Un deux troisronce le veux-tu ? un deux troislaine du mouton le veux-tu ? un deux troisau cirque triangulairese font se défontnos petites marionnettesfaisant cerclejuste pour admettrela chose ditela chose écritedéjà éparpilléesous la patte griffued'un griffon de rencontrelà où poussent les mousserons. Un deux troisc'est pas trop tôtun deux troisdu mouton la laine s'accrocheun deux troisjetons la bouéedu père fouettardet que l'on rafle la miseà la remorque du silencecheveux de Vénus pour l'élitechiures de mouche pour les pauvresqu'enfle et propagele flot continud'une musiquesans que l'instrument paraisse. Un deux troisà la coudée francheun deux troispour cette entrée à l'ermitageun deux troissans règle sans rébellionsans gémir sans contritionà la une à la troisà la joiede retrouver la beautédans l'arrière-paysoù tout se passela conscience en extasele travail en créativitépour que vivent les hommes. 771
Tout ce qui arrive est su c'est su de par le monde et puis dans le cosmos de la Corne de l'Afrique jusqu'au Guatemala avec plein de nouveaux insectes sur les larges feuilles de la forêt primaire.
Il s'en fallut de peu que le puma attrapa le panda et s'en serait fait de l'équilibre des vices et des vertus tout entier à leur tâche de prolifération sans que l'enfant des bidonvilles les pieds dans l'eau sale ne lève le nez.
Salaisons en toutes saisons à la portée des bourses les mures et les moins mures les burlesques et les lestes pour que le diable perde corne dans la charge brutale qu'il eût à opérer un soir d'avril.
Fuligineuses fumées dans ces soirées de barbecue en remontée de bretelles parmi ces panières où les effets de lumière furent distribués à hue et à dia aux migrants de dernière minute.
Cela arrive et il en fût de peu que les salaisons partent en fumée.
Le muscarisqui rit de ses grainsen grappes phalliquesépoux de la main. L'œillet du poètedu grand-père aux dents acidesau silence vraià la tige enchâssée. La campanulepenchée vers la terredu clocher à étagesaux abat-sons de bois. La pâquerettefluette et en fouleclame le soleildans l'herbe rase. La scabieusehampée haute à petit duvetprête à s'orienterlà où la lumière opère. La centauréeciselée à souhaitbrassant l'air pour farine futuremûrir un soir d'été. ............................................................................................ Il ferma les yeuxaprès les avoir ouvertquelques années auparavant. Pour de ses doigts bleuisenserrer le précieux cailloude derrière la maison. L'esprit de la Mareuilleplane dans la courd'une présence douce. Riquette me regardaiten penchant sa têteprête à obéir. Des voix graves montaient de la landeune pluie finefaisait se courber les joncs. Aux vieux frênesadresser quelques motsenchâssés qu'ils étaient dans les pierres du talus. Les médailles commémoratives de Verdunsous le portrait à la fière moustacheJean-Baptiste Victor. ...................................................................................... A lire le dictionnaireTout En Unles pages roussis par le soleil. A chanter seulsous la nef de l'églisepar le jeu de l'écho être ardente prière. Figure pieusedans son cadre en verrerecroquevillée par la gravité. La main épaissedurcie par les travaux de la fermearrachait les orties sans douleur. Pleurs du matin d'un jouravec le faisan sur la barrièretête sèche posée sur la pierre unique faisant siège. A l'épitaphe terminalefaire une ronde des motsque le promeneur lira de l'autre côté. Agenda illustré de dessins d'enfantsune île de protectionavec tout ce qu'il faut pour subsister. Avant "il y avait" "j'ai été" et puis après "il y aura". Des pas sur le graviercraquent les chaussures à semelles de crêpepar les chemins poussiéreux. De génération en générationles trompettes renomment et résonnentpour que se succèdent les humains de cette Terre.
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Les murs de briquesau crépi disjointvoient défiler la marche du temps. Dans le bois au loinl'homme et la femme creusent un trouavec une bêche ardente. Y déposent des pièces de monnaiedans un mouchoir pour recouvert de terrefaire un signe de croix. S'asseoir sur la chaise cannéeau bout de l'alléeles jambes pendantes. Dans les boispar le sentieraller jusqu'au bout du bout. Vers la lumière dans la clairièreflamme derrière laquelle les ancêtresdansent la bourrée. Revenir sur ses pastoi l'enfant de dix ans d'âgevers la plaine immense. Défilent les arbresavec le chat toujours dans les brastête, pattes et queue ballantes. L'homme finit de calfeutrer la fenêtrede planches entoiléesclouées avec vigueur. S'étendre sur la terre nuepar le noir advenuvivre à en mourir. 769
S'approcher de l'arbrel'écouterpuis le servir. Hors des buissons et des arbrisseauxune percée de lumière prélude à la rencontredu grand placide. Il ne demande rienque l'abeille lui fournisse déjàmais il pompe le ciel et la terre. Ne lui demandez rientenez vous simplement contre son tronccontre la vie. Ça pique et ça pincequand le froid vitriole le sous-boiset que l'orgie de glace palme les sens. Une croûte minérale s'attache aux branchespour casser d'un bruit sec la levée des couleurssans que sursaute le sanglier à l'affût. Ils ont aménagé les abords du Fabuleuxà un kilomètre à la ronde les panneaux sont en placepour aller joindre les mains autour du fragile géant. La lune parfois est au téléphoneet jongle flamboyante d'une branche l'autredans un air vibrant et grouillant. J'ai planté mon trépied et attenduqu'elle passe devant l'objectifjuste une fraction de seconde. Avec ses cuisses fripéeselle répondra à mes tambourinades digitalespour m'envoyer un sourire froissé. Là, une ouverture sur la droiteirise mes souvenirsen une impérieuse nécessité d'aller y voir. Droit, le prédateur était làet dire que je ne l'avais pas prévuun peu pressenti peut-être. J'ai hurlé de toute la force de mes poumonset mes dents ont craché de la couenneles restes de viande de la dernière bouchée. Tout est enfreintun concert de casseroles fourgue la beautéaux herses du passé. Figurez qu'ils nous restent quelques préjugéspour que les signaux d'alerte nous mènent en enfernous les fléchisseurs d'ordres. Moi complice ? Jamaisj'ai juste fracassé les tibias de mes voisinspour les faire sortir de la lassitude. Furieusement inscrits aux pages jaunesnous avons débranché le répondeurpour de nos yeux vairs chanter l'ode des bois oubliés. La liste s'était allongéedes noms étranges dégoulinaient des paragraphesune folie volontaire devenait substance vide. Un vol de moineaux jaillit d'on ne sait d'oùécrasant de ses piaillements l'ombre prégnantepar la pose à profusion de points de suspension. Méditer n'était pas avantageuxles anges s'étaient enfuis vers les montagnespour un grand symposium. Ciller de la paupièreformait une vasque pour les pleurscapable de nourrir le sourire de la sidération. Le cortège se mit en marchedans une brinquebalante cariocaaux frasques reconnues et admirées. Paraît que l'année claque de la languequand l'heure d'été tonneet qu'à vitesse réduite le printemps se lève. Passer le doigt sur ta peau nuecreuse mon ventre d'une pâleur monotone~ comme c'est étrange d'aimer. L'épitaphe résonna jusqu'aux anneaux olympiquesde nuit l'estafilade absorba la noirceur du proposun visage neuf effleurait mon visage. Bras levésnous fûmes secouru de nos boudins de caoutchoucnous les pénitents des pérégrinations. A garder le flot des cendressous la plante des piedsamène les mots à deviser. Mais la mort est à prouverl'air à épieret la petite voix à écouter. 768
Les phares de la voiturevaporisaient une bruine tenace sans un battement de cilset P'tit Louis n'arrêtait pas de jazzer. A trop parler mal étreintce qui fût penser fût faitet P'tit Louis fût débarqué à l'entrée du port. Filant bon trainnotre couple tenait bonsous les rafales des incitations à changer de bord. Nous aurions dû leur direque ce qu'ils vivaient était inappropriéau propre comme au figuré. Et qu'à trop figurer au tableau d'honneurles électeurs finiraient par se lasseret passer à d'autres perspectives. Que P'tit Louis n'arrêterait pas de médireils n'en avaient que fairemais quant c'est trop c'est trop. Cinq heures déjàet sans la possibilité de rebrousser chemincar la route devait avoir été coupée. Ils auraient dû aller plus vitemais la fatigue leur faisait prendre les viragesde plus en plus lentement. C'est alors que la forme blanche apparutavec une tignasse rouge sanget son visage terreux. La voiture pilaleurs têtes furent projetées vers l'avantdans le pare-brise qui éclata. Le silence étira ses longs doigts de perles finessur les corps sans viede Pierre et Adèle les amants de l'arbre-monde. Ces arbres de l'autre côté du décorà modeler le ciel et la terrepour nous permettre de voir des choses. C'est ainsi que les jours se dilatentet que rester sain d'esprit dans la transeest caresse d'âme dans le vertige des mots. Quand à la Terrenous pourrions la considérer comme un organisme uniquedont nos petites histoires seraient l'esprit même.Aux multiples entréesles personnages font bien ce qu'ils veulenten pleine expression d'eux-mêmes sous un jour nouveau.Et si le sang bat à nos oreillesmême dans le bruit d'une pluie incessanteattendez-vous à l'évidence hurlante.Qu'une autre voie est possiblequand l'armure se fendet que le jour hache la vision des allumettes enflammées.767
మేము వ్రాసేటప్పుడు రాత్రికి చంద్రుడు మన కన్నీళ్లను ఆరబెట్టాడు మరియు రోజు యొక్క దుమ్ము నెమ్మదిగా ఖాళీ అవుతుంది. ఆలస్యమైన రాక్షసత్వాలు ఉన్నాయి ఈ భూమి మీద ప్రయాణించారు ఎడతెగని మూర్ఛల ద్వారా. అప్పుడు నిశ్శబ్దం ఉపేక్షకు దారితీసింది కాలక్రమేణా జ్ఞాపకశక్తి చెరిగిపోతుంది సముద్రాల సముద్రానికి, ఆదిమ సముద్రం. చాలా త్వరగా దత్తత తీసుకోవద్దు ఏది మనల్ని పోలి ఉంటుంది మరియు మనల్ని ఒకచోట చేర్చుతుంది పునరుద్ధరణ యొక్క మలుపులో. పుట్టుక నుండి మరణం వరకు బుడగ నుండి జ్ఞాన బుడగ వరకు అది తప్పనిసరి, లేకపోవడం. జంగిల్ క్రీపర్ వంతెనపై పని చివరల ప్రశాంతత సాధ్యమయ్యే హత్యాకాండల భయాన్ని సూచిస్తుంది. డ్రిఫ్ట్ నుండి మతిమరుపు వరకు బలంగా ఉండుదాం శాంతి కాలాలు ముగిశాయి ఇప్పుడు అది యుద్ధం. ముసుగులు మరియు టీకాలతో మేము తలుపు తర్వాత చేతులు కడుక్కోము అరవడం : " తరువాత " యాదృచ్ఛికంగా. వారు తిరగడానికి వేల మరియు వందల మంది ఉన్నారు దూరంలో ఉండగా దీపస్తంభం మినుకుమినుకుమంటుంది నుండి " చూడలేదు, తీసుకోలేదు ". మెట్ల రెయిలింగ్ను దాటండి he slipped to the entresol వాడు ఎక్సోడస్ యొక్క పెట్టెలు మరియు సంచులకు. పజిల్ ముక్కలను కలిపి ఉంచడం మర్చిపోవద్దు మరియు మీ కోరికలతో వార్మ్హోల్స్ను పూరించండి వడ్రంగి ఎలుక తోకతో. ఉప్పు భూమిని కప్పేసింది మరియు స్వచ్ఛమైన నేలపై శవాల నలుపు మన భవిష్యత్తు జీవితానికి మూలాధారాలను ఏర్పరచింది. తీసుకోవడం, సర్దుబాటు, ఒకరి నొకరు ప్రేమించండిఅసమంజసంగా, విపరీతంగా, అనుమానం లేకుండాకరిగిన సంఘర్షణకు కేవలం ప్రతిరూపం.ఎక్కువ చేయడం గందరగోళాన్ని ప్రోత్సహిస్తుంది తోడేళ్ళ సమూహానికి అంకితమైన మా ప్రవృత్తులు traversant furtivement notre lucidité. 766
Pour peu qu'elle trembleil y aura des mots mystérieuxsans que les gens s'éloignentdes oies du Parnasseen cession des passions. Sur l'autre rives'élèverait la romance caramellede l'été affectédu temps des caresses appuyéesà la croyance dédiée. Marche commune du Maître et des esclavesen expressions et tâtonnementspour l'adaptation au licol partagédes chapiteaux de Haute Courà la puissance maîtrisée. Le message chuchoté à l'oreillepar soucis de clartérestituera promesses et considérationsà la croisée des cheminsdans l'attente de l'enfant de lumière. 765
Arrêté au bord du cheminpar la lourdeur du sac déposéj'ai fait un trou dans l'abdomenet le sable a jailliplein de voyelles et consonnes blessées. A mesure de l'épanchement du minéralde l'entonnoir des lieuxà la courbure de l'âmeles mots se sont collés aux poilsde l'animal blessé que l'on m'avait confié. Le Silence pleurait la fuite de l'espritet la main ouverte offrait l'estompedes lignes et rotonditésqu'à la une à la deuxla fillette métamorphosa en sautillements. Rien au bout du boutle regard en dentelle derrière les cilsorientait le promeneur perduvers le Compostelle de son erranceunique banquet de la journée. D'algarade pointles chevaux au repos cognaient leurs ferruressous la dent régulée des peupliers de la haieagités avec forces craquementspar les versificateurs d'absolu. 764
Chamelle rondouillardeà portée de la mainsous un ciel d'airainje vous pris pour dentelle de pierretellement vous étiez hiératiqueà l'entrée du passageassemblés que nous étionspour ce travail d'affinageprélude à l'ascension de la grande dune. Chamelle ma bellerondouillarde à souhaitle ciel gris souris nous faisait la niquevers les terres d'en hautoù sautillant comme de jeunes oiseauxà la fluidité orgasmiquele simoun devait nous liquéfieret donner le départ à l'exploration des méandresde nos labyrinthes souterrains. Osons, le baiser derrière l'oreillebelle chamelle à la notoriété mamellairepour qu'en cortègeouvrir les fenêtres d'un avenir puissanten marge des discours barguignéset régler notre ticket d'entréeaspirés hors tout et cependant vivantspour l'ultime épreuve d'accès à la concorde. Régler la mire sur le cœur de l'arbrenous mis dans l'embarrasbelle chamelle et moià point nommer pour entendre du Maîtrequelques paroles toutes de sagesse : " ne t'avise pas de me visercar l'écorce de mon âmete permettra de deviserautant qu'il t'en plaira ." Murmures et respiration retenusnous prîmes le quartbelle chamelle et moià la coupée du vertigepour extraire du coffre de la nuitles jours de cireet allumer la flammeà grandes brassées de gui jetées dans le chaudrondes fissures de nos certitudes. Osons , osonsde l'oseraie prélever la badineet fouetter jusqu'à l'outrageles deux parties de nous-mêmemasculin-fémininombre et lumièreconscient et inconscientpour plonger celles-ci dans la mutuelle contemplationd'elle belle chamelle et de moi enfin réunis.764
Dans sa blouse grise des années cinquante à fines rayures et boutons rouges elle montait la côte reliant les hameaux du Bas et du Haut .
La vie était belle telle un grain de chapeletvieilli au passage du transformateur électrique un bonheur en appelait un autre.
Nous faisions le trajet avec le troupeau la panière de linge humide dans la brouette par la sente caillouteuse.
Rien n'y changeait fors l'honneur comme disaient les gens bien pensants dont les souliers semblaient éviter la poussière.
Elle s'appelait Jeanne je l'appelais maman et ses yeux noirs coressaient mon front telles les ailes d'une hirondelle.
Par le chemin de Lacombe il y avait le monde aux têtes de chardon versle bois de Laroussière où le vent soufflait frais.
J'ai rêvé que le village s'envolait par dessus les champs ondoyants vers un ciel aux célestes demeures sans qu'une pierre nous fasse trébucher.
Il y avait là les ancêtres dans leurs habits du dimanche à lisser leurs moustaches et épousseter le bas de leurs robes.
Des chiens au loin croisaient leurs signatures sonores et l'écho embrouillait le tout avec l'aigu des oiseaux de la haie.
J'ai écarté les doigts devant mes yeux pour percevoir seux qui nous veulent du bien aux fins d'un étreinte chaleureuse.
L'on donnait peu, on ne recevait rien tout était là avec la possibilité de s'engendrer soi-même et de renaître entre nous.
Le plein d'eau de la fontaine les arbres tisonnant l'orage qui approchait la mécanique sans poulie ni courroiedu charoi tout était disposé à te dire "je t'aime".