Category Archives: Xyoo 2024

La terre de nos ancêtres

À la divine fête   
Au miroir par derrière   
Le jeune homme de devant    
Fait sien le dieu vivant   
Fine consolation   
Pour un songe à l'immortelle Présence.      
 
Eux, sont les aveuglés   
Séiant forme humaine   
À l'assise de la noblesse   
Leurs vaisseaux bondissant loin des rives   
À la nage le retour près du jour   
Comme feulent les hyènes dans le noir.      
 
Vertige du souvenir   
Que l'âme prisonnière altère   
D'une sombre parure   
L'attente prolongée   
Vertige des lamentations   
Là, près des petites lumières de la maison de l'ogre.        
 
Hors les cariatides du délice   
Pampres et jambons à foison   
Culminent à céans   
Tels porteurs de torches   
Glissando de rêve   
Se propulsant vers l'outre tombe.      
 
Le silence ronge   
Au front penché la démesure   
Au loin les jardins couverts de givre   
Aux fraîches fontaines la glace craque   
Devant la morsure d'une musique des rues   
Un loup gémit.      
 
Dépité   
Dépouillé   
Au désert les mains tendues   
À jouer de la flûte   
Le soleil exaspère   
Le sable infini de son éternel déploiement.      
 
Tout diffère   
Même les chants   
À la note fragile de la soprane  
Montent et brisent le verbe   
Audace de l'énergumène   
À combler le vide par l'éveil.      
 
Les yeux ont paupières lasses   
Sans le mépris de l'audace   
À voilure basse   
Aux propos ajourés   
D'une quête mélancolique   
Font parjure au tourniquet de la grâce.      
 
Une si belle voix   
Là est la mesure   
De la neige qui poudroie   
Quand de la contrainte même   
Monte le regard doux   
Des passagers de l'instant.      
 
Un jour    
Nous entendrons   
Le son du canon    
Les cloches des pestiférés   
Telle douleur atteinte   
Au summum de l'uranium.      
 
Rien   
La terre est sèche   
Le ciel est sombre   
Les dieux usent de subterfuges   
Pour engendrer le brillant de l'offre   
Au caravansérail des catastrophes.      
 
À la source    
Tout se joue   
Au jeu de la crapette   
Les allumettes siéent   
Un cran dessous   
La terre de nos ancêtres.      
 
1410

Être tombé sur terre

Être tombé sur terre   
A fait de nous des frères   
Au moment opportun   
Sans les envois de l'aube   
Hors les liens de famille.      
 
Terre d'imaginaire   
À la mouvance d'un frisson   
Avons inoculé de blancheur   
L'abîme des couleurs   
Au passage du grand fleuve.      
 
De la bonté étendue à la grâce mère   
Quelques accrocs cillèrent   
Sur nos chemins de dentelles   
Ointes de lumière éternelle   
À ne pas choir sur des épines.      
 
Un son subtil s'élève de l'esprit   
Le chant ancien de l'homme originel   
Magnanime et secret   
Gave d'une pincée de susceptibilité   
L'amour de la Sainteté.      
 
Épargnons l'architecture   
De toute demi-mesure   
Pour coiffé de la bourguignotte   
Presser le dragon des ancêtres   
Aux lieux calmes dedans comme dehors.      
 
Cérémonie du flair   
À la moindre liberté   
Sans être la risée de tous   
Il fût bon de prendre la main   
Quand gargote badigeonnée de cendres.      
 
Bienveillance de la page vierge   
Terra incognita pour la Gygantostéologie   
Il fût aisé de perdre ses moutons   
Quand enclos cassé   
Vieillir au plus près de soi.      
 
Les oiseaux au bec jaune   
Narraient leur aventure   
Aux fleurs de lotus    
Pour houppes au vent   
Tordre le cou au crapaud de la lune.      
 
Située près des falaises   
Pensée souveraine recouverte de rosée   
S'élevèrent hors la nuée   
Les rêves de fer les rêves de mer   
Sans que lanterne apparaisse.   
 
Fureur du vent   
Vigueur des nuages   
Montèrent des brumes océanes   
Le clair accord avant l'envoi   
D'être des enfants pour toujours.      
 
L'eau qui gèle devient glace   
La glace en fondant redevient eau   
À même de fendre la montagne   
Au va-et-vient des poussées de la terre   
Sans nécessité de renaître.      
 
À fuir les mondanités   
Le monde s'ouvre   
Sans appui sur les opposés   
À se demander   
Si les chiens errants voudraient encore de nos biscuits.      
 
1409
 

La tour d’habitation

Il s'était égaré   
Au commun des mortels   
À rassembler le ciel   
Par branches éperdues   
Tout autour du bloc aux hirondelles.      
 
Et tout s'était tu   
La méfiance comme douce fleur   
Sur le chemin long   
À la pente rude   
Vers le douzième étage où nous demeurions.       
 
Fidèle et pur   
Seul le chaos pouvait nous faire advenir   
Avec burins et drilles   
À la volée dispensés   
Au risque de sa vie.      
 
Pure était la source   
De ces années passées   
À contempler le vide   
Obstacles débiles et lumineux   
Accrochés aux moulures de l'esprit.      
 
Les pirouettes n'y pourront rien   
À ce cœur confus   
Que la raison exaspère   
Au corps à corps avec l'absolu   
Brigand de nos âmes perdues.
 
Au sein des choses douces   
À la parabole consentie   
S'alignent engeance rare   
Les ventres pleins et chauds   
De la sortie de table.      
 
Les cauris ont jailli   
Blancs et bleus à la fois   
De la couleur du lait parfois   
Éparpillés sur le formica   
À l'aveugle comme fleurs de neige.      
 
Les dents grincent   
Aux portes-fenêtres les voix débordent   
D'un rire de pastourelle   
Faire d'une boule de shit   
Le mortier des aspirants.      
 
Au creux de la sébile   
Avons recueilli les grains de sable   
Évacuation tardive du sang des justes   
Tout chargé de paille   
Au profond de nos sabots.      
 
Je réclame le petit poème de trop   
Celui qui jeté par dépit   
Rebondira sur la dalle   
Aux sandales vagabondes   
Vers le mastroquet des soirs d'hiver.      
 
Rien de spécial   
Juste l'avenant au texte sacré   
À gérer remède prescrit   
Comme perle de valeur inestimable   
En fin de nuit comptable des autres.      
 
Comment peut-on faire   
Le tour et les détours   
De la tour extraordinaire   
Si ce n'est tirer la flèche  
Vers la lune sans visage.      
 
1408

Comme il était content

Comme il était content
De transporter sans rien éliminer
Le chaos de son corps
À la merci du laisser vivre
Face au regard qui absorbe
Au risque d'une ouverture
Ardente copie du laisser faire.

Appelée l'Inspiratrice
Au bon accueil de sa reconnaissance
L'homme aux sept orifices
Fût sailli par la bienveillance
À l'œuvre d'un encapuchonement
Finement tendu
Par la granule du temps qui passe.

Si proche par ailleurs
Et pourtant indolente épouse
Que la pièce de tissus couvre 
D'une texture légère
Au vent venant soulevée
Chaussée de ballerines
À même les os glacés de l'amertume.

À perte de vue
Ce que disent les gens
Au clic-clac des convenances
Pourrait prendre recul
Pour l'auteur du parler vrai
Si bien nommé
Dans l'ombre de l'amitué.

À l'arbre d'endurance
J'ai remisé le paquet
Pour printemps à l'aller 
Faire liberté
Des poussières et des herbes
Puis coup d'œil vers les nues
Préparer l'attelage.

Décrue lente pleine d'innocence
Âme naïve amenée sur la terre noire
À chaque pas reconsidérée
J'ai entendu le son d'une cloche
Mystérieuse tenancière du cabaret des amoureux
À point nommé
Proposer au poète une assise éternelle.

1407

Se réveiller

Se réveiller en fin de séjour
Les mains en coupe offertes à l'avenir
Sous les nuages pareils à des bourgeons
Que la mémoire lisse.

Changer d'air
Et vouloir fleurir
Les cairns du chemin
Que nos ancêtres proposent.

Retrouver l'origine
À quelque fois le bonheur est bon
Parmi le monde
Où dodeliner de la tête.

La promenade a duré le temps d'une vie
Pour m'y accoutumé
Ai chaussé les images promises
Amenées sans que réponses soient données.

Les gisants de Brou ont bel atour
Caresses de l'intime aux vantaux ouverts
La voûte vide apparue
Souffle rongée par son dénouement.

À l'auberge on paye d'avance
À se méfier du temps venant
Qu'on étale sur la table de bois brut
Futur dévoilé comme crêpe sautée.

L'étendue est immense
Par le trou de serrure
Le ciel est regardé
Étoiles de silence.

Dessinant le contenu
Des montagnes mon ouvrage
J'ai cru que crier était la solution
Alors que dérouler la pensée est finitude.

Au familier accord
Des nuques courbées
Les épis de la Saint-Jean
Ont dressé le pavois des matins fauves.

Rassemblés sous une pluie de flèches
Avons couru vers l'abri des mousses rousses
Ô magique évocation d'un soir de noces
Dans la cité des fleurs.

Plus bas
À contempler le noueux des ouvertures
Avons couper l'élan
Du dragon splendide

Trou
par excès d'amour
L'herbe folle
S'était commuée en battant de porte.

1406


Le langage des anges

Souvent de vivre là   
Dans le tourbillon des mots   
Accapare le flux et le reflux   
Des pages belles d'une écriture l'autre.      
 
Tremblantes pensées   
Égosillées à la veillée   
Elles ont bâti des montagnes   
Et fait s'écrouler maints refuges.      
 
Tendant les bourgeons d'amour   
Pour plus ample connaissance   
Il est arrivé que les parfums du printemps   
Prennent pied dans l'ardente brûlure.      
 
Ô visage des orages   
À la porte des forges   
Grondat par vagues marines   
Le rire du destin.      
 
À renoncer ne puis me soustraire   
Qu'en odeur de Vérité   
Au balcon des alpages   
D'admirer le canal des Lumières.      
 
Quand calme survenu   
À la grâce contenu   
Vous êtes le bois bûché   
Des soirées partagées.       
 
Baignant dans la brume   
Se glissant comme serpent   
Les figurines d'Épinal   
Font bercement mignon au vent d'autan.      
 
Au loin les baies sauvages   
Avalent gouttelettes permises   
Tiges narrant par le menu   
La bravoure du Maître des lieux.      
 
Féerie du bijou à l'oreille de la jeune fille   
Par grappes bourdonnantes   
Les poils hurlants de l'animal    
Tissèrent coquille sage pour le bernard-l'hermite.      
 
À bruire sans soucis   
Le fouet du tonnerre   
Fît bomber le torse de l'athlète   
Ceint du cuir des audaces.       
 
Ainsi se dévoilait le Futur    
L'oblique précipité des saisons se croisant   
Quand dans une fraîcheur allègre   
Montait la douce voix da la biche.      
 
Primesautière   
À l'étreinte tendre   
Tout chancelle   
Sur Terre le langage des anges.      
 
1405

Parure gracieuse

Corne de bombance   
Antique désir   
De voir surgir ces heures à se repaître   
Du dévalement des brusqueries végétales.      
 
Au doux crû de l'ombre une promesse   
Parure digne de grâce   
Grappe fraîche   
Au sortir de la brûlure.      
 
Cornée par le dessus   
Gorge nue   
Elle a émis   
L'Esprit de Vie.      
 
Ne plus entendre les enfants   
Sur l'arbre mort abattu par grand vent   
Il a fallu tergiverser   
Pour accéder aux cris des hirondelles.      
 
L'abeille bourdonnait   
En vrillant de sa trompe   
D'ordre et de mesure sienne   
Le tronc râpeux du caverneux.      
 
Des entrailles à vif   
Là où perle le dedans    
Siégeait silhouette sage   
La promise au chant nuptial.      
 
Là dans la vaste prairie   
À la perfection sans une plainte   
Les traces des lapins   
Quadrillaient le rosée.      
 
Quel bonheur   
De prendre image en paysage   
Pour sien   
Jusqu'à parfaire son destin.      
 
Toute première image   
En rétribution de la beauté   
Les feuillages bruissaient   
Le long de l'allée.      
 
Le ruissellement de l'eau   
Le parfum des haies sauvages   
Aux violettes cachées   
Le mousseron contait fleurette.      
 
Le silence absolu détachement   
Au loin les chemins s'écartaient   
De l'orée de la maison   
Trois poules caquetaient.      
 
Le cœur pur de tout effroi   
Passant le bras derrière les omoplates   
Il fût question d'ameublir le sol   
Pour plus d'émotions encore.      
 
1404

Prière florentine

Lub Log Cave Decal ntawm ib Wandering ua.      
 
Emerging ntawm tus fainting cia nws coj kuv los ntawm lub caj pas no emptiness ntawm 40 thaum 82 Maivliag thiab Maivliag ntawm niam tuag.      
 
Carrara marble tsis nkaum cracks rau tej hunter Ex-hunter ntawm dab tsi yog hais kom grasp tus duab ntxoov ntxoo tsis tos rau lub prey.      
 
Tus collarbone muaj nyob rau hauv cov rubble stir tuaj rau rubble ntawm lub Apocalypse mus nrhiav tus poj niam-Christ Eternal affliction ntawm lub rooj vag ntawm tsis.      
 
Kuv hnov tias tus dais Bianca yog loj hlob siab thiab licking nws cheek ces belly hauv lub hnub Rolling hauv plua plav.      
 
Txhua yam yog puas nyob pietra Alba Grave yog tus sorrow ntawm tus survivors dab muaj slashed teb nws muaj cam khwb cia cov txiv roj ntoo rau cov plaub cua nteg bare entrails mus txog rau thaum nws kis tau nws txhais tes hla lub di ncauj ntawm cov tuag thiab cov sponge rau lub foreheads ntawm tus nyob.      
 
Me txiv neej uas calloused tes saib lub pob zeb uas muaj nws tus kheej the tombstone uas opens txoj kev raug ntaus los ntawm cov gust.      
 
Underneath lub zos uas yog tsis muaj lub zos hauv qab no nrog nws cov underground zaj uas lub suab ntawm tus flute lulls cov me nyuam sib sau puas xibtes npog lub dawb nrog ib lub teeb tes cia cov lus nyom scanty lo lus ntawm cov lus to taub txog dragging yuav mirrored nyob rau hauv cov huab hla lub caij nplooj ntoos hlav Traversed los ntawm cov dej kab laug sab ntawm kev ntseeg.      
 
Muaj ib txhiab txoj kev hla lub Arno rau lub Ponte Vecchio menyuam cov dej circumvent nyob rau hauv lub arches los yog raws tus khw arcade Gorge ib tug kheej rau lub brimborions noj los yog waver tom qab tawm hauv lub taverns muab lo lus thiab ntuav rau lub implacable glare ntawm ib hnub yeej victorious.      
 
Nteg muaj cov dawb marble them rau sweat thiab ntshav nws yog ib daim zais cia zajlus ntawm puag rau saum toj kawg nkaus los saum toj no dab tsi los ntawm kuv tham txog cov alpha thiab omega ntawm lub porches ntawm lub bouges ntawm tus mercy ntawm rab riam Cog ncaj nraim rau hauv lub tswb ntawm tus txiv neej charcoal txiv neej mariole nrog lub sib sib zog nqus lament npaj muab pov tseg nws tus kheej rau hauv lub caj npab ntawm lub xeem plantigrade.      
 
0 - 40 - Tag nrho   
40 - 82 - Tsis muaj dab tsi qhov ntev yog tag nrho los yog tsis muaj dab tsi tsuas yog rau lub minstrel vocalizations lub cev contrast to nws tus duab ntxoov ntxoo Asxis hla lub teb rau sidelining dab tsi cov sculptor tshuav nqi rau lub patron Flourishing tsis harming nws tus kheej Shattered fittings ntawm lub hauv siab ntawm secrets ua hauj lwm ua Pietà ntawm dab tsi pob zeb txhais tau tias peb txhais tes clasped nyob rau hauv lub alleys ntawm lub tojntxas kawg ntawm lub ceremony rau Ib nrab-lo lus tsis veil the moaning viol cia tawm ob peb cavernous suab zoo li cov grain ces muab pov tseg rau ya ntawm lub harvests tuaj.      
 
1403
 

Eternal Octopus

Pâles échos d'une parfaite nudité   
Que grandie d'une main au destin unique   
La certitude lyrique   
Du dedans du dehors   
De quelques mots   
À la fine ramure   
Déposés dans le noir terreau   
Des vapeurs éternelles.      
 
En effet   
Voyants allumés sur le tableau de bord   
Je mène la conscience des trésors perdus   
Au pilon des indifférences   
Pendant que la foule d'après match   
Encercle d'un brasier final   
La jeunesse brandissant à bouts de bras   
Un calicot éternel.      
 
Le sagittaire   
Au cœur dedans le reflux   
Manquera à l'appel   
Du dressé contre le ciel   
À chercher l'admirable solitude   
Pouvant nous délivrer de cette morale   
D'un bond dans le silence   
D'une image éternelle.      
 
À gorge soutenue   
À même la complainte du monde désenchanté   
Un asile de haut vol se dressera   
Tel un secret remord   
Exalant sa promesse verticale   
d'un battement d'aile   
Evalué plus dense encore   
Que l'oubli éternel.      
 
 
Bruits de bottes   
Visage en douce provenance   
Seront les flammes de l'enfer   
En sortie de la geôle terrestre   
Epatamment trouée de paroles consolatrices   
Au péril de devoir rendre jaloux   
La plénitude musicale   
Du repos éternel.      
 
Folie que tout cela   
Au tumulte mental correspond la présence   
de cet Univers inexplicable   
Bâti à coups de fureur   
La baie du laurier   
Sous la griffe d'un hoqueteux clavecin   
Biffant de son hallebarde pointue   
Les feuillets éternels du manuscrit perdu.      
 
1402

Awakened Consciousness

Muaj, Koj puas tau zoo tuaj sim cov adventure quab yuam cov zaj ntawm cov congested tsis coj txawv txawv coob uas xam nrog vibrant zaum hauv lub xeem piv txwv ntawm lub caij ntuj no adjournments ntawm lub caij ntuj no.      
 
Teem tej yam uas hais ib tug "Kuv hlub koj"   
Ces cia kuv loj-ris li ua ntej ntawm no square ntawm dav hlau ntoo los contemplate cov lus uas sai tuaj.      
 
Besides, koj twb landed Pierrot ntawm kuv noob, Mariane tus Turkish turtledove, qhia kuv txog nws zoo nkauj, kom kuv qhib lub qhov rais.      
 
Koj tsis tau nyiam ntawd npaj txhij txog nkag mus rau kuv lub tsev tsis possessing qhov chaws ntawm qhov ntau dua koj tus kheej, koj cov me nyuam adorned nrog nyuj mirlitons.      
 
Roman tiles ntawm koj ntiv tes lub plawv so xws li xa me nyuam rov hauv lub hnub rau lub moss thiab lichen koj tuav koj txhais tes rau kuv uas kuv grasped tshaj ntawd lub sij hawm allotted.      
 
Reflections ntawm daim iav resting tiv thaiv tsis tau lub xeem kab ntawm chairs tooculate lub teeb me me pom tias yog tus wandering ntawm tus pilgrims.      
 
Kuv mam li eternally cares koj curly plaub hau daj thiab rebellious bun missive uas tau mus txog dhau xav rau lub couvige ntawm lub Escures.      
 
Thaum ntxov begotten Flash ntawm daim ntawv txheej txheem ua ib ob lub neej forget-me-nots dot lub teb chaws Contrary rau lub reproaches ntawm txhua lub neej ntawm nruab nrab to taub txog qhib.      
 
Lightning nyob rau hauv tag nrho no Opera buffa conceived rau lub balcony sai li puas yog abandoned, Constitutes kiag li tsis muaj dab tsi the prey ntawm lub scavengers ntawm lub siab.      
 
Blink yog zoo nkauj thiab rebellious txoj kev xav txog cov overflow ntawm lub gleams uas tas greedy embrace ua tus sacred bosom caij nplooj ntoos hlav forth.      
 
Thiab koj, tus tub ntawm tus vaj ntxwv charcoal, koj khiav lag luam los ntawm tus thawj shivering caij nplooj zeeg moulting mus tam sim ntawd nyob rau yav tsaus ntuj rau lub vigil mloog zaj kwv txhiaj ntawm tus niam tais ntsuab.      
 
Thaum lub rooj sab laj ntawm ob worlds koj Pierrot, koj Mariane Koj tau tus communicators ntawm tus consequent tiling ntawm tus awakened consciousness.      
 
1401