Mahali pa kwenda ? Uso kwa uso . Kusikiliza wengine . Tembea kwenye njia ya kawaida . Jeter , kana kwamba kwa bahati kuangalia kwa pande , kutosha tu si madhara na kufanya kampuni kucheza , kama katika mikesha iliyopita panga kokoto kwenye sahani ya dengu . Muda unaanza tena milele, chini ya kalamu , kwa kutoa mvua , kupeleka panoply yake Fungua mlango , kwenye kukumbatia kwa kuimbwa des gouttes d'eau souvenantes. Hakukuwa na , safi , ecrit chini ya kijiti , kuliko tabasamu linalojitolea kusema . Kuna njia nyembamba kati ya mambo ya ndani salamakujengwa kwa utaratibu kwa credenzas ya maarifana mzunguko wa watoto wa furaha .Kuna nchikuingiliana kwa mafanikioambapo ufunuo huchuja .Inatokea hivyotufaha linaloanguka kutoka kwenye mti ni ajabu .Hebu tukusanye matunda ,kuifuta kwa kitambaaturubai isiyo na rangi ,kubeba kwa kiwango cha macho ,muundo wa ngozi ,bahasha ya neemaupanuzi usio na mwisho wa vijidudude son extension ,kwa utimilifu wakempaka kutoweka kwake .Katika jumba la viscosities ya roho,pome applekuumwainaruhusu raha ya ladhakwa kuzikwades sucs rétrospectifs .Kengele ya kanisa inalia .Ni saa nne ,wakati wa chaikwamba shells psychedelic cuckoo .Ifahamike hilo kwa nia njema , Afya ,na hukumu kidogoinafaa kwa kanuni ya kawaida .238
Si la charrette ploie et que pièces à terre se dispersent les dérisoires brassières de l'esprit .
Il y aurait ce regard traverse de l'absence des catéchumènes en son enfance éteinte ma mère l'ordre de la mère morte.
Il y aurait prégnantes des caresses sous la toile que jamais n'ai cru souples à mon encontre .
Il y aurait des herbes sèches recouvertes d'un givre cristal sous la burle sévère d'un passement de jambes dansé .
Qu'on dirait l'affliction des tendres et tendres années de perdition à coopter les passants du sans souci sans cris ni repos .
Mon cœur s'est éteint il a navré le cours du temps de bulles fragiles sous le rêche du souvenir .
Les sillons se sont fait crème au café des solitudes la cuiller ourlant tournante le reflet des nuages .
Remettre les choses en place avec chaises et tables verres et couverts et ronds de serviette à l'avenant .
Vivre en illusion entre la poire et le citron d'oraisons et de jours à venir finissant en tranches de potiron .
Sur le départ posée à même le sol dénudé courait la vermine saxifrage des orateurs sans parole .
Se confrontèrent du menton les accordéons de la raison à éviter le tien du mien positionnés en dérobade .
Silhouette affaissée les lunettes en bout du nez corrigèrent les fautes d'orthographe nos petites mains passagères .
Segmentés à courte échelle les chevaux de la verticale dernière levée d'un sourire par la fenêtre entrouverte . Sortilège sorti tout droit d'une tendre apostrophe les lèvres purpurines figèrent le son des églises . Faussement accaparé dans un tombereau de fumier le corps à corps des corps pensants d'étreintes désespérées .
Se glissèrent sous la ramure les champignons de l'automne à creuser les tranchées d'une guerre dont nul ne revient .
Fil à fil le pull s'allonge les aiguilles passent puis repassent le fragile des doigts s'expose sans que je m'interpose . Face contre terre soyons le roulage des galets du torrent sous la feuillée d'un saule encalminé par le qu'en-dira-t-on des prosopopées .
Ma plume sans le cal d'antan se fait entendre jusqu'à l'orient de coups secs sur la peau des sollicitudes le creux des reins en jouissance son heure et puis la mienne toutes choses confondues se rebellant ma belle dans l'offrir de la resquille à ne plus entendre les barbelés crisser sous la mitraille .
Sa cage d'oiseau sous le coudeet la croupe en carêmeun cheval passela cavalière à queue de cheval .L'âne braieles moutons bêlentun bruit de tôlecadenasse l'espacej'appelleau carrefourdes senteurs d'herbe mouilléele lever de lune .Sans prendre le tempsde maigres appendiceskujiungaaux remontées de laine pelotéeun quart plus basdes ailes en ordre de marche .S'enquérirfinement ciselédu crépusculeen retombée lasse du jourfièvre amèrequ'un doigt de mielrehaussetendre applicationde la flûteaux notes réjouiesdu rire des enfants .236