Devant la montagneau plus prèsmarque déposée de l’œil du cyclopesoleil en apesanteursous les nuées de janvier.Il fût un tempsde promenades en chemins creuxau hasard des mirabelliersmaraude des souvenirsvirevoltant comme feuilles mortes .Ensuite vint le lourd passage des charroisà déterrer les dalles gallo-romainesà déceler les regardspar dessus la haie ;échange des fleurs d'églantier.Ainsi se videntles outres du ventsur le plateau des vacationsà nourrir le foyer d'une amitiéqu'un vol d'oies sauvagesne saurait dérober .180