Madame La Viergeà vous regarder de plus prèssous la lumière de fin du jourvous êtes Femme Couronnée. Un certain devoir accompliau tardif chant de l'alouettele passage se fait paisible et sereindans l'outrance des manifestations.La tempête soulève la mosette du Pèredu feuillage jaillit le chantde l'éternelle passionmon éternelle douleur. De sacrifice pointmon cœur comme un lotuss'ouvre sur le manteau de deuilextase d'une sombre nuit. Vous êtes Mère Éléphantineun caducée de paix sur la chasublechaste concubinede la constellation de la Huppe. Nous monterons les marches du palaisavec la musique de l'Océantous gréements dehorsvers les terres lointaines. Fermez le bancde cette multitude d'objets disparatesfaisons le feu de la Formeafin que vienne l'Unité. Par le trou de sourisde la relation esthétiquemanduquons Beauté et Véritéà juste proportion du temps et de l'espace. En arrière-plan de notre vieles bêtes et les plantes palpitentcomme la Mère et l'Enfantdevant collines et ruisseaux. Un bruissement se fait entendredans la forêt royalele long des sentesde larmes le couvert scintille. Se tenant par la mainl'homme et son œuvrela femme plus libre que jamaiset l'Enfant dans son écrin. 749