Rejoindre les miettes du festin

 A la tombée du jour   
 Quand le vieil océan racle les galets.   
   
 Oui j'accepte   
 D'être de mots démuni   
 Devant le vol ultime   
 D'avant la raison.     
 
 Marcheur obstiné   
 D'arbres et de pierres sèches constitué   
 La mer devant soi   
 Être vertical   
 À l'appel du dernier regard.   
         
 D'ivresse point   
 Juste cette douleur à la hanche   
 Stigmate du dernier combat.   
   
 Je rejoins les miettes du festin   
 Disposées tôt matin.   

       
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Waiho i ka pane

ʻAʻole e paʻi ʻia kāu leka uila. Hōʻailona ʻia nā kahua i makemake ʻia *

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