Kategoria: Archiwum: Rok 2021

Le bonheur de vivre

S'adresser au fou de circonstance   
par cette capacité de devenir le roi du vide   
en grande profondeur du langage des chats   
que le mystère fait vibrer.      
 
Ouvrir sans ambages   
le culot de l'obus   
au pur silence de l'instinct   
par temps de mitraille advenu.            
 
Tu as caché l'esprit de ton enfance   
sous les draps de l'attente   
et passe en voyou   
devant la guérite de la nature.      
 
Tu es source invisible   
aux limaces invasives   
sorties du cœur de l'arbre mort   
où gît l'exégèse des pensées.      
 
Flèche d'airain   
fichée en toute lucidité   
j'ai douté de  toi   
quand la cloison de papier   
déchirée par le discours   
laissait paraître   
dans la fraternité retrouvée   
le mirliton du bonheur 
de clore à cru sur la croupe 
les vertiges de l'âme.      
 
 
862

Douceur d’un amour

Douceur d'un amour   
dans le bloc vibrant
que les lèvres ajustent.

Exorciser la frayeur
par un été de vacances
de la montagne à la mer.

Décliner un bonheur
sans passage à niveau
devant les rails de l'avenir.

S'apostropher du coude et du chef
devant les irréductibles de la croissance
que le masque accompagne.

Marchons et n'y revenons plus
au dédain nul n'est soumis
sous les ors de la confiance.

De campement en campement
nous avons soutenu nos dirigeants
de retour de campagne
lors canons silencieux
l'ange de raison pouvait dans un ciel clair
vivre de pain et d'eau
dans l'aube protectrice
des jardins à venir.


861

La vie-une

Acrostiches des poésies de grand-mère   
selon la période intermédiaire   
nous élevons les signes au paraître des fers.      
 
Les miracles abondent   
et nous nous éloignons   
sans que le tonnerre gronde.      
 
Nous fûmes morts   
et renaissons en silence   
en tirant la couverture au sort.      
 
Point de réalité   
juste un parfum préféré sous le masque   
devant la porte verrouillée.      
 
Quelques hommes de bien   
et  peu frileux    
se sont délestés de leurs liens.      
 
Annonciateurs d'une Vision   
ils ont clamé le message d'être vivant   
tel rugissement de lion.      
 
Et de frapper du talon   
les thuriféraires joyeux   
sans que le temps limite l'intuition   
en complément intemporel   
d'une marche forcée   
sur les dalles de basalte   
de l'oppidum de lumière   
accueillant le corps et la matière   
d'une VIE-UNE.      
 
 
860

L’ombre des ardents

Du gris dans le ciel   
au ressac de la mer   
l'horizon palpite.      
 
A grands coups de pagaie   
l'ombre des ardents   
remonte sur le quai.      
 
Des cris agitent les cordages   
le bois gémit sous l'assaut de la houle   
sur le pont les mousses écopent.      
 
Puis vint le temps   
des calmes paresseux   
où la mouette apparut.      
 
Sempiternelle lanterne   
à la poupe brinquebalante   
l'ordre était de voir.      
 
A se tenir loin de la côte   
engendre à pleines brassées   
l'immobilité des sargasses.      
 
A l'origine il y eut la trame   
la trame des sens organisant la prise   
prise équivoque de qui parle sans agir   
en aspiration vers le haut du paillou   
là où le cercle de fer ceint les gerbes sommitales   
en adaptation avec la finalité   
finalité endimanchée se tenant raide   
raide comme une œuvre en rappel   
que la paroi épouse   
de la mère à l'enfant   
ouvert aux foudres du père   
juste la consolation feinte   
avant que le jour se lève   
et que cligne de l'œil   
l'abeille bleue du bourdon des origines.      
 
 
859

La cupule du destin

     A livre ouvert   
pour que la nuit vienne   
l'orage s'abreuve au guignolet des ondes folles.      
 
Il est nécessaire de pousser la page   
hors des limites du supportable   
jusqu'à la garde à l'improviste.      
 
Du creux des vallons   
montent les pleurs   
près de la pierre qui vire.      
 
Et que vivent    
les fibres cousinières   
de nos rencontres d'été.      
 
S'il est permis de naître   
et bien naissons dans un essaim d'abeilles   
sans que le sachant sache.      
 
Poussée retenue près de la rivière   
la poudre d'escampette   
offrit la paix et la lumière.      
 
Sous l'arc-en-ciel   
de nos souvenirs posturaux   
s'organisent les claquements de langue   
orgiaque apparition   
des mains aux veines marquées   
dont les doigts de verre   
à petites lampées   
plongent dans la cupule du destin.      
 
 
858

U progu ogromnego serca

     Au porté-jeté d'un cœur immense   
la violette dépouillée   
et simple d'un vide abyssal   
se paraît de ses mains silencieuses   
aux écailles terminales   
d'un habit de circonstance   
parure sans découpe   
abandonnée sur le rebord de fenêtre   
dans le bol de grès   
en attendant la pluie   
sourire de vie   
qu'un temps nous avions recueilli   
telle la balle d'un enfant   
jetée inopportunément dans le jardin d'à côté   
au lieu dit des nuages flottants   
de brume et de lumière drapés   
cache-cache des mots   
en prise instantanée   
chantre des traditions de l'armorial  
pour engager le pas sans ombre férir   
près des arbres de la Montagne   
le silence innervé   
par le miel des poètes   
d'une saveur harmonisée   
d'instants d'amour   
et d'envol vers de nouvelles moissons.      
 
 
857

Kontemplacja .1

     Aż do 2000   
Dorastałem, a potem v'lan
wszystko w worku zmartwień
przekroczyłem barierę
znaleźć mnie coit
pod mostem tajemnic
kontemplować światło
przez oba końce teleskopu
słuchając pluskania rzeki
wymienić kilka wyniosłych uwag
o upływającym czasie
z sezonu na sezon
wróciłem z wakacji
powiedzieć sobie, że na początku roku szkolnego
będzie chaos
i że jesienne powietrze w obliczu lata
nie wróży dobrze
jeśli nie wypatroszyć literackim kopnięciem
worek osiągnięć z poprzedniego dnia
te snopy słów i wspomnień
niż pieśń wybrzeża
wydech z żalem
pomiędzy rzeczami a językiem
czytać bez subskrypcji
stały unik
nie wyrywać się z panegiryku pełnych ust
próbować przestrzeni czkawki
by zrodzić tęczę pędów na głowie
z wyjątkiem srebrnego dzbana, który szybciej się porusza
które są w stanie przyjąć pryskanie miłośników ducha”..      
 
 
856

Kiedy wojna

     Miejsca do cumowania Yvan
Spacer Cyklopeda
wyniosły
i urodziwy
ten marsz konkordatowy
wykonywane po powrocie z wojny
żałosna wojna
gdzie uznaliśmy za stosowne dodać
potworności kądziel nieskończonych dni.      
 
Składane pod sakwą muły parsknęły
po drodze boczną drogą
przed wyjazdem na główną drogę
dziwne obejście
niezapłaconych rachunków aż po przynęty
przejścia i trenerzy niedźwiedzi
w koncercie ośmielającym w niedzielę na aukcji
nazwać Roudila białym mężczyzną
że morze śpiewało.      
 
Toczenie butów
okrzyknął piasek
wydmy
sufrażystki w chustkach
biegnąc do kamieniołomu poćwiartowanych ludzi
że syrena ryczy
wyczyścił się
takie podpalacze
w sercu bliźniaczych wież.      
 
 
855

Głoś dla swojej parafii

     W połowie sierpnia
koty głoszą w swojej parafii

Nie zmuszaj mnie
kobiety z placu
zgłosić cię do policji.      
 
Baski w kostiumach
przybiegli pod rzędem
odstające piersi
na rozmieszczonych rowkach.      
 
Żadnej tajemnicy
o świcie
szemrać na korbę
samochody z poprzedniego dnia
miały się zapalić.      
 
Półprzymknięte oczy
niepodzielne domki kryte strzechą
gorący zapach róży
kreolska krepa
w szybkim powrocie do zdrowia.      
 
Potem nic
stopa na hamulcu
płatki miłości zostały naciągnięte
w wątku narodzin.      
 
Dumni z broni
opadająca strona ustąpiła
w żłobie rozsypało się siano.      
 
Fadaise w cis
biegał tu i tam.      
 
 
854
 
 


 

Czego nie głosowaliśmy na Echnatona?

     Czego nie głosowaliśmy na Echnatona?
drogie
organista katedry
burzliwy przepływ.      
 
Do jego ostrej twarzy
marmur ołtarza był wisiorkiem
ukradł na wietrze
po stronie Łabędzia.      
 
Psy przychodziły i odchodziły
przebijając ich szczekanie
wznoszące się chmury doliny,
bez niepokojenia pasterza.      
 
biegłem
i dogonili mnie
pamiętam
zasady.      
 
Moja ręka jest na prawo od lewej
a lewa jest moja
naprawdę moje
na podłodze
przeciwko zabrudzonej pościeli
matka mojego dziecka
basen krwi między nogami
oniemiały przewróconymi oczami.      
 
 
828