Écrire comme si on disparaissaitនៅក្នុងការស្លៀកពាក់នេះ។ថ្មទៅថ្មoù construire l'impact de la brûlureមើលពាក្យដែលស្លាប់ .ការប្រមូលផ្តុំ du verbiageដោយមិនធ្វើឱ្យមានការភ្ញាក់ផ្អើល .ភាពព្រងើយកន្តើយ គ្មានផ្នត់ គ្មានផ្នត់ទឹកជំនន់ជាមួយពន្លឺអ្វីដែលផ្តល់ជូនផ្សេងទៀត។ ,អ្វីដែលជាស្បែកសាច់របស់យើង។ផ្តល់អាហារដល់ស្បែកខ្មៅរបស់យើង។ .ការគំរាមកំហែង ,ផ្កាភ្លើងរវាងភក់និងការស្រវឹង ;ញ័រភក្តីភាពទាំងស្រុងចំពោះមិត្តភាព,ដោយគ្មានភាពសម្បូរបែបឬភ្លេច ,ទៅដល់ម្ខាងទៀត។ភាពរីករាយ និងទុក្ខព្រួយលាយឡំនៅលើសន្លាក់ obsidianនៃអ្វីដែលនៅសល់ ,ឆ្ពោះទៅរកលទ្ធផលដ៏មានតម្លៃកន្លែងដែលមិនរាប់បញ្ចូលវាយលុកលើតួនៃការសរសេរ .189
De plus, ils sont passéssans omettre les vraies valeurs.Ils ont cherché, ils ont trouvéla semence du semblable.N'ayez crainte du récit en sa simplicité,soyez de mèche avec l'indicible.En face du trésorils se hâtent et lui crient leurs attentes.La trame se déferaitsans préparation, sans repentance.Au repas, des chants nouveauxle monde nous appartenant.Une longue histoire d'allianceentre le fonds et la forme.Les superstitions n'ont guère de substancesans le dégoût de la connaissanceLe deuil, la tristesse, l'oubliun champ dévasté par l'inondation.Dire faussement du mal de l'autrepuis s'en aller à reculons.C'est simple, c'est clair, c'est concret,les vrais pâturages de ton cœur.Les coulures de goudronsont les pleurs des tempêtes passées.Ma main, d'un reflux acidejamais ne jugera.En conséquencetoute réminiscence est oeuvre destructrice.Les sacs de cendres se sont ouvertsà bon port.Ta voix s'est fait entendrevoix miroir de mon visage.Ta voix planait sur les eaux,un don à recueillir.Ta voix,porte-greffe de la plante fragile.Ma voix, mon ange,derrière les friselis de ton rire.Si la mort creuse le champ de la désolationelle ouvre en même temps celui de la communion .Communion des âmesaimantes et aimantantes.186
Puisque vous ne me causez plus de chagrin et que le souvenir que j’ai de vous se dissout dans l’épreuve que je traverse je vous serais gré de reconnaître mes nouvelles dispositions transcrites sur ce mur propice au soulagement de mes blessures.
Le doigt levé contre la coupe framboisière de l’espérance est le
pôle de la délicatesse à venir. Je me suis avancé et cette course m’a mené au
terme de l’ignorance pour maintenant, les reins ceints de la force, scruter
avec mes semblables, à mesure de la course de l’univers, le silence de la terre
qui tremble.
Au gré des catastrophes causant tant de sécheresse et d’inondation
je me suis frayé un passage dans les forêts dévastées où sans défaillir j’ai
inscrit la verdeur de mon chemin sous les auspices de la flamme de compassion
couronnée des mille bougies de la contemplation.
Dorénavant je ne déchirerais plus les voiles de l’union qui me
lient à Son règne ; et me levant tôt je parsèmerais de fleurs et de
poésie les plaies béantes de la souffrance pour accéder à cette invitation de
briser le cadre de la vie ordinaire et découvrir derrière la sainte icône de
l’attention devenue sagesse infinie le tendre amour si craquant de Ton nom
irradiant sous la morsure aux lèvres blanches de la résurrection.
Il est des coupes à petits pois blancs sur fond de sang que la
générosité ne peut atteindre. Aussi se lever et tendre l’aube devant le soleil
de Ta grandeur ne peut que soutenir cet inflexible effort à naître par delà nos
activités décérébrées qui quotidiennement nous poussent à nier notre vraie
nature et à manquer la cible.
Embrasé par une force extrême j’ai pénétré le couloir de notre
rencontre. La raison s’en était allée en toute hâte pour remplacer les
gémissements de l’extrême faiblesse de l’homme en tunique de peau par le cri de
la chair grillée de l’anéantissement. ដើម្បីក្លាយជា, j’ai su replier mes ailes pour entrer
par effraction dans le saint des saints, vaste salle consulaire consacrée au
retour de l’enfant prodigue.
J’ignore si l’édifice ne sera pas ébranlé et si nous pourrons
retenir nos larmes lors de l’ultime séance au goût de vie éternelle lorsqu’à la
tombée du jour nous caresserons enfin la douce main de la mise en abîme, celle
qui tendrement mais fermement, et de toute éternité, nous convoquera à
finaliser notre œuvre.
Une fois libre je pourrai alors consentir au contact mystérieux
avec les êtres en tunique blanche venus de la foule bruyante que la joie
communicative fait exulter devant la perspective d’accorder les précieuses
faveurs de notre cœur enfin arrimé à l’élévation de l’âme au vide des espaces
infinis.
Ne pleure pas. Lève ton regard vers les hautes frondaisons. Sois
de mèche avec le temps qu’il fait. N’ignore pas la terre dont tu es issu. Ferme
la porte après moi. Continue de marcher. Regarde. Il se pourrai que tu
rencontres l’Autre à qui passer le témoin à la croisée des chemins par hasard
dans le sourire du sans chagrin.