Štiriindvajset sveč umetnika Ont comparu en formation Diligentées par l’Élan éternel D’un parturient de hasard Au mandala de l’existence.
Fenêtre sur l’Éternité Étrange coïncidence D’avoir à encenser La Vierge Noire de la paroisse Dans la pluie le brouillard et la fumée.
La Grande Église était ouverte Un seul arbre poussait Ce magnolia inondé de fleurs rougeâtres À même de réverbérer La petite île du milieu de l’étang.
Un pas de plus Aurait légitimé Une main tendue Sans effort Contre la pierre brûlante.
Je la rencontrai Là où se trouvent mes racines En complémentarité des ombres Que je dus travailler À même les divertissements de la matière.
C’était un trois septembre deux mille vingt cinq Je peignais les plafonds à caissons De motifs de la Création À Allanche-la-Grande Porte fermée pour un repos éternel.
Les ancêtres étaient alignés Contre le mur de soutènement Et j’osais la parole salutaire En application de la loi : « Sois Toi ni plus ni moins ! »
Dans la salle capitulaire En forme de nasse Les parois pleuraient Au goutte à goutte Sans dispersion de l’Élan d’origine.
Penser avec sa tête C’est faire cause commune Avec les trublions de la lune Dansant jusqu’à la démesure Sur les terres récemment incendiées.
Penser avec le cœur Est fleuve majestueux Coulant comme légende Parole perpétuelle Participante des rites mystérieux.
Penser avec la flamme Remplit l’Être de fierté Le secret vital à hauteur de visage Contemplant le soleil De l’Autre Côté.
Penser âgé Dispensateur de bonheur Le regard effilé comma épée de justice Engage aux Affaires Une aiguille d’os au travers des lèvres.