Ce matin le ciel est blanc de cette plainte innommée œil turgescent au front de mon obstination une main d'amour vient se poser sur mon front se desquamant à mesure de ces nuits où l'ombre oblitère les échancrures de ma conscience.
Ecran marial mon cœur bondit et mon âme s'emplit de gratitude dans l'observation de ces paupières s'ouvrant devant l'offre de vérité. à grands tintements de cloches par les coursives de notre navire, la mort abolie.
Le crayon signe la commande de ne plus circonvenir aux élucubrations sirènes remontantes des gouffres les algues étranges de la présence-absence découvrant à l'aube venue le visage et les yeux d'un soleil signe de reconnaissance de nous tous, en épreuve.
Cette remontée en surface à même le corps des douleurs marcher vaillamment.
Dans la forêt des souvenirs les rencontres sont de mise rêves et réalités percent tel l'insecte hors de sa chrysalide nuit et jour sont plus noir que blanc tout est couleurs tout est amène.
Les enfants tournent en rond dans la cour de l'école aux marronniers les quatre saisons prospèrent l'hiver aux bois noirs le printemps aux bourgeons collants auxquels succèdent les grappes de fleurs blanches et roses l'été aux ombres pleines et bruissantes l'automne où remiser dans le cahier du jour le mordoré des feuilles offertes autour de leur tige dure.
La roue tourne sous ses levées de terre sèche contre le cerclage de fer l'écaillage des propos tenus éclaire un sens connu les images intègrent leurs niches d'origine le goût amer de quelque douleur vient brunir la prise de conscience.
Il est possible de rencontrer son âme de voyager dans l'espace de détecter dans ce regard la réaction physique contenue l'émotion soulevée que l'arrivée de la nouvelle donne apporte à la narration de la souffrance.
Ce que j'ai cru perdu à jamais est récupérable transmettre cette connaissance est important avec modestie et humilité ramener son âme peut s'effectuer dans le contact avec l'autre dans le mot à mot des mots essentiels un fil invisible alors ressenti relie les différents niveaux de manifestation auxquels retourner avec simplicité et vigueur auquel être convoqué de faire circuler ce qui est trouée lumineuse dans le concert des nuages.
Je décris et tricote la pièce de laine des altérités Je suis le miroir et le vecteur de l'avancée vers mes origines je suis là je suis présent et l'autre est là et l'autre est le miroir de mon âme et nous entrons dans la gratitude infinie de l'échange.
Donne ogive de printemps au rebond des notes du piano.
De pleines fougères manduquent l'ombre et la lumière.
Par la travée le jour paraît.
En leurs gravats de nuit les souvenirs émergent.
Pierre de sel contre la rambarde il jouait du flûtiau l'homme au masque neutre en ses haillons mêlé à la tourbe des mots.
De la sculpturale tour s'échappaient ses cheveux gris effluves lasses et taillis secs sur les barreaux de l'échelle montait à petits bonds le rire du sang des choses aux murmures de la plaine au loin vacillante à pleines mains retenant l'herbe ensilée dans la boîte des songes aux fuligineux apprêts du suave reflux de la gnose émise solitaire sur le pavé gras des remontées mon âme aux multiples élans rassemblée les ongles sales éclairage salace elle offrait à tous le regard baissé les allusions aux baisers que l'araigne compassion éclaboussait par petits jets d'esprit sur le miroir en fond de salle toi la bicolore jeune femme aux habits de charme que la table ronde saisissait par plaques dispersées sur le parvis des algues sages aux macareux heureux soulevés par le vent de mer en partance vers l'huître perlière amuse-gueule des sorties de théâtre.
Le rêve épouse les plots du plateau où faire passer les mots juste la recherche d'un petit bonheur juste avec le sourire de la Joconde.
La morale et les mots râlent habités habilités à parler au nom de qui de droit pas droit du tout le binaire est agent de corruption devant la déroute du toi à moi qui nous campe en la raison.
La complexité oui la souffrance oui par excès de confiance.
Le symposium des idées convenues se marie en formes et en ressentis avec la dispersion des propos entendus.
Il n'est de pire sourd que celui qui croit gérer la bipartition et le dit si fort au tout venant que le vent emporte son propos telle flèche d'argent genoux fléchis sous la convenance le sifflement brûlant l'azur par temps de pleine lune.
Neige foulée forme svelte à l'entrée de la pâture page dure de l'écrit le souffle sur le duvet vent de février sonne l'heure au bleu d'un frisson de blanche lignée ouvrant à grand tapage l'ordre des corneilles que susurre à l'oreille la levée du jour sans que lune paraisse ma mie que le regard darde d'un sourire belette.
manaiky ny fiainana, ho tonga saina, avy amin'ity ampahany amin'ny tenantsika ity izay mitady hitombo,hanosika ny fetranao, mamalyamin'ny fangatahana, mba hifanarakamiaraka amin'izay, amin'ny fizaranaizay tsy fantatraycausal complexity fa izay toa mety amintsika amin'izao fotoana izao. may izany ka nafana ny tenako ; ho avy ny fisarihana namboarina.Resaka halavirana daholo izany ivelan'ny fomba fijery izay irery velona, fomba fijery izay tsy voatery midika izany ny marina, fa iza no manonitra, izay mamela heloka, izay manome hery, izay tia ka tsy nandiso fanantenana antsika.
Ary raha mandratra ny rehetra ny tsy fahatokisana ary nitarika anay mankany amin'ny fandraisana risika ny maha-izy azy andraikitra tsy misy fitsarana an-tendrony inona no hitranga !
Nisy fotoana nanamafy parousia taiza anefa no nalainay ny fanalahidy ny saha, tsy mba ho bebe kokoa amin'ny faribolan'ny fahazarana ary jereo ny fihoaran'ny rafitra.
Miaraka amin'ny saina sy ny toetra tsara ny rano tao dia nikoriana be sy ny fianjerana izay nitondra anay amin'ny lafiny ilany, ity fanalam-baraka kely amin'ny tena ity, feno rivotra ity siny hoditra ity traikefa nahafinaritra.
Ny anjara dia manenona zavatra hafahafa, manana ny endriky ny famantaranandro sefom-pofona. Mijanòna akaikin'ny lohataona amboadia mialoha ny mieritreritra ny hihinana na hohanina, mandinika ny chiaroscuro ny fitsidihana amin’ny fahatoniana, ho kely miahy mafy ny hanoanana azy miaraka amin'ny filany torimaso ihany ary fivoriana.
Nisy zavona nanarona ny ambany avy any an-dohasaha, rotsak'orana nentina mitete amin'ny tarehy, nanafika ny vatana ny hatsiaka.
Nisy ody iray nivoaka avy tao anaty ala avy hatrany dia narahin'ny serfa izay nampitsangana ahy tamin'ny tongotro ilay hazo oaka lehibe tezitra tamin'ny oram-baratra izay nanomboka sampana lehibe fa an’iza nihozongozona ny hery mahazaka ny tenako.
Nanohy ny fanompoana ny ost aho. Niandry ahy ny Tompo. Tsy maintsy ho avy indray ny orana sahona. Niakatra ny lalana. Fantatro izany taorian’ilay dongona ny hantsana dia ho midina, hoe ny kianjan'ny tanàna mikoropaka miaraka amin'ny loko sy feo, fa hisy fahavelomana maivana vatana sy fanahy mandra- avelao ny lakolosy haneno ny roa ambin'ny folo lahy kapoka mitataovovonana.
Dia hiala aho, asa nanomboka, tarihin'ny trolls sy hatramin'ny jiny ka hatrany amin'ny tsy misy fiverenana izay ikambanan'ny fahafatesana teraka, mankany amin'ny fitoerana masina misy ny zavatra rehetra tony akaikin'ny hazo lavenona sy ny hazo bass. Fiantombohan'ny fifohazana ny Fiainana.553