les antennes du frère en terre

   De ses lèvres elle hantait la mastication des   intentions,   
Un souffle vint,
De superficielles, ses dents reflétèrent,
à l'entrée du temple, le péristyle des âmes blanches.

Filèrent les sans noms de la haine,
recroquevillés sous les antennes du frère en terre.
Puissions-nous, passagers de l'oubli, racler nos derniers os, au rythme des mirlitons de l'enfance.

Le Grand Jeu raffermît notre passé,
rassemblant les fresques de nos errances,
passage obligé,
où planter l'organe éruptif,
hors la périphérie de nos illusions.

En creux de nuit
la lune ourla la montagne,
face sombre sous le réceptacle de nos attentes,
et tout fût retourné.


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A vaiiho i te hoê pahonoraa

Eita ta outou rata uira e nene'ihia. Ua tapa'ohia te mau tuhaa i titauhia *

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