Quand c’est blanc c’est pas noir

 

 Tu vois c'est blanc   
 et quand c'est blanc c'est pas noir    
 même si c'est en tremblant    
 que le coutre de la charrue    
 évite la feuille de vigne    
 avant l'interception du pic épeiche    
 de ricanements et de honte ceint    
 devant la caillasse secouée   
 réalité incontournable des forces drues.   
     
 Et quand c'est blanc c'est pas noir    
 hors les métamorphoses    
 de tant de couleurs en élévation    
 lissées de leurs parures végétales et minérales    
 pour de plus amples inflexions    
 nourries par le vin qui réjouit le cœur    
 et devenir coupe de vertige    
 hors les incartades de l'esprit     
 en rémission du jeu de courte paille.        
  
 Et quand c'est blanc c'est pas noir    
 aux reflets de l'orage    
 la pomme d'Adam    
 protubérance acquise    
 par l'immobilité grave en bord de falaise    
 permettant de poser de tendre manière    
 le brassard blanc sur le bras de l'orant
 en accession verbale    
 vers la licorne des influences.        
  
  
  
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Waiho i ka pane

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