Je te tiens tu me tienspar la barbichetteet ne tiens que ventet boule d'orroulant à fond de ravinvers la cupule des origines. Je rêve de te tenirpar la barbichettealors que tu dorshomme dissipéaux incartades oubliéessans appui sans chemin. Le nouvel acte approchele petit enfant rêve dans le sein de sa mèreet la question est pesanteêtre couché dans le vide n'a rien valuterrifiantque de regarder en arrière. La boule d'or plongel'écume la recouvreun bruit de rires cumulésmonte des marmites de géantl'enclume sonne le dernier rappelbrisant l'ordre des choses. 442
Cette nuitd'avant les chants d'Hildegardemirador planté dans les herbes follesune pincée de sel à la voléecontre la carène des visions. La calèche s'éloignesur la sente pierreusepoint de mission en perspective. Juste une main tenduedont les doigts se taisentquand passent fraîchesles robes à fleurs des demoiselles d'honneurde rires contenuesdevant le vieillard aux galoches de vent. 441
L'Ouvert en soi en moi l'Ouvert pour l'autre l'Ouvert à l'autre. Retournement des yeux coquillés au reflet de la libre issue par les yeux de l'animal. Dès l'enfance nous fûmes sur le parvis des apparences le support des remontrances.
A écrire le plein et le délié de pinacle en chaire sermonnante à remonter la pente. Et puis le jour fût pure essence et les fleurs s'ouvrirent appel tambourinant des ménestrels.
L’étrave des murailles dans la douve profonde inscrit la Certitude. Ce qui paraît certain c'est la Mort. Le Nouveau est toujours incertain un tout petit nouveau fait davantage que l'ancien il est capable d'extraire.
As-tu vu le vent venir et la fleur s'écarter ? Si le vent recule la fleur ne perçoit rien. La fleur marche sur l'air, non sur la terre, la fleur marche sur le rien.
De monter vers l'aiguille précède la descente en abîme la collerette sage du barbu de l'oubli courbure d'une main mon âme fleurie sur le rebord en fenêtre signe d'élans de pas dans la neige à regarder se dépouiller les branches de leur manchon de miel chute lente mais néanmoins audible menus sourires s'époussetant le bras tendu vers l'horizon qu'appelle le soir venu le trait de lumière annonçant sous la porte le retour des oiseaux vers leur niche nocturne.
Izkāp no ūdeņiem atvērties klātbūtnei padomā, kāpēc tur būt saprast, kas notiek nejauciet sajūtu un to, kas ir velta savu dzīvi augstas intensitātes formulu formulēšanai. nederīgs kalps pildīt savu pienākumu barojot mazos aizsargājot savus mazuļus. Dzīve prasa kaut ko citu dzīve prasa mīlestību tāpēc es ēdu mīlestību un mana sirds sasilda jo mīlestība ir ēdiens mīlestība ir gars. Kļūsti par kalpa kalpu apžēlojies par Skolotāju, kurš neko nav sapratis pienāk laiks pārsniegt pienākumu izkļūt no morāles mainīt lietas no augšas uz leju vārda lepnums nosauc visvareno esi viegls ļoti viegls augošā vēja priekšā. Tātad, nāk no tā, kas bija lai atkal būtu nākot tam, kas nāks labo Gara lietās.
Vakarā Quand le vieil océan racle les galets. Jā es pieņemu D'être de mots démuniDevant le vol ultimeD'avant la raison. Spītīgs staigātājs D'arbres et de pierres sèches constituéLa mer devant soiÊtre verticalÀ l'appel du dernier regard. Nav piedzēries Juste cette douleur à la hancheStigmate du dernier combat. Pievienojos dzīrēm Disposées tôt matin. 435
Pāri sasprindzinājumam uzstādiet zaļo iemeslu. Kad stīpiņa pāriet atmiņas atgriežas. Straumes šļakatas atspoguļo valsts reitingu. Debesu zilumā augšējais izgriezums. Vēsais rīta vējš saliekt koku galotnes. Divi pirksti balstās uz iluminatoru lai mirušā māte dzīvotu. Lidmašīnas aizsmakušā rūkoņa paceliet tumšo attēlu. Slēģi čīkst tev būs jāceļas. Izcils brīdis, ka apbalvošanas ceremonija kad solis ir smags, lai uzkāptu uz skatuves.
To dara sāls tas ir tas, kas mani padara tas ir mans jūsu. Paiet garām strazdu frikasei mūsu instinktu čivināšanai iebildums un pffft ! bez prioritātes neapstrādāta gaļa satveriet instrumenta rokturi lai āmuru dzelzi ciklopa acīs. Viņš ir dusmīgs ka pārlieku teikšana aizdegas kad pūš slikts vējš.