En plein feuillage Point d’ordre protocolaire Mais néanmoins un large panorama Sur la montagne et ses éboulis Progressant en lacets Vers la paroi de roc ferme.
À vue d’œil Le cadran fiché dans la verdure Inexorablement Rabattait ses housses Et bouclait ses grilles Avant de plonger dans les abysses.
Planté de guingois Surmonté d’un nid de pies Le bancal de la situation N’avait d’imbrication dans le réel Qu’à l’aune des arrière-cours Proches de l'ivresse somnolente.
Point de portes secrètes Dans cet accoutrement de verdures Si ce n'est Le rencontrer Bouquet de fleurs à la main En narrant par le menu Le destin de Verdurin.
Au triple galop Nous avons poussé le coursier des états d’âme Hors des sentiers oublieux Désinvolture inepte Pour s’occuper de soi Et chanter la nuit au clair de lune.
Blanche était notre foi En cette vie multiple Où la recherche de la gloire Occasionne forces plaies Alors que de passer son chemin Nous fait penser seul et mourir seul.