Hoc manegasoline est in sleeve ,cinis est frigus ,nos posuit flores fakeque l'effet en aurait été plus fumant .Non satis est queri ,est etiam pugna pugnare .Pugnamus , batting est .Sed contra quem ?contra id quod ?Ego pugnabo contra Petrum vel Jacques ,dum ego ille qui de illis multum cogitat .contra mundum pugno ,sed quid interficiam ramum sedeo? ?Contra naturam pugnare ,sed quid pugnas quod me pascit? .Dum vita adestsic aquaguttatim de libratae clepsydravitrum venetum ab clangoribus solis ,sic clepsydris metiunturquod grano per granumadpetentes tempore certaminis .Aliqua pugna ridiculum videturquia nihil prohibet vitam ,procedere ,ut circa impedimenta ,ambula ,ascend ,descendere usque ,ascendere , dives in iudicio offendit .Numquam opprimere transitum ,ne parum perforato exercitio memoriae cava .Et tamen non cigarette me lit ...( Photo ex opere ab Elianthe Dautais )218
Sedimentary congelationis in cute eburnea ,tempestas sono et lumine .Saltare aqua et cogitatione ,devolvitur texturas ,intersecans genealogiis ,hospites fiunt .acuti vultushominis iam illic ;in receptionephysicus annuitquid ego petit .Expanded Conscientia ,vigilantiam et raritatem ,bene segmentum de temporeloqui verbumle temps d'une caresse nocturne .Haec voluntas ascendentis ;imago revelarebromide in balneum .Excitatio cuiusque fibrain iride texturade glacialis cohorte ;ultima scholaubi gradus exspectationisdubitationem flectereet delectat nova significatione ,Recurrat astri unique ,musica de yesteryear ,in lilac de fragili noctes ,saponem bullae ,acutis hats ,Baculum magicum ,nam stellae oculi tuirévéler le dialogue avec l'invisible .219
In casu opus ,sine linearity ,sine pittacium adhæsit ,non est consilium seu legempour cette occupation d'espace ,nos immemorem ,velare quod ,de coïncidence en coïncidence ,mixta signis et verbis velum levate .In horto deliciarum ,Isis nue ,Isis arbitrium factoremdiscordia armenta relinquenda ,Isis omnia pulchra ,clavum somniorum ,correspondentia prehenderat ,mundi pulchrior ,surdus aure susurro ,lux facta est mulier ,in perpetuum LINOimmemorabilis spiritusut magna arbor offert ,devoluta arbore ,lignum in fine mundi ,arbre élevé dans la métaphore ,fructus cunctationis ,fruits replets du plaisir à venirfluentem , flumen temporisinter scopulos realis ,le long des golfesaperta ad divinaquod bestia offerttrementia barba .217
De hoc volentes apprehendere , huius conatus pronuntio nomen tuum , hoc instantia sumendo tibi pro concesso , huius voluptuaria similesve in natales , hac absentia instrumenta grandparental , huius aculeatus cum phylacteria , Sylvain filium meum, loquitur humilis , et verba ex elephanti trunco , horum erumpit inter obiecti , huius venatio disiuncta verba , ostium opens , revelatur , organize , exaltatus tenebrarum mundi des grands chevaux de la présence . Furtivo interventu tempestatibus liquida et solida mathematice inclinatus à la levée du sens . Fuit tempus praesentationis vivus et fecundus , sarmenta et aridam herbam in lapel iaccam , ante portam rerum cadere corpus loco , locum elevationis , lieu de joie au-delà de l'oubli .
Vivamus intensive in collegio ex stricta corda , branchias aperta , reflexio animarum in processu elevationis . Sunt litoribus coronatus jellyfish , querelis joined , sacro orbe manus transmittere e pinguis palmetis . In hoc insidiantur; , immobile , esse praesentem prima hora solis slamming excessus post acrem petram iuxta salebra nativitatis . et concordia Veni verum , non trahere de manibus caestibus ad donator fontes , esse snitch , coccineum , non desideriis , radicitus momentorum in serto . Dimittemus landscape , lets 'solum vestigium in centro exspectationis , 's sit aes in musca loqui in campis LUTUM , lets esse ministerium de ala phoenice .
Quod est supra hominem finis vitae , paeninsula . Cum ad isthmum quid sumus? , fragilis homo , in ornatum de sciences , ars et spiritalitas mixta . Esse inter homines , homo natus humus , cuius radices in vicissitudines nostras demerguntur , nos , vagi , pauperes facere genealogia , per gradus , de statu ad staturam , oriri ad effectum magno supplemento fifes et tympana nos , gloriosi ordinis , litteras ascensores motus multitudine , ornata plumas ludicra . est tempus tam prope tempus sine timore tempus ultra tempus ut novus homo ambulat in sa vie cogitandi apta esse supra nostram minerality , nostrae animalis , nostrae historiae , conscientiae propitiatoriis signis , Aliquam lacinia purus incognita .
postremo senex et veniat ad me ventus refrigescant in collum . Non refert ad aetatem ut dum habemus adulescentia , refert semitas dum habemus visionem , quamvis infirmum corpus dum habemus altitudinem , non refert PROCLIVITAS dummodo habeat maturitatem , quid refert, si scalam non potes ascendere? quia scalae cum hac libertate coniungere . Apertum et mollitiem et pax cum parvis gradibus circum piscinam in quo omnis quiescit . postremo senex et veniat ad me ventus refrigescant in collum . 213
Des coquilles d'œufsplus ou moins flexiblesque la marée déposeau porte à portedes regards éteints .Dans la vasque des couleursle mirliton des choses diteseffleure d'un coup de fourchettel'ordre contenu des brisures de l'esprit .Il est des soirsplus clairs que d'autresoù l'enfant espèrene plus revivre ça .Le souffle des animaux anciens ,ces reptiles marins du précambrien ,
quand les cerveaux étaient plumes légères ,
bien avant que les hommes soient ,
mais que soleil et lune assemblaientpour quelques repèresdéposésavant la fin de l'histoire .212
Et c'est bien ainsi ,car cela n'a pas été faciled'oublier les guenillesde l'enfant construit dans l'obéissanceet de l'adulte formatésommé de fléchir le coldevant le joug des savoir-faires sociaux .Tu as vécutu as parcouru le mondetu as éprouvé la souffranceet mutésans toujours naître à toi-même .Le mimétisme qui t'a fait survivren'est qu'un cache-misèredevant l'épreuve ultime ,n'est qu'un cache-sexedevant la pulsion à perpétuer l'espèce ,n'est qu'un cache-cœurpar le forçage des sentiments à évacuer le malheur ,n'est qu'un cache-nezpour n'avoir pu respirer les effluves d'un nouvel-âgen'est qu'un rince-doigtspour n'avoir pu manipuler la connaissance ,n'est qu'un croche-piedpour tes envies d'espaces inassouvies ,n'est qu'un cloche-piedpour avoir fait des choixsans soutenir plus avant le paradoxe créatifmarche imposéeaurore vers la transdisciplinarité.
Tu es figétu es fossiliséet le vent du désertau crible de ses particulesfait disparaître les protections charnellessquelette vibrantlivrer au grand videle chant premier des origines .Il est des cadavres desséchésaux graphismes mystérieuxque l'aventurier rencontreet croque sur le carnet de voyage ,menues tâches d'encrestraits aigus et blanchisd'entre les tracesd'un temps ailleursd'une conscience autre .Il est des parenthèsesde mise en scènede rodomontadesde mise sous tutelleoù ne plus s'appartenirobjet de convenancesalors qu'il y a tant à fairenos les sujets du royaumeen conquête de notre humanité .Juste un gestejuste une chanson pour embrasser l'universpour signes de Vieunir l'eau et le feusous l'arche des solitudes .Être en étincelle d'êtrele frisson des morsuressans que l'esprit ne se relâche ,êtrehors du chaosl'émerveillementnous les rousses fourmis livréesau précipité de nos occupations quotidiennes ,être impérativement responsable .Puis avant que le sabotne lève la poussière d'une sente blanchesavoir couper court aux illusions ,être enjouédes souvenances passagèresjuste ce qu'il faut ,être en haleineà perdre le souffleet que vienneen notre attentela lumière du fond des âgesau précipité des chose suessans abrisle regard levéla verticalité assuméle sourire aux lèvresgratifiant d'une entière acceptionces chosesces éclatsces brumesque nul enchanteur de pacotille ne peut déceler .Reste à la mer de caresser la grèvesous un ciel de traîne ,à contempler une fois encorenotre chance d'être du mystèrepour que cela soit ,de fairede défaireau fil à fil du chemin vertla bobine de bois ,denteléeélastique torsadémorceau de savon secallumette désouffrée ,avancer sur le parquet disjointaux épingles couturières abandonnéesà la commissure d'un sourire igné .Ce qui est là ,cet inattendu ,d'une façon très intense ,c'est la vie avant la mort ,la nôtrecelle qui me porte ,m'imprègne et m'anime .Cette vie là ,l'éternité .211
En haut du murCimaise de schiste chaudÉclat du visage aux yeux douxà la barbe blancheque la voix fait vibrer .Écaille de vietombée du reptile premierque le vent écarte de la senteaux bogues pirates .Corne de brumelors du souffle de la bêteremontant la vallée .Échancrure estampilléedu nombre d'Avogadrodont la veste ouverte laisse entrevoirle cœur ceint de myrrhe .Vol soupledes anges par dessusle châtaignier et le chêne vertpiliers de ma maison .Pensée verticaliséehors la vague primesautièredes effluves rugueusesd'empreintes échangées .Simplement soien qui l'autreépargne la tradition .Sagacitéau risque d'êtrejuste ce retournementà l'orée du jour commençant .210