Le corps diten dérive de ce qui vientle plaisir et le mystèreaux rivesde dés jetés en pâture. Glorieuse advenuedu temps qui passepour que viventl'élan des rires clairset le lait de ton sein. Chemin montantvers la gorge rauquele cri souris des milanspose d'un reflet d'ambrela fleur éternelle. Ma mieaux draps froissésmes doigts ne peuventqu'échancrer les portes du palaisoù renaître en creux et en bosses. Palinodie des offresla marchande des quatre saisonsne passera plusau gai ruissellementdes roues ferrées sur le pavé. Dénoue les rubans de la fêteRequinque d'une pichenetteles lanternes chinoisesle bandonéon recèleplus d'un sel. Laisse-toi lécher le bout du nezpar les chimères du châteaumonte la nuit près des tours de gardeblanche et jaillissantela lune s'offrira à toi. 398