分類檔案: 年 2024

“兩個步驟”

“ de deux” 
禁止科學一詞
模擬存在的奇蹟
有一天聽到
作為生命的遺棄
缺席
未來的投影
每個人都攜帶的其他地方
盲人的敏銳度
那逃脫了單詞的眩暈.

資源管理器
嘗試存在
拒絕喪失能力
從動盪擴展
通過釘子的享受
放棄難以忍受的風險
完全存在
這些死葉子撤離
作為思想的呼吸
與藝術和美味.


切樹
比你走得更遠
是黎明的白色
這個判斷
如果犯規絕對聲音
甚至麻雀
超越時間
會舉行會議
撒謊
在倫迪特博覽會上.

搜索根
感覺裝飾
sous l'umus
舒緩研究人員
避開簡單的鑰匙
巴丁詞
小領帶
愛撫的聲音
直到獲得諧波
在外觀和情感之間.

1529

生活的甜蜜

路邊的三個乞eg
首選高高的母親的拖車
麻雀
衝進芬芳的葉子
Profennde的裸體裸體.

真光
目的
啟發我們的謙卑
跨越兩個世界
挑戰死亡和出生.

通常的氣味在書下
從一個宇宙轉到另一個宇宙
越過障礙
在聖誕節之夜的黑暗中
相信我們寫的是真實的.

我們不是在徘徊
體驗童年的弱點
我們是部隊的保證人
接管現在
時間結束時的“我愛你”.

寫作振動
冷笑在孤獨的沃克面前
歸功於高知識
黑色焦油綠化
真實的征服.

手在那裡
讓我們抓住手
至高無上的神秘
疼痛
和生活的甜蜜.


1528

我可以而且不能

有人見面
下雨天
在山上的長途
雲刮擦的天空
我可以.

我不能
將我從元素中分離出來
在風暴的門檻上
不潛入黑色護城河
切碎並關閉飾面.

我可以
在過道的草地上
絕對疲勞
攪拌
我的行李.

我不能
Agri-揚聲器
擦除紅色和白色絲帶
訪問
'單詞要求
一旦達到主權.

我可以
住在城市
濕瀝青腮紅的地方
最後一次旅行
被喉嚨刮擦撫摸.

我可以
沒有基準的步行
天使的好聲音
跌落日食
魅力的浮雕.


1527

河邊的血液滴

血液下降 
在河邊
月亮在那裡
繪畫黎明
舉起雲.

在天使合唱團
mirops Acre
金屬靈魂
有孩子
夢幻般的回憶.


黃昏
它通過窗戶下雨
只要哭泣
惹惱杏仁樹.

緊弦
在réverbère和思想之間
干擾光
發出miradors的聲音
捕獲gro縫的掛鉤.

彎曲
在G.P.S. 便利
貓痛苦
在田園方面的努力前
從一顆心到座位被遺忘的.

弗里森和協議
潮濕的臉對面的臉頰
互動以麥昂金屬
針對頸盔
對激情的呼聲.


1526

L’évidence des mots

L’évidence des mots
Au jour le jour
Force salutaire
De la parole
De la poésie.

Par les ruelles du qu’en dira-t-on
Deux grandes personnes se rencontrent
À faire naître quelque chose
Fontanelles ouvertes
La respiration de l’écriture.

Les photos irisent le regard
De l’homme de terre cuite
Le céramiste des jours heureux
Que le feu célèbre
À la tombée du jour.

Hier, la vérité était une toupie
Aujourd’hui il fait beau
Au labyrinthe de l’esprit
La vie brille de ses feuilles d’or
Conçue sans raison.

Ressusciter devant le pire
Evoque guérison
Sans dégoût
Pour l’âme desséchée
Devant la chair ruinée.

En complétude
À force de gestes salutaires
Recueillir dans la coupelle
La lumière des fruits mûrs
Porte extrême douceur.


1525

Voyage pour un vivant

Un oiseau picore l’air
Emettant quelques sons
Espace – milieu chamaré
De ce qui ne se mesure pas
Mais se retranche
En s’accomplissant
Au mystère d’un cœur renouvelé
Rendu courbe
Comme si la terre germait.

La Gourmande a sucé le sucre des glaciers
S’en est suivi l’impact
Du plus grand que soi
Au ralenti des courbes
Ourlant le vertige du vide
À mettre une main devant les yeux
Sans attente du pont de neige
Que la traversée de la rimaye
Ne tarderait pas à magnifier.

Que voyons-nous ?
Du poème
Un clignement de mots
Ondulation
Par lente déviation du langage
Comme le peintre accompagne la coulure
Suintant de la toile
Vers la rigole du chevalet
En attente de lui-même.

Passant passante
血液和顏色
步步
Sur le palier d’un accueil
Au filigrane près
Framboises de novembre
Tombant à point nommé
Dans l’escarcelle de l’essentiel
Immobile, Inerte, Innocente.

Répétés à perpette
Les détails divergent
Pour devenir visibles
Impression de l’instant
Dominante placide
De l’action en attente
Au labyrinthe du temps
Effeuillé jusqu’aux bulles premières
Suggestion jusqu’au fondu de la page.

La faille
Au précipité d’une chute de pierres
S’est parée de blanc cérusé
Elle, la noire à valeur de plénitude
En déchirement de l’étoffe
Geste exemplaire
À la source tutélaire
Faisant cascade bienfaisante
Dans l’ombre de la fente.

Se sont croisés
Vitres baissées
L’eau la terre et le ciel
Dans la brume de l’esprit
Pour être irradiés
En secondes noces s’entend
Le regard étoilé par le gravier
Encéphalogramme plat
D’un monde reflété.

Enfouies sous l’humus
Les traces d’une fontaine sacrée
Réticulées par le détail
Sur les rainures de la pierre
Par un brouillard d’avant-garde
Donnent aux éloignés de l’étrange
La parure du jeune cerf traversant la clairière
À l’entrée du tumulus
L’art en approche de l’Être.

Echos du murmure de l’onde
Marmonnant les chants de l’outrepasse
Prisonniers d’un livre ancien
Menacé de tomber en poussières
Le monde-apparition d’une interrogation
Au peuple des ombres
Adressées aux voussures du temple
Pierres levées à profusion
Offertes par le donateur inopiné.


1523



Saint-Nectaire

0n vous encadre
Et vos yeux
Sont comme un nid d’hirondelles
Prêtes à point d’heure
D’aller rencontrer les anges harceleurs.

Votre main fine
Faites pour tourner les pages
Rassemble l’étole
Contre la robe cérémoniale
Au parloir des rencontres.

Je vous reconnais
Saint-Nectaire
À l’enténèbrement d’après naufrage
À marcher sur les braises
Dans la fraternité de fin du monde.

Le livre de prières historié
Ornait le plastron des offices
至生至死
Là où la flèche éternelle
Se ficha dans la cible.

Très tôt le bois se gondola
Essoufflement des pratiques
Dont on rêve
Advenue en la féérique prégnance
Du calme et de la joie.

Ton haleine sent le miel et l’or
Illustre pasteur rencontré au Sinaï
Âme éclaboussée de grâce
Montant au ciel ouvert
En légèreté de soie noire.


1523

Les ballasts chargés de pierres précieuses

Terrestre vision
Quand sortent les mésanges
Leurs cris rencontrant l’ombre
Poitrail ouvert
Aux battements du cœur.

Sommeille l’igné
De la déflagration
Perle absolue
Du pied de la montagne
Figure parsemée d’yeux.

Libre et abandonnée
Parée de rayons d’or
Sa robe de couleur terre
Mains levées
Elle haranguait le vaste peuple.

Articuler le cadre et le sens
Fabrique la duplicité de figures géométriques
Entrées dans les celliers de la démence
Matériaux imprégnés d’absolu
Roulés par le torrent des délices.

S’enracinent les effets de lumière
À la pointe du mégalithe
Quête de la polyphonie
Altérée de vives images
Puisant l'arc-en-ciel aux sources du manque.

Les deux sentiers se sont joints
Associant l’orient à l’occident
D’un élan crépusculaire
Puis le septentrion au méridional
Les ballasts chargés de pierres pécieuses.


1521

Vérité et beauté

Mistigris du printemps perdu
Chimie du reflet
Quand s’imprime mauvaise conseillère
L’éloge du rien
Paradis de l’école buissonnière.

Lumière ô lumière
Passe le noir
Question d’anniversaire
Pour que dansent les libellules
Sur l’étang de la mare au diable.

Le bouquet fleure bon
Les béatitudes
Agent dégagé des geôles de l’oubli
Pour inscrire au feutre de couleur
La désobéissance à l’infini.

Tapoter des doigts
Le rebord de table
Réjouit nos certitudes
Comme un dictionnaire
Combat la faute d’orthographe.

Trois petits cailloux blancs
Sous l’aisselle des ardents
Font souffrir et se cabrer
À bondir hors de soi
Pour qu’une porte s’ouvre.

Toupie de l’envie
À l’épuisement condamné
Il poursuivit son chemin
Allégé autant qu’un papillon
Entre la vérité et la beauté.


1521


Aux picots du ciel

Aux picots du ciel
Amuse-mots et cætera
Ont mis le cœur en dentelles
Sans voix ni renvoi
Sur tartine de mortadelle.

Ouvrant l’agenda
De lentes et longues délibérations
Ont suivi le vide de l’âme
Pour éclabousser d’une vie éclectique
Le son des laminoirs.

Et tout ça dans le noir
Où parler est mode simple
Quand le bois des soupentes
Par insouscience danse
Un dernier swing.

Pusillanime effort
À la fleur de l’âge
L’athlète inaugura
D’un raté du geste de la main
La résurrection de la parole.

En plein milieu des flammes
Au cuvage de l’esprit
S’en prit dernière pensée
De poésie en son bain de vérité
Une branlée à l’ammoniaque.

C’est pas gagné
La douceur est précieuse
Quand à muse renversée
S’offre l’affleurement
D’une tendre ossature.


1520