoneessa narisevan kaapin kunniaksi tuoksuvilla vanhoilla vaatteilla. Pass ja tulemme takaisin rautakenkien kylässä kirkon aukio palava leipäpiirakka. Matkustaja matkalla on tullut pure pensaan marjoja tämän elämän muistoksi.
Lukemattomat kääpiöt hajaantuivat kukat pudottavat viimeisen kasteen kaikki on hiljaista. Aamulla suodatin unelma ajatuksia hiutale niiden tuoreita tupsuja. Salainen ja sinnikäs he kiertelevät ja työskentelevät illan herkkuja. Perinteen mukaan valmistettu ne vuotavat häpeämättömästi viljaa ja akanoita. Tinkiä mennään mehulle paahtoleivän kohdalla. pyörii nopeasti järkeilykykyisin on poissa suojasta. Pieniä vesiväriroiskeita saavat suurta huomiota auringonnousussa. Kaikki tulossa rikkoa asianmukaisuuden jään sallia pysyvät tiedot. Mysteerien vallassa ikuinen lumiliukumäki ne laitetaan hyllylle. Lapioi gargatin ovelle väkijoukon naurunalaiseksi ajaa heidät takaisin keittiöön. Nouse sitten suolan reunalle lapsuuden piireissä viattomuuden hymy. 407
henkinen tyttö ruusunmarjojen päälle laakso herää luostarista nousee armo. Ohittaa Ylitin lankkusillan hoidetuilla vesikrassipampuilla sielut kuiskaa. Muutaman kyynärän päässä paikasta tärisevän poppelin alla le babil des oiseaux remontait le temps. Les feuilles agitées au soleil fricassant s'élevait de gente manière au cristal de l'aube. Bruissant d'abeilles le talus de derrière la maison faisait rempart sans que le soir ne tombe. Finement ciselé dans l'ombre d'un fourré posé sur la mousse l'offre d'or et de pierreries parée. De ses yeux baissés vers le silence du vrai la douce vierge aux fines mains tenait salon des jours heureux. Nez droit bouche fine en son foulard de lin blanc elle était de toute éternité. Ombre ondoyante des grands arbres le long du ruisseau douces herbes se penchèrent sous le chant d'Icelle.
Sur le balatum à la jointure arrachée, bouche aux lèvres exsangues, le poste à galène érafle quelques chuintements. La jungle pisse dans l'aube grise, la piste aux ornières de Savannakhet à Saïgon dispersant le convoi tel hoquets de dentelle. Se reflètent les lourdes pensées faisant scintiller les revenants en galoches ferrées assemblés devant le temple aux tigres éructants. Les barques plates dans les fumerolles du fleuve forment sfumato derrière les lanternes oscillant mollement sous l'enrobé zizillant des moustiques. D'un cri à demi chu l'éveil est instantané sous la frondaison soudainement vivante quand la flèche vibrante frappe le bouton d'or.
Le choc est rude le feu envoyant par le fond les colifichets et douceurs accumulés le temps d'une vie sur le devant des errances. Puissions-nous exposés aux épreuves nommer le pont des souvenances arche glorieuse joignant ce qui fût au plus intime de notre être.
On allait en Auvergnecueillir les bleuets. On allait en Auvergneaider les grands parents à la ferme.
On allait en Auvergne
retrouver les cousins. On allait en Auvergne
faire du vélo.Notre victoirele train passé Neussarguesarrivait en planèzeau vent d'ouest exposé. Nous dansionsau sortir des nuits bruissantes de bouleauxà la table frissonnionsde fraîcheur les yeux mi-clos. Passe la voix venteuse du grenierpar le fenestron de grossière toile colmatéfranchir les ansdans les yeux de Riquette. De mauvais coupsnous furent portésorganistes de l'ombremaugréant de tant de pluie contre la vitre. D'or en épisde coquelicots en margueritescourse entre les présvers la grand'route de La Roussière. Se relever de la chuteun sourire sur les lèvresfrappe frappeà la porte au barou. Lourdes larmesles poules caquettentdevant le siège de pierrela clide est bien fermée. Rangeons les cartons de Cocosoyons droit au bord du rêvenous du frêne et du tilleul frèresles amants de l'oubli. 404
Une solution à la vie le picota du pic épeiche alors tu verras cette attention livrée au frais matin. A l'aune des autres s'origine mon âme effluve des brumes au creux du vallon. S'éloigne l'échéance des mortelles errances au sein des plis s'enfle la rumeur. S'illustre sous la pluie les graminées forestières chansons de crêpe en sourdine des mots de braise. S'afflige d'une auréole les plaies pansées que le vent embrase sous les murailles de l'esprit. Soulevant de ses bras les entrailles terrestres elle hochait du chef le frisé des chevelures. A l'évidence des couleurs entrait rassuré le beau de la poésie entre midi et quatorze heures. Passe la gamme notes posées douces sur la parure du sol dur. Fil à fil le saint chrême sur les lèvres s'avance en solidarité la fleur de l'humanité.
S'étonne d'apparaître en demi-lune Le chantre des allers et venus L'étrange personnage de noir vêtu A l'origine des questions : Peut-on prendre ce qu'on nous donne ? Faut-il magnifier ce qui est naturellement bon ? N'y aurait-il pas au fond du fond le germe originel ? Le sommeil n'est pas un voile sur la conscience Il est le chevalier errant La manifestation des offenses faites à la Vérité. Aussi Se lever de bon matin Prendre appui sur la rambarde de la fenêtre Ouvrir les yeux sur ce qui est Accomplir le jour qui vient Se refermer le soir venu Respirer les sables de la tentation A mesure de leur enfouissement Dans l'océan des allers et venus. Embarcation poussée par le vent vers les terres de la reconstruction Kädestä käteen Étreignant l'odeur des herbes arrachées Glisser en long de pente Visage en demi-lune D'origine en origine.