Elle a vol à voilede ses yeux à ciel ouvertcaressé les monts et les vallons. Elle a lessivéde ses pleurs les continentsà faire déborder les océans. Elle a marché sur les brisures du tempseffondrement soudainde trou noir en trou noir. Elle a secoué les nuages et les maréesaux quatre points cardinauxde la sainte alliance. Elle caresse les étoilesau vent solaire d'un excès de lumièresans que l'ombre la pénètre. Elle est visité par des corpsde gaz de roches et de ventpour mourir et renaître. Elle rafraîchit d'une once de hasardles élans de la cause premièreessence même de l'homme. Elle est l'ancrage sagede l'existant et du surnatureldanse et passage d'un silence sensé. Elle est boule et tourneen élipse sur elle-mêmechemin à l'issue mystérieuse. Nulle oreille ne l'entenddraperie aux ajours lumineuxenchâssée dans son offrande. Terre ô ma terremère la terre est belleterre ô ma terre. 390
Si menues les mains de Marieque l'orgue émet le chant des oiseauxgazouillis d'entre les voilesde la montée vers l'aube. Sur l'âne musicienj'ai mesuré du regardla distance du moi au soiune pichenette d'éternité. De crânes à même le sablepointl'obsidienne par contrese lamentant d'ordres laissés là. Noire de peau et blanc d'écumedans l'encadrement de la fenêtreune fumée s'élèvedouce et tracassière. Ils sont beaux et bonsles chants de l'Êtreoutres ouvertes des enfants d'Emmaüslibres d'angoisse et de néant. Caresse d'ombresur le gril du soleild'une quête danse l'amourodpowiednio. 389
Ces mains qui ne ressemblent à rienpas même à la plaie se refermant. Cette embrasure de porte franchiepour respiration se faire forte. Ce regard si lointainsans que lève le voilelà contre l'épaulecadrage des jours tristesà contempler les fusains de Sylvainrevenus à flotsnausée au court-bouillonles cafards de la mémoirecrachotant leurs déjectionsau rythme d'une cigarette. La fenêtre était ouverteles mouettes tournoyaientle vent suça la moelle des osune dernière foispuiser l'eau du puits de la Vieilleun bruit derrière la porteje savais qu'il ne viendrait pasmâchuré au vertige de l'oublidu vent dans les venellesà encorner le diableet s'y mirermousse douceau limon des jours fertilesune bougie sur le devantune lanterne à l'arrière. 388
Budować żeby nie musieć zostać. Ignoruj codzienne ugryzienia dla większej lekkości w elewacji. Dowiedz się, jak zebrać resztę niepowodzeń w procesie świadomości.
Być wilkiem na krawędzi i udawaj, że ignorujesz drut kolczasty Wielkich Równin. Otwórz szeroko oczy przed ekspansją wiatru zachodniego.
O świcie pożegnanie z dowodami księżyca iść w kierunku światła. Zapisz świecę bez palenia stosu wspomnień.
Uświęć wewnętrzną krótkowzroczność w zmiętej pościeli nocy odosobnienia”.
Une nuit en tendressed'élans pulvériséeles feuilles d'automneorchestrent la retombée sur terre. Du bruit dans la lessiveuseune clé par inadvertancelaissée dans la pocheun oubli pour trop peu dire. A niveause mettre céanset puis rienun rayon de soleil par le volet à claire-voie. Partir tout doucementpapillonnant au gré du ventsans ressentimentjuste un œillet entre les dents. Asseoir son arrivéesur la pierre dure de l'entréesous les barreaux de la fenêtreÔ Mère Grand ! 387
Być, Stracony Dans la frilosité des avancées technologiquesCoups de gueule contre le mur des incompréhensionsSe lient et se délientLes bonnes raisonsAu sens giratoire d'un consumérisme béat. Uderzenie skórką z kopyta Le condominium des afflictionsL'homme de bureEn ses vérités surannéesDevient Don QuichotteDerrière le miroir des lamentations. Wspinaj się po dołach orkiestry L'appel des repris de justice, Vêtus d'hardes spectrales, Corps éventrées, Rigueur ajoutée, Harnachés d'obsolescence programmée. Nieprzypięta celuloza En effraction d'un ordre disperséLe temps appelle le tempsAu creux d'un nid de coucouLa vase refluanteColmatant les brèches de l'oubliS'enquière d'une halte secourable. Przyjdź nie wiadomo skąd Dans un faisceau de lumièreLes mains ouvragèresAux doigts grêlés de piqûresRonde enivranteLe regard baisséRassemblant les myriades d'âmes errantesAutour d'un chant psalmodiéQue le tissage expose. 385
Wszyscy tacy wrażliwi jesienny liść klonu czerwony od pierwszego wejrzenia upaść na ziemię fleurant bon la cigognequ'un air de fête accompagnâtw swoim locie. Pojawia się dusza w bukiecie jedwabistych wysiłków au soleil naissant de tendres accolades.
Haut les cœurspieszczotliwy być przerywane deszczem gwiazd został stoczony ze zbocza koło życia w dół do strumienia rozproszone wspomnienia różowe uniesione usta ku nawie naszych oczu de tant d'étoiles éclose.383
Żegluj po białych wodach spryskaj z rozsądkiem nieużytek. kamień w kamień wspinać się po ścianach domu. Podążaj za nawadniającą trawą przeciwko uprawie ogrodu ten paginowany raj. Wykop dno pola i wejdź na ziemię! po więcej humusu. Odkrywaj dzikie ścieżki do swobodnego przejścia se mouvoir entre taillis et buissons. Uciekanie się do dziecięcego bełkotu Wróć w Krainie Czarów. Usiądź bliżej ziemi napompuj płuca dobrym zapachem i spójrz na trollingowe niebo. Tam po drodze dziadek wraca ze spaceru ręce skrzyżowane za plecami. L'alouette lulufixera un matin de fêteles lampées de brume. Odwraca się w przelocie biała forma bliskiego, przebiegłego przyjaciela. można policzyć na palcach dni po zdaniu de salissures énuméres. Zasiane marzeniami l'homme de poésiepodpisuje swoją obecność milczeniem. Dotknij policzka małego księżyca w spoczynku oczy szeroko otwarte ssanie ust. oddział zimowy przez błyszczące pąki provoque le printemps. A jeśli lenistwo zobowiązuje głupia rosa odzwierciedla patrzącego. chodź le grand-frère est arrivégdzie położyć głowę?. 382
Jestem wojownikiem cienia a gorzka fala nie zmusi mnie do złamania przysięgi. Ilość " Il " podszedł i uderzył mnie od tyłu la voie lactée s'enroula d'une écharpe dernière.
budzę nawracający uraz gardła wezwanie nad baldachimem w wietrze deszczowych nocy przycupnięty przeciw mistrzowskiemu drzewu. noszę w ustach świeża woda z kory napięte ucho ziemia martwych liści szeleszczące wyblakłe wspomnienia. Wydychaj zapachy bagien gra czerwony księżyc de ses pupilles aiguiséestaniec czystego nieba entre les draperies de la ramurei czarne od sadzy chmury. Noszę odznakę mocy na tarczy zobowiązanych zatracić się w rozszczepialnych słowach na zamarzniętej kuli des songes rouges sangs. 381