Tel l'œil en écueil d'êtretrace où devenirce qui est déjà làen soisi loinaux rives insenséesde cette simplicitéoù se trouversi petitrelié au tréfonds de l'universpar l'operculele décollement d'avec le mondenous qui sommes le mondeen instance. Bougersentirલાગે la marque de l'évolutionsur le gras des convenanceslaisser échapperen l'échancrurele rire des rencontresએકંદરે à la veilléede notre mortde notre naissance. A que le monde est beauau souffle des venuesque le silence épelleen la soif des ridulessur le lac immenseeaux primordialesde passage néanmoinsque la main effacesitôt trace faites. Demeurezne soyez pas de marbreaux veines figéessachez prendre les fils de lumièreસારી કંપનીમાં au hasard des arrimagescarène des termes échusà la remontée des abyssesau saut de vol à voiledrapé dans la risée des embrunscouteau refermésoc millésiméde l'éveil en soi. 521
Jody le faon trois petits tours et puis s'en vont les notes claires esprit du piano de Glenn Gould en rond sur la portée de terre battue parmi les flaques d'eau d'après l'orage cette fraîcheur qui vous gagne au sortir de la grange à sauter à pieds joints point de romance juste le sourire jusqu'aux oreilles. Attendre que les chiens montrent les crocs et jappent en désordre sous l'antienne vespérale à coudre la pièce de tissus une nappe un drap pour recouvrir la planche sur ses tréteaux adjoindre les chaises dépareillées aller dans le pradou cueillir les fleurs pour la tablée. A tout âge ménage fait rangeons les balais soyons les Parfaits châtelains en habits rapiécés sous la poterne assister la levée du jour par les champs de coquelicots et de bleuets mêlés. Remisons la communauté aux patères du passé soyons les obligés de la lumière.
De sa mainhaute placéeà la croisée des arbresles fils de la viergemenaient grand trainet grand silenceede gouttelettes de roséeet de lumièreau chant du coqque le torrent accompagnaitde son charroid'eau et de galets mêlés. Ouvrir la fenêtrepour que matin surviennemon âmemessagère appeléeet maintenant si prochesous la parure des brumesdais de vives couleurs levéesoù claquent les oriflammesdu grand rassemblementpassage où tout passeet nous dépasseau grandir du jour qui point. 520
JANO le costaud renversa la table le bougre en son irascibilité et la bougie qui s'y trouvait et la banalité de la soirée partirent les invités chancelants en ordre dispersé le chapeau à la main. JANO l'enfant posé sur une chaise restée debout les yeux accrochés au lustre deux gros yeux pairs pour une pipette de verre que le chat négligemment tentait de capter tel le mickey des fêtes foraines JANO pestait. Fallait que le jour vienne compatissant démesurément éclatant pour qu'en chaque recoin du palais jaillisse richesse inoculée une lumière aveuglante à faire se courber les dendrites hors la source des cellules.
Le clapot des mots doux ensemencent la main des simples. La laine des moutons contre les picots du barbelé signe le vent. D'une rêverie l'autre s'enchevêtrent les souvenirs au gré du torrent. Il n'est de trêve passé le gué que les mâchoires de l'oubli. Mon ami le néant a rompu les amarres et vogue trotte menu parmi les poussières d'étoiles que nous ramassons le soir lorsque nuages et lune retournent au combat. Il n'est d'avenir qu'au service du monde lorsque tombe la pluie pour qu'arc-en-ciel des désirs être fidèle à son âme.