Mon pavillon possède quatre entrées

    Celle de l’écrit qui inscrit le concept en rompant le mystère du rhapsode,

Celle du blanc ligneux chargé de la sueur ouvrière,

Celle de la trame tissée qui fait émerger le palimpseste de l’empilement des connaissances

Et celle blanche de la fin de course, blanche puisqu’ouverte en vacuité à ce qui sera.

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