Tu vois c'est blancet quand c'est blanc c'est pas noirmême si c'est en tremblantque le coutre de la charrueévite la feuille de vigneavant l'interception du pic épeichede ricanements et de honte ceintdevant la caillasse secouéeréalité incontournable des forces drues. Et quand c'est blanc c'est pas noirhors les métamorphosesde tant de couleurs en élévationlissées de leurs parures végétales et minéralespour de plus amples inflexionsnourries par le vin qui réjouit le cœuret devenir coupe de vertigehors les incartades de l'espriten rémission du jeu de courte paille. Et quand c'est blanc c'est pas noiraux reflets de l'oragela pomme d'Adamprotubérance acquisepar l'immobilité grave en bord de falaisepermettant de poser de tendre manièrele brassard blanc sur le bras de l'oranten accession verbalevers la licorne des influences. 755