Il pleut, ma mèreet ne puis rien retenirpas même la nuitque hante la dame blanche.Il fait silence, mon pèreen caresse des pâturagesl'ombre recouvre la lumièrepar cette fin d'été.Çà craque dans l'arbrede l'enfant un appelpour que mission s'accomplisseavec le retour du fils.La patte de l'oursposée sur mon épauleachève de démêler l'écheveauen bonne gouvernance.S'emplissentdes lampées de l'Espritles jarres de vin nouveausans que franchir le guén'augure des odeurs de jasminpar temps de piétéen pleine ascensiondu jour absolu.824