Bipède aux deux couleursen capacité d'illustrationj'accoursselon les règles élémentaires de l'anatomie. Il y a du grisdu gris que l’on rouledont on se saouleau coin des rues de l'âme. Il y a des jours jaunesdes jours sans citron verten attendant l'amandepoint de menthe à l'eau attenante. Et puis comme un déséquilibrebien difficile à rattrapersurgit le rapt du trésorà la gâchette de bois mort. A caressergrenue de diverticulesla pomme d'api sourcilleusela main cligne des doigts sur le fauve de ces bois. En élévation romantiquesans aliénation d'où je viensje vais en expulsion des éléments nuisiblesvers le mât de cocagne de la résilience. Vous me fûtes affectéflûtes d'argent de l'Aventau plastrondu toucher vivifiant d'un végétal royal.A l'arrêtd'un doigt pointé vers le ciella danse des fougèresesquissa le visage qui ne se fixe pas. Et pour causesans avoir ni à donner ni à recevoirs'engendrer soi-même en cycle fermén'élargit pas la conscience. Des deux couleursl'une est de protectionl'autre d'embarquementet leur rencontre, naissance de l'enfant de lumière.748