
Margelle des mots aux portes souterraines effluves lasses que le vent porte sage renaissance des sons de l'enfance présence chérie des cerises en printemps que la dent croque mitaines dans les poches de notre avenir sous l'ombre des platanes ma ka huinahalike halepule la morsure du froid atteignant le tréfonds de l'âme souplement parmi les graminées un souffle sur ta main en descente du soleil e like me ka hele ana. 345