Haute horlogedes montées de sève, sur les dalles la marcherompt le souffle de la bête. Se recueillent les frèressous leurs capuches de bureprès du baptistère, refuge des chrismés. Suppliantes, les âmes volettententre les piliers de la nefabeilles bourdonnantes en crépusculela nuit bientôt de silence présente. Les ancêtres seront honorésle pain rompusur les dalles propitiatoiresdes mondes soupirants. A même le solvivante lumièreaccordée à celles des autreselle reste là quand rien ne reste. 413