Ding dong !

À l’auberge de la brebis
Il y avait thérapie de luxe
Avec vent et forte pluie.

En rêve mariage passé
La bouche pleine de mots
Savourait lente dépression.

Le gentleman-farmer des lieux
Perdu dans son histoire des Pyrénées
Susurrait sa propre image.

Rideau !
Rangeons les griffonnages
Recueillons le baiser des dieux.

L’humanité est un fleuve de sang
Et de naissances en haute considération
Sans rappel fraîcheur venue.

Ses longs poils sont l’accomplie
De la contrainte cloche au cou
D’assujettir les temps qui courent à l’esprit du tapis volant.

Solidement encastré entre corps et âme
Un petit signe de sa tête aux oreilles rabattues
Ressassait glissade dernière sur l’embonpoint des collines.

Histoire d’une vie
D’avoir tiré coup de fusil à cette altitude
Fait fuir le lagopède.

Envoyer sa voix
Tel jeté de roses contre la paroi
Laisse pantois le gardien des moutons.

Flotte dans l’air
Les yeux de l’aube
Contant la fin d’une légende locale.


Deux verres de génépi
Permettront de faire éclater le cœur
En un nuage de papillons.

Ding dong ! ding dong !
Bien au-delà de l’escadrille des lépidoptères
La brume faisait caméléon d’une moue mère.


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