Au palais d'hiver des palétuviers une prière juste une prière pour père et mère.
A la pointe du Raz il est un ciel que les maisons basses embarrassent.
Du sol au plafond en déraison des choses d'hier passons la serpillière.
Arrimés au prétoire nous espérons l'apocalypse les yeux couverts de gypse.
Il est des jours comme ça à compter ceux qui restent après avoir retourné sa veste.
Une plume d'aigle sortie de la besace puis trempée dans l'encrier inscrit le torrent de la vie jusqu'aux montagnes où se mêlent vertiges et tempêtes du sceau vigoureux de l'orage en goguette.