De ses lèvres elle hantait la mastication des intentions, Un souffle vint, De superficielles, ses dents reflétèrent, à l'entrée du temple, le péristyle des âmes blanches. Filèrent les sans noms de la haine, recroquevillés sous les antennes du frère en terre. Puissions-nous, passagers de l'oubli, racler nos derniers os, au rythme des mirlitons de l'enfance.
Le Grand Jeu raffermît notre passé, rassemblant les fresques de nos errances, passage obligé, où planter l'organe éruptif, hors la périphérie de nos illusions.
En creux de nuit la lune ourla la montagne, face sombre sous le réceptacle de nos attentes, et tout fût retourné.
မင်းငါ့ဆီလာ tard le soir ô lune inassouvie နိုင်ငံကျော်အမျိုးသမီး ပေါင်းပင်၏ကလေး ရင်းနှီးသော အဘိုးကြီး dans le miroir sous la luciole des souvenirs. ဦးမော့လာသည် proche de la torche မျှော်လင့်ချက်ဗိမာန်မှာ. Sois Sainte Femme arc-en-ciel des désirs.
Sois l'enfant ရေတွင်းအစွန်းတွင်ထိုင်. Sois le vieillard oublieux အချည်းနှီးသောအတွေးများသို့.
Sois la mèche ကိုယ်ဖြစ်ခြင်း၏ မီးကို ထွန်းစေသောသူ၊.
Sois l'oreiller aux mille grains de riz လာသည်ကို ကြိုဆိုသည်။ ပညာရှိဝမ်းမြောက်ခြင်း။ une pincée de sel sur les lèvres လက်နှစ်ဖက်ကို ပွေ့ဖက်ထားသည်။ တောက်ပသောအလင်း du jour à venir.
Sorte de lanterne aux joues roses Sourire étoilé éclaire les entrailles visage de dentelles saupoudré de lait tendresse contre l'épaule le chat s'enroule à ton cou. Arbre sans feuillage le rouge ronge les lèvres petit noyau sec que le regard accapare chevelure défaite d'un ventre mûr rousse démangeaison à porter devant l'autel la voix des filles sages ပင်ခွါ lunettes opaques d'une étreinte à genoux sur le sable visage contre terre pleure d'être pierre pieu étoilé dans les cieux d'une gymnopédie.
Ma fillema toute petitemon enfant éternelleCarmine de retourmon enfant des bleuetsque j'ai cueilli au ventre de sa mère. Puis frère vint. Et j'abandonnai le châteauau désir d'un autre hommene gardant que les membres éparsdont je reconstituai le corpsOsiris déchuquelques weekendsaffligé de ne pas avoir suconserver la chaleur du foyerentre mes mains inutilesfines poussièresque le vent porteau long corridor des remords. S'ouvrirent alors les portes de bronzequelques traces sanglantes sur les murs froidsj'avançaipercevantles lumières tremblantes de l'autre rivepar delà les hautes futaiesde mes passions en déraison. Le train entrait en zone libreles freins crissaientdes jets de vapeurbrouillaient les fenêtres à tirant. Un silence vintdes corbeaux coassaientdes voix hurlaient. La ligne de démarcation passéeje sus que rien ne serait comme avant. Quelques intentions de guingoisne purent répondre à tes demandesde retour à la maisonécriture enfantine sur papier roseloin des regardsle long d'une route de montagnepartageant mes nuits d'insomnieétoiles et lune en provisionle chien collé aux basquessans jamais me retournerj'allai. Le tricolore ruban franchicourse terminéeau labyrinthe des errancesil me fallut retrouver la terre mèremixe des atomes prêts au recyclage. Je me lèverail'air sera fraisle cœur saignerales pas se feront pressantspour retrouver le compagnon émergeantle rappel à l'ordre mémorielmon ami le doubleme tendant la couronne de fleursma fille en mandorlema toute petitemon enfant éternellema bleuetteque j'avais recueillie au ventre de sa mèreun jour de joie. 351
Aux cornes d'appel galets jetés contre les portes d'airain la montagne fige la parole.
Équidistante des embrasures la mesure frappe d'estoc et de taille sans que l'ombre advienne. Il y a du sang sur tes vêtements les lacets resserrés feront marche forcée. Élève la lune à hauteur des griffes de l'ambre marin. Tes pas longent le rebord de la sente de petits cailloux dévissent les pensées dépassent de la musette.
Ronge ton frein sois le brimborion des nasses refluantes sois grand sous l'averse. Abjure et me viens Callune des prairies premières Offrande à saisir.