तुम्ही इथे आहात चोरी न करता glisando मला सौम्य लाटेवर घेऊन जाण्यासाठी पार्लरमध्ये चंद्राची मुलाखत कॉर्क ओक पासून फाटलेली साल संथ गर्दीतून विणकाम चकित प्रवासी सुवासिक सुगंध. माझा आत्मा फक्त यादृच्छिकपणे सहलीवर स्वतःला घेतलेले पाहिले स्थलांतरितांच्या पुरात अरे माझ्या आत्म्या इतरत्व ही दुसरी ओळख आहे दुसऱ्याकडून स्वतःकडे एकतेचा स्रोत.
मंदिराच्या गटाराखाली तू एक प्रणय आहेस वेळ निघून जाण्याची गाथा लाकडी तलव्यांची मिरवणूक रीड्सचा रोमांच दरवाजाचा बिजागर जे आम्ही उघडतो आणि creaks उद्या किंवा उद्या नंतर अजिबात नाही हात लटकत आहेत डोळे वर क्षैतिजरित्या ढगांचे फेस्टून आकाशाच्या पलीकडे सौम्य सिंकोप मध्ये मातीच्या फरसबंदीवर चिरलेल्या नखांनी खाजवणे मुंग्यांचा रस्ता नदी मध्ये वृक्षविरहित दिशेने सुरकुतलेली वाळू.
माझे वय झाडाविरुद्ध बसणे पाहिले बुजलेला उंच बॉल रात्रीच्या वेळी एक आइसब्रेकर पोल्टिस मिशनमधून परत वडील आणि आईचे वंशज जाणून घेण्याच्या जोखमीवर टर्मिनल ज्योत माझे इतिहास विखुरले एक वादळी संध्याकाळ खुली कारकीर्द इ शेवटचे कार्टेज गुन्ह्यांमध्ये अपोकॅलिप्टिक तर्ककर्त्यासह आमचे बिल्डर आमचे कबर खोदणारे आमचे शोधक.
सवलतीची भरती मागे सरकलेली भरती उलटी भरती जमा भरती पुनर्प्राप्ती भरती मी शेवटची हिचकी बघेन का? खाली सरकवा गोरेस उतार स्टँडबाय तलाव स्फॅग्नम माझा पत्रव्यवहार चांगल्या क्रू मध्ये वेगाने जात आहे माझ्या मरणाची वाट न पाहता ebbing रडणे व्यापारी छताखाली कौटुंबिक दुवे.
ब्लॅक ऑफ ब्लॅक भूमिगत लेखन डेस्कमध्ये कोरोला पासून कोरोला पर्यंत दोरी घट्ट करा कुत्रा आणि लांडगा यांच्यात.
प्रोसोडी कॅप्चर करा गिधाडांच्या किंकाळ्या चकचकीत होड्या अवशेष कचरा गोळा करणारे संशयाविना बनावट न करता दुःखाने जबरदस्त. पसरलेल्या हातांचा उदय उगवलेला पांढरा अँथ्रासाइट भिंतीचा चंद्राच्या प्रतिबिंबांमध्ये शहराच्या दिव्यापासून दूर whelks आवाज करण्यासाठी कातड्याचा झगा पांघरलेला सेन्टिनेल गुराखी काय घालते चाबूक वाढवला, वेदीच्या आधी viaticum स्पष्ट दोष कुठे आश्चर्यचकित करण्यासाठी. Grand Bédé उभा आहे स्क्रू केलेली जोकर टोपी त्याच्या कपाळावर फ्रँकेन्स्टाईन, डिस्टाफ गोरिला चिकणमातीच्या गोळ्यावर टॅग करणे त्याच्या विचारांच्या जखमा, क्यूनिफॉर्म ट्रेस दारावर कोरलेले ठिबक स्वतःला आवडते हे जाणून घेण्यासाठी रडणारे आकाश.
Si belle à l'ombre et cousue d'esprit elle se pavanait chapeau de paille au gré des œillades matricielles. Surgirent l'entre-chats l'entre-chiens des surprises brèves sans sourciller sans barguigner la cigarette en apostrophe. Maugréant ci-devant au parvis de l'outrage les fresques rupestres de ses vêtements d'emprunt se prirent dans les rayons d'une bicyclette sans béquille avec sonnette tintinnabulante et garde-boues de bois pour se tenir bien droite. Elle zigzaguait de platane en platane le fossé aux grenouilles crevant ses bulles amères à mesure de l'errance. Sans cérémonial dentelles au vent elle déchira la brume matutinale mains sur la guidoline un soupçon de mimosa sur le nez. Si belle à l'ombre et cousue d'esprit elle se pavanait chapeau de paille au gré des œillades matricielles.
Pas à pas, de voyage en voyage, au cercle d'un cirque que le sable encense la rumeur soulève les rideaux du spectacle. Entrée colorée, barnum bruyant, poussière soulevée du cortège animal, des passions de l'âme élevées aux pinacles des temples à démanteler, à mettre à la raison et métamorphoser. De sang et de couleurs, les cris furieux des Érinyes ont détruit les paysages de l'enfance, les lèvres d'argile des sources ont fait place aux buses de ciment, la pierre des protections a été arrachée, les haies ont été abattues, les fossés comblés, le renard argenté ne retrouvera plus le centre, un vent mauvais rabat les grumeaux de terre vers les terrasses de pierres sèches, un vieux frêne murmure ses dernières dispositions. La nuit roucoule, pigeons de l'âme overhanging des manquements à l'humaine condition, les mensonges populistes remplacent le chant des poètes, les chenilles des engins de guerre suivent les souliers ferrés des poilus, le ciel s'assombrit, même les arbres sculptés par le vent d'ouest se sont couchés sous la tempête. L'air est fétide, sur le mur des lamentations les papiers de l'en-vie froissés et forcés aux jointures des pierres couvertes de lichens deviennent chairs pantelantes d'un tsimtsoum aléatoire. Les mains décharnées, hors des poches à l'avenant écorchent l'oubli, les yeux révulsés clipsent les valeurs de l'esprit, une crème sulfureuse maquille d'un sourire de clown nos errances dernières. La fureur fait place à la nuit, au silence, enlaidie par les passes d'armes des combats et des haines, pommelée par la levée des moissons nouvelles, devenues complice consentante d'une renaissance de pacotille. Il n'est d'herbes officinales que celles du printemps, herbes collégiales du baiser des amants dispersés en quête du grand chambardement, un quignon de pain en fond de sac, l'eau dans le ciboire des altérités. Nous lèverons le Son des ricochets, cailloux jetés sur la rivière, à portée des demandeurs d'asile, en sortie de notre exil.
Pas à pas, de voyage en voyage, au cercle d'un cirqueque le sable isolela rumeur soulève les rideaux du spectacle. Entrée colorée, barnum bruyant, poussière soulevéedu cortège animal, des passions de l'âmeélevées aux pinacles des templesà démanteler, à mettre à la raisonet métamorphoser. De sang et de couleurs, les cris furieux des Érinyesont détruit les paysages de l'enfance, les lèvres d'argile des sourcesont fait placeaux buses de ciment, la pierre des protections a été arrachée, les haies ont été abattues, les fossés comblés, le renard argenténe retrouvera plus le centre, un vent mauvais rabat les grumeaux de terrevers les terrasses de pierres sèches, un vieux frêne murmure ses dernières dispositions. La nuit roucoule, pigeons de l'âmeoverhanging des manquements à l'humaine condition, les mensonges populistesremplacent le chant des poètes, les chenilles des engins de guerresuivent les souliers ferrés des poilus, le ciel s'assombrit, même les arbres sculptés par le vent d'ouestse sont couchés sous la tempête. L'air est fétide, sur le mur des lamentationsles papiers de l'en-viefroissés et forcésaux jointures des pierrescouvertes de lichensdeviennent chairs pantelantesd'un tsimtsoum aléatoire. Les mains décharnées, hors des poches à l'avenantécorchent l'oubli, les yeux révulsésclipsent les valeurs de l'esprit, une crème sulfureusemaquille d'un sourire de clownnos errances dernières. La fureur fait placeà la nuit, au silence, enlaidie par les passes d'armesdes combats et des haines, pommelée par la levéedes moissons nouvelles, devenues complice consentanted'une renaissance de pacotille. Il n'est d'herbes officinalesque celles du printemps, herbes collégialesdu baiser des amantsdispersésen quête du grand chambardement, un quignon de painen fond de sac, l'eau dans le ciboire des altérités. Nous lèverons le Son des ricochets, cailloux jetés sur la rivière, à portée des demandeurs d'asile, en sortie de notre exil. 332
श्वसनक्रिया बंद होणे मध्ये स्मृती खिडकीवर चार फुले चारही चौकारांवर छोटी मुलगी तरंगणे तुटलेल्या सूर्याचे माझ्या भावाने, माझा मित्र, माझा मुलगा, माझा मित्र सहयोगी पहाटे एक बहरलेले बदामाचे झाड जेव्हा नखे तीक्ष्ण रेषेने मारणे उन्हाळ्याचा रस्ता टेहळणी बुरूज जागरण व्यवस्था केलेल्या मैदानावर शहाणा समोरचा भाग जंगलाच्या वर परिचर डोळा लँडिंग न करता विचार बदल्यात वर जा हे कॅथेड्रल स्पायर हेरिटेज विकर टोपली फोडणे व्याप्ती मूळच्या शीटवर असण्याच्या प्रक्रियेत टांगलेल्या गॅलोशेस पातळ पायांच्या शेवटी तुम्ही जाता म्हणून सोन्याची धूळ हात पुसत आहे गरजांचा राजदंड सुटलेले गीत फुटलेल्या त्वचेचे आठवणींची शंका उपासमार न करता या अंधाऱ्या भूमीत जेथे महिला, ग्रेपशॉट नंतर पुरुष आणि मुले त्यांच्या स्पष्टतेसह धूप कोमेजलेल्या फुलांचे आर्मफुल विखुरलेले केस अणकुचीदार हेल्मेटच्या व्यंगाकडे ब्लीच झालेल्या शरीराच्या नडग्या तोडणे आणीबाणीच्या बाहेर काढण्याच्या सर्कसमध्ये जुळण्यासाठी गाड्या आणि बंडल माझी छोटी मुलगी मी आग लावीन पुन्हा एकदा तुला झोपण्याच्या वेळेची गोष्ट सांगतो चांदीचे फॉइल खिडकीच्या चौकटीवर ठेवले तरंगणे आठवणींच्या समुद्रावर विवाह विधी पांढरा छिद्र प्रेमाचे दरवाजे कोमल हावभावाने ढकलणे किनाऱ्यापासून खूप दूर प्रचंड एल्मची सावली.