De lourds nuagescomme après les laboursla terre qui colle aux bottesvous l'ouvrier des souvenirs. De lourds nuagesm'accompagnenten sortie de nuitaprès le passage des rêves. De lourds nuagesont encalminé ma mémoireque la potion du matinfait se délier comme paquet cadeau. De lourds nuagesimmobile fenêtre ouvertela fraîcheur envahit la piècevite, Grand Chat m'appelle ! De profonds sillons balaient le cielau carré d'as des apparitionsla voûte s'éclaire de l'Apocalypseheureux engendrement en quête d'absolula main et sa mitaine pendouillent au clocherles grandes orgues rendent la nef grossemon cœur est en poutrellesavec plein d'attaches métalliques entre elles. 826