À la divine fête
Au miroir par derrière
Le jeune homme de devant
Fait sien le dieu vivant
Fine consolation
Pour un songe à l'immortelle Présence.
Eux, sont les aveuglés
Séiant forme humaine
À l'assise de la noblesse
Leurs vaisseaux bondissant loin des rives
À la nage le retour près du jour
Comme feulent les hyènes dans le noir.
Vertige du souvenir
Que l'âme prisonnière altère
D'une sombre parure
L'attente prolongée
Vertige des lamentations
Là, près des petites lumières de la maison de l'ogre.
Hors les cariatides du délice
Pampres et jambons à foison
Culminent à céans
Tels porteurs de torches
Glissando de rêve
Se propulsant vers l'outre tombe.
Le silence ronge
Au front penché la démesure
Au loin les jardins couverts de givre
Aux fraîches fontaines la glace craque
Devant la morsure d'une musique des rues
Un loup gémit.
Dépité
Dépouillé
Au désert les mains tendues
À jouer de la flûte
Le soleil exaspère
Le sable infini de son éternel déploiement.
Tout diffère
Même les chants
À la note fragile de la soprane
Montent et brisent le verbe
Audace de l'énergumène
À combler le vide par l'éveil.
Les yeux ont paupières lasses
Sans le mépris de l'audace
À voilure basse
Aux propos ajourés
D'une quête mélancolique
Font parjure au tourniquet de la grâce.
Une si belle voix
Là est la mesure
De la neige qui poudroie
Quand de la contrainte même
Monte le regard doux
Des passagers de l'instant.
Un jour
Nous entendrons
Le son du canon
Les cloches des pestiférés
Telle douleur atteinte
Au summum de l'uranium.
Rien
La terre est sèche
Le ciel est sombre
Les dieux usent de subterfuges
Pour engendrer le brillant de l'offre
Au caravansérail des catastrophes.
À la source
Tout se joue
Au jeu de la crapette
Les allumettes siéent
Un cran dessous
La terre de nos ancêtres.
1410
Être tombé sur terre
A fait de nous des frères
Au moment opportun
Sans les envois de l'aube
Hors les liens de famille.
Terre d'imaginaire
À la mouvance d'un frisson
Avons inoculé de blancheur
L'abîme des couleurs
Au passage du grand fleuve.
De la bonté étendue à la grâce mère
Quelques accrocs cillèrent
Sur nos chemins de dentelles
Ointes de lumière éternelle
À ne pas choir sur des épines.
Un son subtil s'élève de l'esprit
Le chant ancien de l'homme originel
Magnanime et secret
Gave d'une pincée de susceptibilité
L'amour de la Sainteté.
Épargnons l'architecture
De toute demi-mesure
Pour coiffé de la bourguignotte
Presser le dragon des ancêtres
Aux lieux calmes dedans comme dehors.
Cérémonie du flair
À la moindre liberté
Sans être la risée de tous
Il fût bon de prendre la main
Quand gargote badigeonnée de cendres.
Bienveillance de la page vierge
Terra incognita pour la Gygantostéologie
Il fût aisé de perdre ses moutons
Quand enclos cassé
Vieillir au plus près de soi.
Les oiseaux au bec jaune
Narraient leur aventure
Aux fleurs de lotus
Pour houppes au vent
Tordre le cou au crapaud de la lune.
Située près des falaises
Pensée souveraine recouverte de rosée
S'élevèrent hors la nuée
Les rêves de fer les rêves de mer
Sans que lanterne apparaisse.
Fureur du vent
Vigueur des nuages
Montèrent des brumes océanes
Le clair accord avant l'envoi
D'être des enfants pour toujours.
L'eau qui gèle devient glace
La glace en fondant redevient eau
À même de fendre la montagne
Au va-et-vient des poussées de la terre
Sans nécessité de renaître.
À fuir les mondanités
Le monde s'ouvre
Sans appui sur les opposés
À se demander
Si les chiens errants voudraient encore de nos biscuits.
1409
Il s'était égaré
Au commun des mortels
À rassembler le ciel
Par branches éperdues
Tout autour du bloc aux hirondelles.
Et tout s'était tu
La méfiance comme douce fleur
Sur le chemin long
À la pente rude
Vers le douzième étage où nous demeurions.
Fidèle et pur
Seul le chaos pouvait nous faire advenir
Avec burins et drilles
À la volée dispensés
Au risque de sa vie.
Pure était la source
De ces années passées
À contempler le vide
Obstacles débiles et lumineux
Accrochés aux moulures de l'esprit.
Les pirouettes n'y pourront rien
À ce cœur confus
Que la raison exaspère
Au corps à corps avec l'absolu
Brigand de nos âmes perdues.
Au sein des choses douces
À la parabole consentie
S'alignent engeance rare
Les ventres pleins et chauds
De la sortie de table.
Les cauris ont jailli
Blancs et bleus à la fois
De la couleur du lait parfois
Éparpillés sur le formica
À l'aveugle comme fleurs de neige.
Les dents grincent
Aux portes-fenêtres les voix débordent
D'un rire de pastourelle
Faire d'une boule de shit
Le mortier des aspirants.
Au creux de la sébile
Avons recueilli les grains de sable
Évacuation tardive du sang des justes
Tout chargé de paille
Au profond de nos sabots.
Je réclame le petit poème de trop
Celui qui jeté par dépit
Rebondira sur la dalle
Aux sandales vagabondes
Vers le mastroquet des soirs d'hiver.
Rien de spécial
Juste l'avenant au texte sacré
À gérer remède prescrit
Comme perle de valeur inestimable
En fin de nuit comptable des autres.
Comment peut-on faire
Le tour et les détours
De la tour extraordinaire
Si ce n'est tirer la flèche
Vers la lune sans visage.
1408
Comme il était content
De transporter sans rien éliminer
Le chaos de son corps
À la merci du laisser vivre
Face au regard qui absorbe
Au risque d'une ouverture
Ardente copie du laisser faire.
Appelée l'Inspiratrice
Au bon accueil de sa reconnaissance
L'homme aux sept orifices
Fût sailli par la bienveillance
À l'œuvre d'un encapuchonement
Finement tendu
Par la granule du temps qui passe.
Si proche par ailleurs
Et pourtant indolente épouse
Que la pièce de tissus couvre
D'une texture légère
Au vent venant soulevée
Chaussée de ballerines
À même les os glacés de l'amertume.
À perte de vue
Ce que disent les gens
Au clic-clac des convenances
Pourrait prendre recul
Pour l'auteur du parler vrai
Si bien nommé
Dans l'ombre de l'amitué.
À l'arbre d'endurance
J'ai remisé le paquet
Pour printemps à l'aller
Faire liberté
Des poussières et des herbes
Puis coup d'œil vers les nues
Préparer l'attelage.
Décrue lente pleine d'innocence
Âme naïve amenée sur la terre noire
À chaque pas reconsidérée
J'ai entendu le son d'une cloche
Mystérieuse tenancière du cabaret des amoureux
À point nommé
Proposer au poète une assise éternelle.
1407
Se réveiller en fin de séjour
Les mains en coupe offertes à l'avenir
Sous les nuages pareils à des bourgeons
Que la mémoire lisse.
Changer d'air
Et vouloir fleurir
Les cairns du chemin
Que nos ancêtres proposent.
Retrouver l'origine
À quelque fois le bonheur est bon
Parmi le monde
Où dodeliner de la tête.
La promenade a duré le temps d'une vie
Pour m'y accoutumé
Ai chaussé les images promises
Amenées sans que réponses soient données.
Les gisants de Brou ont bel atour
Caresses de l'intime aux vantaux ouverts
La voûte vide apparue
Souffle rongée par son dénouement.
À l'auberge on paye d'avance
À se méfier du temps venant
Qu'on étale sur la table de bois brut
Futur dévoilé comme crêpe sautée.
L'étendue est immense
Par le trou de serrure
Le ciel est regardé
Étoiles de silence.
Dessinant le contenu
Des montagnes mon ouvrage
J'ai cru que crier était la solution
Alors que dérouler la pensée est finitude.
Au familier accord
Des nuques courbées
Les épis de la Saint-Jean
Ont dressé le pavois des matins fauves.
Rassemblés sous une pluie de flèches
Avons couru vers l'abri des mousses rousses
Ô magique évocation d'un soir de noces
Dans la cité des fleurs.
Plus bas
À contempler le noueux des ouvertures
Avons couper l'élan
Du dragon splendide
Trou
par excès d'amour
L'herbe folle
S'était commuée en battant de porte.
1406
Souvent de vivre là
Dans le tourbillon des mots
Accapare le flux et le reflux
Des pages belles d'une écriture l'autre.
Tremblantes pensées
Égosillées à la veillée
Elles ont bâti des montagnes
Et fait s'écrouler maints refuges.
Tendant les bourgeons d'amour
Pour plus ample connaissance
Il est arrivé que les parfums du printemps
Prennent pied dans l'ardente brûlure.
Ô visage des orages
À la porte des forges
Grondat par vagues marines
Le rire du destin.
À renoncer ne puis me soustraire
Qu'en odeur de Vérité
Au balcon des alpages
D'admirer le canal des Lumières.
Quand calme survenu
À la grâce contenu
Vous êtes le bois bûché
Des soirées partagées.
Baignant dans la brume
Se glissant comme serpent
Les figurines d'Épinal
Font bercement mignon au vent d'autan.
Au loin les baies sauvages
Avalent gouttelettes permises
Tiges narrant par le menu
La bravoure du Maître des lieux.
Féerie du bijou à l'oreille de la jeune fille
Par grappes bourdonnantes
Les poils hurlants de l'animal
Tissèrent coquille sage pour le bernard-l'hermite.
À bruire sans soucis
Le fouet du tonnerre
Fît bomber le torse de l'athlète
Ceint du cuir des audaces.
Ainsi se dévoilait le Futur
L'oblique précipité des saisons se croisant
Quand dans une fraîcheur allègre
Montait la douce voix da la biche.
Primesautière
À l'étreinte tendre
Tout chancelle
Sur Terre le langage des anges.
1405
Corne de bombance
Antique désir
De voir surgir ces heures à se repaître
Du dévalement des brusqueries végétales.
Au doux crû de l'ombre une promesse
Parure digne de grâce
Grappe fraîche
Au sortir de la brûlure.
Cornée par le dessus
Gorge nue
Elle a émis
L'Esprit de Vie.
Ne plus entendre les enfants
Sur l'arbre mort abattu par grand vent
Il a fallu tergiverser
Pour accéder aux cris des hirondelles.
L'abeille bourdonnait
En vrillant de sa trompe
D'ordre et de mesure sienne
Le tronc râpeux du caverneux.
Des entrailles à vif
Là où perle le dedans
Siégeait silhouette sage
La promise au chant nuptial.
Là dans la vaste prairie
À la perfection sans une plainte
Les traces des lapins
Quadrillaient le rosée.
Quel bonheur
De prendre image en paysage
Pour sien
Jusqu'à parfaire son destin.
Toute première image
En rétribution de la beauté
Les feuillages bruissaient
Le long de l'allée.
Le ruissellement de l'eau
Le parfum des haies sauvages
Aux violettes cachées
Le mousseron contait fleurette.
Le silence absolu détachement
Au loin les chemins s'écartaient
De l'orée de la maison
Trois poules caquetaient.
Le cœur pur de tout effroi
Passant le bras derrière les omoplates
Il fût question d'ameublir le sol
Pour plus d'émotions encore.
1404
Lub Log Cave Decal ntawm ib Wandering ua.
Emerging ntawm tus fainting cia nws coj kuv los ntawm lub caj pas no emptiness ntawm 40 thaum 82 Maivliag thiab Maivliag ntawm niam tuag.
Carrara marble tsis nkaum cracks rau tej hunter Ex-hunter ntawm dab tsi yog hais kom grasp tus duab ntxoov ntxoo tsis tos rau lub prey.
Tus collarbone muaj nyob rau hauv cov rubble stir tuaj rau rubble ntawm lub Apocalypse mus nrhiav tus poj niam-Christ Eternal affliction ntawm lub rooj vag ntawm tsis.
Kuv hnov tias tus dais Bianca yog loj hlob siab thiab licking nws cheek ces belly hauv lub hnub Rolling hauv plua plav.
Txhua yam yog puas nyob pietra Alba Grave yog tus sorrow ntawm tus survivors dab muaj slashed teb nws muaj cam khwb cia cov txiv roj ntoo rau cov plaub cua nteg bare entrails mus txog rau thaum nws kis tau nws txhais tes hla lub di ncauj ntawm cov tuag thiab cov sponge rau lub foreheads ntawm tus nyob.
Me txiv neej uas calloused tes saib lub pob zeb uas muaj nws tus kheej the tombstone uas opens txoj kev raug ntaus los ntawm cov gust.
Underneath lub zos uas yog tsis muaj lub zos hauv qab no nrog nws cov underground zaj uas lub suab ntawm tus flute lulls cov me nyuam sib sau puas xibtes npog lub dawb nrog ib lub teeb tes cia cov lus nyom scanty lo lus ntawm cov lus to taub txog dragging yuav mirrored nyob rau hauv cov huab hla lub caij nplooj ntoos hlav Traversed los ntawm cov dej kab laug sab ntawm kev ntseeg.
Muaj ib txhiab txoj kev hla lub Arno rau lub Ponte Vecchio menyuam cov dej circumvent nyob rau hauv lub arches los yog raws tus khw arcade Gorge ib tug kheej rau lub brimborions noj los yog waver tom qab tawm hauv lub taverns muab lo lus thiab ntuav rau lub implacable glare ntawm ib hnub yeej victorious.
Nteg muaj cov dawb marble them rau sweat thiab ntshav nws yog ib daim zais cia zajlus ntawm puag rau saum toj kawg nkaus los saum toj no dab tsi los ntawm kuv tham txog cov alpha thiab omega ntawm lub porches ntawm lub bouges ntawm tus mercy ntawm rab riam Cog ncaj nraim rau hauv lub tswb ntawm tus txiv neej charcoal txiv neej mariole nrog lub sib sib zog nqus lament npaj muab pov tseg nws tus kheej rau hauv lub caj npab ntawm lub xeem plantigrade.
0 - 40 - Tag nrho
40 - 82 - Tsis muaj dab tsi qhov ntev yog tag nrho los yog tsis muaj dab tsi tsuas yog rau lub minstrel vocalizations lub cev contrast to nws tus duab ntxoov ntxoo Asxis hla lub teb rau sidelining dab tsi cov sculptor tshuav nqi rau lub patron Flourishing tsis harming nws tus kheej Shattered fittings ntawm lub hauv siab ntawm secrets ua hauj lwm ua Pietà ntawm dab tsi pob zeb txhais tau tias peb txhais tes clasped nyob rau hauv lub alleys ntawm lub tojntxas kawg ntawm lub ceremony rau Ib nrab-lo lus tsis veil the moaning viol cia tawm ob peb cavernous suab zoo li cov grain ces muab pov tseg rau ya ntawm lub harvests tuaj.
1403
Pâles échos d'une parfaite nudité
Que grandie d'une main au destin unique
La certitude lyrique
Du dedans du dehors
De quelques mots
À la fine ramure
Déposés dans le noir terreau
Des vapeurs éternelles.
En effet
Voyants allumés sur le tableau de bord
Je mène la conscience des trésors perdus
Au pilon des indifférences
Pendant que la foule d'après match
Encercle d'un brasier final
La jeunesse brandissant à bouts de bras
Un calicot éternel.
Le sagittaire
Au cœur dedans le reflux
Manquera à l'appel
Du dressé contre le ciel
À chercher l'admirable solitude
Pouvant nous délivrer de cette morale
D'un bond dans le silence
D'une image éternelle.
À gorge soutenue
À même la complainte du monde désenchanté
Un asile de haut vol se dressera
Tel un secret remord
Exalant sa promesse verticale
d'un battement d'aile
Evalué plus dense encore
Que l'oubli éternel.
Bruits de bottes
Visage en douce provenance
Seront les flammes de l'enfer
En sortie de la geôle terrestre
Epatamment trouée de paroles consolatrices
Au péril de devoir rendre jaloux
La plénitude musicale
Du repos éternel.
Folie que tout cela
Au tumulte mental correspond la présence
de cet Univers inexplicable
Bâti à coups de fureur
La baie du laurier
Sous la griffe d'un hoqueteux clavecin
Biffant de son hallebarde pointue
Les feuillets éternels du manuscrit perdu.
1402
Muaj, Koj puas tau zoo tuaj sim cov adventure quab yuam cov zaj ntawm cov congested tsis coj txawv txawv coob uas xam nrog vibrant zaum hauv lub xeem piv txwv ntawm lub caij ntuj no adjournments ntawm lub caij ntuj no.
Teem tej yam uas hais ib tug "Kuv hlub koj"
Ces cia kuv loj-ris li ua ntej ntawm no square ntawm dav hlau ntoo los contemplate cov lus uas sai tuaj.
Besides, koj twb landed Pierrot ntawm kuv noob, Mariane tus Turkish turtledove, qhia kuv txog nws zoo nkauj, kom kuv qhib lub qhov rais.
Koj tsis tau nyiam ntawd npaj txhij txog nkag mus rau kuv lub tsev tsis possessing qhov chaws ntawm qhov ntau dua koj tus kheej, koj cov me nyuam adorned nrog nyuj mirlitons.
Roman tiles ntawm koj ntiv tes lub plawv so xws li xa me nyuam rov hauv lub hnub rau lub moss thiab lichen koj tuav koj txhais tes rau kuv uas kuv grasped tshaj ntawd lub sij hawm allotted.
Reflections ntawm daim iav resting tiv thaiv tsis tau lub xeem kab ntawm chairs tooculate lub teeb me me pom tias yog tus wandering ntawm tus pilgrims.
Kuv mam li eternally cares koj curly plaub hau daj thiab rebellious bun missive uas tau mus txog dhau xav rau lub couvige ntawm lub Escures.
Thaum ntxov begotten Flash ntawm daim ntawv txheej txheem ua ib ob lub neej forget-me-nots dot lub teb chaws Contrary rau lub reproaches ntawm txhua lub neej ntawm nruab nrab to taub txog qhib.
Lightning nyob rau hauv tag nrho no Opera buffa conceived rau lub balcony sai li puas yog abandoned, Constitutes kiag li tsis muaj dab tsi the prey ntawm lub scavengers ntawm lub siab.
Blink yog zoo nkauj thiab rebellious txoj kev xav txog cov overflow ntawm lub gleams uas tas greedy embrace ua tus sacred bosom caij nplooj ntoos hlav forth.
Thiab koj, tus tub ntawm tus vaj ntxwv charcoal, koj khiav lag luam los ntawm tus thawj shivering caij nplooj zeeg moulting mus tam sim ntawd nyob rau yav tsaus ntuj rau lub vigil mloog zaj kwv txhiaj ntawm tus niam tais ntsuab.
Thaum lub rooj sab laj ntawm ob worlds koj Pierrot, koj Mariane Koj tau tus communicators ntawm tus consequent tiling ntawm tus awakened consciousness.
1401