Теарссоул виолиначекајући знање .Алармни против онога који лажеово мало семена .У оружје прелио у овај векглупи диктат .Теарс гледајући у камерудрво се тресе .Алармнитачка осветесамо удаљеност .У оружјесуштински хладнодепонована на прагу .Теарс par manque de chaleurжеле на земљи .Алармнибез тога иза брда узјахати службенике .У оружјепрође мински возque les vélos suivent .Теарсиспред маузолејацветају застареле године .Алармнибез светла и музикелепршати транспаренте .У оружјенасмејан епилогпретвара у мистерију .Теарсрођења без бораtourne la Grand-Roue.Алармниврати се у земљу мртвихзелено биље у отвореним рукама .У оружјеоко реже пупчане костиd'un regard virginal.Теарсвећ дебеоспуштање очних капака .Алармничађаве пламене травесребрни мехурићи смрти .У оружјесан о сахранибез месечине .Теарсразбацани шутпод нашим оловним степеницама .Алармнирани улазакса логом капом .У оружјеопасан широким појасомићи низ падину .Теарсу сунчаном рајуречи се сударају .Алармни без покајањау шупљини белих земаља .У оружјена ивици рупепелет овог човека .276
Сува пастила од менте Бунтовни акорд и спој ритма на сцени подригивање баук . Лош посао ефекат рукава изврстан леш позира на речи опне . Шта тела кувају до тремола трка у шуми стечено - стечени бодови касно је - морамо се вратити . Тихо лутање љубазне потраге креће под звезданим небом у разматрањима о исхрани . На пијаци на отвореном продају капе и ципеле под замкама преко народног дочека . Кокошке су очупане огољени зечеви са бубњевима и трубама посете страха и смрти . јабуке , нарциса и меда у круг - непомичан пролећни пљусак - пресавијени нож пре сечења шунке . Танке кришке живота суштина много више од постојања мудро слушање са пријатељима испред ватре . 272
Масиван удар исечци речи у рођењу дана стреле истине .
ударајући успут песка и прашине колица штуцају мајонез узима .
Шта ме брига за кључеве будућности нема краја да ово предјело скраћена нада .
Правовремени прелив поток обрве дру у зазиданој јаруги у флексибилном процепу мајског потока . вратити се у живот поносити се чињеницом намерно игноришите канцеларијску замку да буде непознати изабраник .
Торба за то шавови који пролазе пена и еликсир толико љубави .
Без гола на леђима насилника пољуби мики реп низ травнату падину до бујице очекивања .
Запечати слово и дух ебановина једне ноћи позив отвори талентовани стомак ... ситни снег .
Cette nuit à venir à vivre en chair et en pensée à renverser les murs pour se faire comprendre .
Se recentrer est au carrefour de belles conquêtes .
Faire apparence est putréfaction annoncée , levée de la porte infernale , artefact des anciens désastres .
Attention le nom imprononçable est ce tombeau mouvant aux multiples entrées bouleversant l'homme dépenaillé .
La conscience de l'existence accueille l'approche du réel .
Donnons à l'amour de quoi fabriquer l'amour .
Soyons transparent .
Vidons nos larmes acceptées Restons amoureux .
L'humanité , les dieux et leurs rites se rappelant à nous .
Ayons le regard vif porté sur un monde vivant .
Sortons de l'abîme .
Créons par le cri les étoiles nouvelles .
Nos sanglantes blessures nous mènerons vers le langage , où vivre la raison en haute mer et nier toutes croyances .
Devant l'intelligence du désir de vivre soyons le coq des horizons avant-tracés qu'une vie entière représente , foi figée et instable , en guérison de nos paysages intérieurs .
Il m'est donné d'être . Aux modillons du chevet le bestiaire nous est offert frais et agreste en ses arrangements floraux , un seul geste ,
Les cris des frères et sœurs qui s'étreignent en rondes chaleureuses aux marges d'été des mains maigres pommadent la pâte de fleurs des champs nuages pommelés trouant leur manteau de pluie pour une écoute singulière et bondir sur le râble des minérales églises que le miroir ausculte étrange retournement à point d'heure d'entre les brûlantes paroles lentes poussières dévalant le rai de soleil l'odeur emplit la pièce il n'est de politesse que formes vivantes et blessures saignantes sons et lumières à l'unisson l'œil bibelot délivrant la cohorte du langage saisissante sangle enserrant le mystère irréfragable invisible errance traçant noir sur noir au carrefour des conquêtes le signe du partage à venir sur le sac de toile à bout de bras tenu en guise de viatique .
Sylvain . Flûte andine à la sortie des garages petit homme droit sur ses appuis la bouille chafouine et néanmoins indéfectiblement optimiste ça balance et ça revient cette verrue sur le nez partie en espace de ses harnais les tuyaux de l'air montrent la piste du caravansérail où s'arrêtent les chameaux de l'obscure évidence .
Elles balayaient devant leurs portes les flèches pointues de la dérision irrésistible amour de tes genoux sensibles Ô mon amour tamaris aux yeux doux .
En conversation avec la paresse nous fûmes nus haletants devant le grand désastre le carnage jusqu'à la moelle par dessus les gouffres en agonie испуњени ровови par l'âcreté des égouts refluants.
Puis le temps à contre-jour fît le reste .
Le corps dénié nous éloignât sur la pointe des pieds père et fils morts les oiseaux replièrent leurs ailes plus vite se succédèrent la forme et le sens donnés à la vie mains et lèvres plaquées contre la vitre à murmurer la table de multiplication sur la buée des cœurs froids .
Mon enfant les portes et fenêtres sont refermées l'abîme contient le germe des boites sans frein et sans refrain éclatées à coups de burin mes doigts en sang agrippant la gouttière ce tabernacle des eaux ligneuses exposées au vol des étourneaux emmenées déposées sanglante beauté puissantes enjambées finissant à cloche-pied sous le pont de Grenelle à ramasser quelques boulets de charbon dans le grand cabas noir .
Ô fils au fil à fil des statues de sel que trouble la parole perdue d'entre le visible et l'invisible un pas sec cadenasse le passage pneumatique de ton fauteuil roulant .
Je vois, j'entends, je sens, je touche, ma gorge est sèche, il fait bon chaud .Le jour est mouillé de rosée,la lumière est blanche,les feuilles fraîches des arbres en printemps sont affamées de beauté .Et je change,à chaque seconde je change .J'évolue,je chevauche à hue et à dia le souffle de l'univers,et le monde change en moi .Je bois la résonnante transparence,et je transmets .Ma mission est de faire passer ce qui estau hasard de l'étincelle bâtisseuse .Patience, patience,mes os craquentles greniers se vident,la parole ouvre l'orifice de la gorge,je tends les voiles du coutre princier,et parfais le donné .Mon corps .Et c'est une chance que d'avoir un corps .Le corps de l'océan aux bulles d'air rendues,et c'est une chance d'être en tensionaux estuaires de l'aube éternelle .C'est par la pratique personnelle,à contre-pied des accroupis de l'ombre ,que rencontrer la froidure du matin,ouvre le cri de vieloin de l'amour-néant qui fût le notre .Mon être le plus cher,ce monde qui est en moi,plus grand que moi,l'autre moi .Je suis à toi .268