Au doigt levé

Il a marché sur le pierrier des instincts   
Et cela a fait mouche
À un degré
Que la méditation n'a pas suffi
Pour calmer ses ardeurs.

À mi-chemin
Il y eut le mauvais sang
Retournant vers sa base profonde
À faire se lever une volée de moineaux
Dans sa fricassée de cris.

Gorge chaude à l'ingéniosité prolongée
L'entablement des peurs
Fût pris par des imprécations
Saccageant à l'envie
La maison d'enfance.

L'homme n'est pas parfait
Et ne saurait contrôler le désir de santé
De son corps, de son mental
En quête jamais atteinte
D'une perfection à saveur sainte.

Et de prodiguer l'amitié
Le doigt de Dieu dirigé vers la montagne
À grappiller les traces du passé
Pour disposer le long du sentier
Les lueurs de la scène nue.

1325

Tuku atu ha Tali

He ʻikai pulusi ho tuʻasila ʻīmeilí. ʻOku fakaʻilongaʻi ʻa e ngaahi konga (field) ʻoku *

ʻOku fakaʻaongaʻi ʻe he saiti ko ʻeni ʻa e Akismet ke fakasiʻisiʻi ʻa e spam. Ako e founga ngāue ki hoʻo fakamatala ki he fakamatalá.