" Tuulisandaalit " että sitä kutsuttiin tämä varjojen olento asuttu mikä itku tavallisista kohtaamisista tämä yksinäisyys sirutulla jäljellä intohimon alkuperä kumartunut olosuhteiden jalkakäytävälle tämä vastahakoisuus pakko tehdä tämä kylvetty pako kultapölyä näitä aurinkoja kerätyt päivät munankuoressa duurisointujen purkaminen underground musiikkia du vent ailé au sortir de la coulée continue sieluni ma capacité d'étreindre l'entre-deux du visible à l'invisible le Rien de notre accord réciproque .
Le vent qui brûle le vent qui pèle le vent qui rit le vent qui sème le vent qui pèle-mêle renverse et creuse la rivière d'un vortex ombrageux mon âme est pierre roulée sous le soc de la charrue pierre retournée laissant paraître le miel de terre pierre des frictions à laquelle la peau se frotte ventre affamé de l'enfant à venir sous le cri délivré en fin de cycle en fin de roses croquées par le gel aux parures pigments des bacchanales rangées sur la planche d'appel de mon antre de mon entre-nous porte ouverte que d'un doigt j'ouvre grand au vent qui vient tuulelle, joka puhaltaa .
Muistatko konepuut kanavan varrella variset hämärässä valopilkkujen kanssa veden äänellä kirjoitettuna liimattu puiden latvoihin majesteettiset avautuneet pilvet erotetut huulet käsivarsien heilahdus temppelin pylväille metronominen auskultaatio valoa tulvivia reikiä loppu kesäyö hikisille kapinallisille että tuuli syleilee tulinen jännitys yksinkertainen vastaus että askeleet käpristyvät miellyttävän kasteen alla punaposket kynttilät näyttävät silmiinpistävässä varjossa kevyt kangas olkapäälläsi väreitä äänessäsi muistin sisennys ohittaa kuluvan ajan seinä .
Sinun kevyt kätesi grignote les cordes chapeau soulevé d'habits noirs revêtue mon outrance marine mes doigts longs sur la sagaie terminale sans qu'opère l'instinct .
Jeux d'eau en légère déclivité papillotes et caramels de leur cristal dépouillés pour dents de devant étreindre le mou des nuits millésimées .
Décoction de ton sourire sous la couette chaude peuvent tourner les galaxies portées musicales en haleine de fuite feinte saltimbanque qu'une nuée efface si tôt si tard la mèche de cheveux sur l’œil trouble l'infini .
Vive voix et cœur énamourés d'une braise ardente, se délièrent les fibres de l'ennui plongèrent en leurs eaux d'origine l'accord essentiel des notes graves et douloureuses ma fleur elämäni ma vibration ma pantelante adoration bouche en haleine du souffle ma grâce sur herbe tendre écartelée aux quatre membres de ton corps si doux . "Je vous aime, il faut apprendre à dire je." (Christian Bobin)
L'épaule dénudée l'ombre des pins le visage tourné vers le ciel un collier de perles fines. De la tristesse dans l’œil les lèvres gonflées la lune virgule mon âme d'une guitare coquillage.
La ville au loin frémissante sarabande rentre ses chats il fait déjà trop tard.
Si lente si parfaite vasta aamunkoittoon tout retient l'ordre écru de mémoire.
Une île d'ailes élevées hors voyage de ciel et d'eau tel un enfant qui dort . Souvenir en place de Grève le col tranché aux vociférations des pauvres hères cherchant saigneuse remontrance . Insulte gommée au carré de l'oubli couverts mis à la brume montante . Émargent en toute légèreté les oiseaux errants que le profond du ciel éparpille .
Situer sur la carte cet immense souvenir de rires et de pleurs affublé, la romance des jours heureux .
Futile passante partie revenue destination inconnue käsi kädessä .