Se suivent en se taquinantles roses montéesde l'espéranceà la pointe de l'indexlà où le désir légifère. Il n'est de romanceque la lente coulée des lavesle long des bougainvilliers de l'espritô pochade de l'enfance ! Assagi au contact de la plaiel'obligé mariagegeignait d'avoir à êtrealors qu'il avait déjà été. Serment vrai de la nuiten sa lune ascendantel'errance invite la peursans que le hasard se mêle. A la décoction des songesau décaméron des rondeursà la hune du voilierle vermillon prolonge ses coulures de sang. Affligée d'être le rivald'un courageux bravachela tâche des imprécationsfût de solliciter l'inaccompli. Émargez de votre âmele passage des oiesaugure du regard lasde la montée des foules au printemps. Ne vous méprenez pasil y aura de l'avoine à foisonpour que l'araire salvatrice des pèlerinsse prête à la malice. Égarez-vousmais sans vous méprendreau bois joli des mirlitonsle corps en pâmoison. Les haruspices dédiées au pourvoyeurles lucanes crissèrentd'un élan chamarréde coques de noix dispersées. Étrange passanteau gré des soûleries de printempsnous pûmes rejoindre le campementsérieusement atteints par la rebuffade. Elle avait le goût des fraises sauvagesla roseraie de mes amourset le vent qui soulevait ses tresseslaissait filtrer l'onde de son miroir. 712