Proxénète sur le netdes nèfles sèchesj'accuse le coup et la cupuledes entréesexit l'entréesans que la rumeur pubèren'achalande de ses offres carnassièresle devant du rêve. Ô ma mère l'Oieô mes amarreslevez les touteset ce sera demainque nous converserons de la loi de la foisans rime sans crainteใต้ต้นกระบองเพชร d'une douce après-midi d'été. D'avoir étéet que ne chasse le motla clique sale et bougredes groupies saltimbanquesde ces admirables admirateursqu'à toute heure nous entraînele fil d’Arianed'un nutriment de mante religieuse. Il n'est d'avenir qui demeuregreffe des propos disertsdans la vasque des claudicantes vicissitudesla carène vengeressed'égrainer le chapelet des douleursmène en souvenance amèreaux îles marmoréennes de notre sainte mèrehavre mystérieux pénétré à la godille. 671