Méli-mélodes sifflets et secoussesils repoussèrent au bout de mille annéesle goût des fioles pleines. De braconner à la tombée du jourcontrefait la lutte des générationsmarottes agitées contre le glasdes ivresses partagées. A trop enfreindre l'excès de viela tête résonne des supplicationsde ceux qu'on a laisséenchâssés d'images pieuses. Offre ton vrai visageà l'ours des forêtssans que s'effraient les épiphytes mes frèrestête sanglée des paroles perdues. File douxpar l'estafilade faite au visagetaille douce posée par la gougenotes de musique à l'encanils franchirent la matière noireau cœur du dispositifcrêtes suturées par l'adversitéprônant une naissance blanche. 806