Musi czas implodować? i służyć ziemi! de ses histoires fourchues.
Czy rana? wiecznie zgorszony kiedy życie się kurczy.
Idź swoją ścieżką człowiek bez horyzontu ten strach ujarzmia. podaj rękę przez pęknięcie tajemnicy że inna ręka chwyci. Nie odkładaj swoich marzeń w okresie Wielkiego Postu losowa zmowa. Évoque l'arbre pliant dans l'orage w rytmie pod podmuchem przywłaszczyć sobie duszę wiatru,. Écarte les chemises du printemps pod słodyczą kwiatów wiśni liczenie żerujących pszczół. Bądź mieczem ognia wędrować po łowiskach des phrases incises. Sois l'épousée wiecznej rzeczywistości dans sa transcendance fleurie. Bądź solą i mirrą sous l'eucalyptus frissonnant qu'anime les eaux de Tibériade.
Ce matin je suis mort et ne puis concevoir ma vie comme révolue. Les souvenirs ne pèsent plus le temps n'a pas d'horloge la neige est étale les oiseaux chantent le silence je ne marche plus je ne vole plus et ne sais si la moindre chose se fait. Puis-je alors dormir sans vigilance d'un sommeil permanent dans l'indifférence d'un état naturellement surnaturel. Puis-je revenir aux lieux de ma naissance sans effort à mesure que pelote se défait fil à fil centimètre par centimètre les ferrures de l'esprit sautent pour un pas de plus ne plus toucher le sol pieds nus les mains papillons inutiles sans que le sourire opère à même les coulures rouges groseilles contre le mur de l'oubli. Ce fût un instant sans que paraisse la nuit un instant de lèvres sèches devant l'enveloppe à encoller missive survenue. Je pouvais alors porter en terre la caresse d'êtrmi et enfanter.
Elle a vol à voilede ses yeux à ciel ouvertcaressé les monts et les vallons. Elle a lessivéde ses pleurs les continentsà faire déborder les océans. Elle a marché sur les brisures du tempseffondrement soudainde trou noir en trou noir. Elle a secoué les nuages et les maréesaux quatre points cardinauxde la sainte alliance. Elle caresse les étoilesau vent solaire d'un excès de lumièresans que l'ombre la pénètre. Elle est visité par des corpsde gaz de roches et de ventpour mourir et renaître. Elle rafraîchit d'une once de hasardles élans de la cause premièreessence même de l'homme. Elle est l'ancrage sagede l'existant et du surnatureldanse et passage d'un silence sensé. Elle est boule et tourneen élipse sur elle-mêmechemin à l'issue mystérieuse. Nulle oreille ne l'entenddraperie aux ajours lumineuxenchâssée dans son offrande. Terre ô ma terremère la terre est belleterre ô ma terre. 390
Si menues les mains de Marieque l'orgue émet le chant des oiseauxgazouillis d'entre les voilesde la montée vers l'aube. Sur l'âne musicienj'ai mesuré du regardla distance du moi au soiune pichenette d'éternité. De crânes à même le sablepointl'obsidienne par contrese lamentant d'ordres laissés là. Noire de peau et blanc d'écumedans l'encadrement de la fenêtreune fumée s'élèvedouce et tracassière. Ils sont beaux et bonsles chants de l'Êtreoutres ouvertes des enfants d'Emmaüslibres d'angoisse et de néant. Caresse d'ombresur le gril du soleild'une quête danse l'amourodpowiednio. 389
Ces mains qui ne ressemblent à rienpas même à la plaie se refermant. Cette embrasure de porte franchiepour respiration se faire forte. Ce regard si lointainsans que lève le voilelà contre l'épaulecadrage des jours tristesà contempler les fusains de Sylvainrevenus à flotsnausée au court-bouillonles cafards de la mémoirecrachotant leurs déjectionsau rythme d'une cigarette. La fenêtre était ouverteles mouettes tournoyaientle vent suça la moelle des osune dernière foispuiser l'eau du puits de la Vieilleun bruit derrière la porteje savais qu'il ne viendrait pasmâchuré au vertige de l'oublidu vent dans les venellesà encorner le diableet s'y mirermousse douceau limon des jours fertilesune bougie sur le devantune lanterne à l'arrière. 388
Budować żeby nie musieć zostać. Ignoruj codzienne ugryzienia dla większej lekkości w elewacji. Dowiedz się, jak zebrać resztę niepowodzeń w procesie świadomości.
Być wilkiem na krawędzi i udawaj, że ignorujesz drut kolczasty Wielkich Równin. Otwórz szeroko oczy przed ekspansją wiatru zachodniego.
O świcie pożegnanie z dowodami księżyca iść w kierunku światła. Zapisz świecę bez palenia stosu wspomnień.
Uświęć wewnętrzną krótkowzroczność w zmiętej pościeli nocy odosobnienia”.
Une nuit en tendressed'élans pulvériséeles feuilles d'automneorchestrent la retombée sur terre. Du bruit dans la lessiveuseune clé par inadvertancelaissée dans la pocheun oubli pour trop peu dire. A niveause mettre céanset puis rienun rayon de soleil par le volet à claire-voie. Partir tout doucementpapillonnant au gré du ventsans ressentimentjuste un œillet entre les dents. Asseoir son arrivéesur la pierre dure de l'entréesous les barreaux de la fenêtreÔ Mère Grand ! 387
Być, Stracony Dans la frilosité des avancées technologiquesCoups de gueule contre le mur des incompréhensionsSe lient et se délientLes bonnes raisonsAu sens giratoire d'un consumérisme béat. Uderzenie skórką z kopyta Le condominium des afflictionsL'homme de bureEn ses vérités surannéesDevient Don QuichotteDerrière le miroir des lamentations. Wspinaj się po dołach orkiestry L'appel des repris de justice, Vêtus d'hardes spectrales, Corps éventrées, Rigueur ajoutée, Harnachés d'obsolescence programmée. Nieprzypięta celuloza En effraction d'un ordre disperséLe temps appelle le tempsAu creux d'un nid de coucouLa vase refluanteColmatant les brèches de l'oubliS'enquière d'une halte secourable. Przyjdź nie wiadomo skąd Dans un faisceau de lumièreLes mains ouvragèresAux doigts grêlés de piqûresRonde enivranteLe regard baisséRassemblant les myriades d'âmes errantesAutour d'un chant psalmodiéQue le tissage expose. 385
Wszyscy tacy wrażliwi jesienny liść klonu czerwony od pierwszego wejrzenia upaść na ziemię fleurant bon la cigognequ'un air de fête accompagnâtw swoim locie. Pojawia się dusza w bukiecie jedwabistych wysiłków au soleil naissant de tendres accolades.
Haut les cœurspieszczotliwy być przerywane deszczem gwiazd został stoczony ze zbocza koło życia w dół do strumienia rozproszone wspomnienia różowe uniesione usta ku nawie naszych oczu de tant d'étoiles éclose.383