Voix de l'autre monde si belle reine que la mer un instant fléchie. A la pleine lune faut-il se découvrir en si peu de temps ? Passe ton chemin ordres et désordres par monts et par vaux. Et fléchissons le genou en terre le regard au loin. Au temps fécond de printemps d'advenues pointant son nez le Beau des mémoires. En présence des dieux point de tergiversations le silence construit. La musique creuse le ciel des joies et des peines vers l'eau la plus fraîche.