Nous voulons
tous le bonheur et nous avons tous découvert que ce qui nous donne le plus
grand bonheur est l’amour. Aussi nous semble-t-il que vivre en couple est la
forme d’amour la plus tangible et la plus élevée que nous connaissons et
désirons .
Cependant, tant
que les personnes ne sont pas connectées à leur propre nature originelle et
profonde, à leur nature spirituelle, le couple comme lieu du bonheur et de
l’amour ne peut être qu’un mirage .
Toutefois la quête
d’amour si petite soit-elle est déjà de l’amour qui cherche à s’exprimer dans
le grand jeu de la vie, dans le grand jeu de la croissance de l’être humain .
L’objectif vital
consistera à voir dans cette aventure spontanée et souvent irrépressible, qui
pousse l’individu vers une protection inutile, une manifestation de l’amour.
Une fois tombés les voiles du repliement sur soi, des bastions de peur et de
ses retranchements, il faut du temps à l’individu devenu attentif pour aller
d’un pas convaincu et décidé vers “plus grand que soi” afin de transformer
ces freins en amour et prendre le risque de contacter la nouveauté .
Il s’agit de voir
le couple comme le lieu où peut se jouer une démarche de libération, démarche
où la conscience au travail s’extrait de son enfermement .
L’alchimie du
couple, comme creuset de la rencontre entre l’amour humain-animal et le
“plus grand que soi”, nous oriente vers la construction du “bel
ouvrage de sa vie” fait de gratitude, de compassion, de patience, de
créativité, de joie, d’humilité, de puissance et de sagesse mêlées. Cet
assemblage nous convoque alors à prendre notre juste place dans le monde, pour
plus d’équilibre personnel et d’harmonie à deux, afin de poursuivre notre
chemin .
Cette action dépasse le cadre strictement individuel pour nous fondre à un niveau planétaire où il n’y aura pas de paix dans le monde tant qu’il n’y aura pas de paix entre les sexes .
Il était une fois, très loin d’ici, dans un pays couvert de sable à l’infini, une princesse, qui se désolait de vivre dans un milieu si aride .
Il y avait du sable tout autour du palais, du sable dans la cour, du sable dans sa chambre, et même ses jouets étaient en sable.
Et si un courant d’air passait, tout objet disparaissait alors recouvert de sable.
Tout était sable .
Mais, un jour qu’elle se promenait sur les remparts, elle fût surprise de ressentir sous sa pantoufle de vair une dureté inhabituelle, quelque chose de différent du sable .
Elle se baissa et ramassa un curieux petit objet tout dur.
Ô ciel ! un petit caillou ovale.
Elle le prit entre le pouce et l’index, et souffla dessus.
Un bruissement d’ailes se fit entendre, le caillou éclata et un oiseau en sortit .
L’oiseau se mit à grandir rapidement jusqu’à devenir plus grand qu’elle.
Elle monta alors sur le dos de l’oiseau pour s’élever dans les airs.
Elle survola le royaume de son père et vit toute cette gigantesque étendue de sable.
Celà la rendit très triste à tel point qu’elle pleura tant et tant que ses larmes se transformèrent en pluie.
Une pluie qui semit à tomber partout sur le royaume pendant des jours et des nuits.
Et cettepluie était merveilleuse car chaque goutte était un sourire d’enfant.
Le grand oiseau se tranformait en un immense arrosoir que la princesse dirigeait avec beaucoup de sérieux et de plaisir à la fois .
Le désert de sable devint alors une verte campagne avec des prairies, des bois, des lacs, de nombreux animaux et des champs dans lesquels les paysans travaillaient en chantant.
Tout était joie .
Losque l’oiseau ramena la princesse en son palais, un beau jeune homme l’attendait avec une couronne de fleurs plus belles les unes que les autres qu’il déposa sur sa tête de princesse pour la faire devenir reine .
Détendez-vous ... Détendez votre corps, chaque partie de votre corps ... Soyez établi en vous-même, ici et maintenant ... Sans effort ... Ici et maintenant ... Soyez ici et maintenant ... Laissez passer les pensées qui surgissent, comme des petits nuages dans un ciel serein ... Ni rejet, ni appropriation ... Accueillez sans refus les associations d'idées ... Sans vous identifiez à elles ... Laissez passer ... Vous ressentez une crispation, une douleur dans un membre ... Contemplez sereinement cette légère souffrance ... Elle disparaît ... Elle s'aggrave au contraire si vous vous contractez ... Détendez-vous ...
Ouvert / Fermé Qu'est-ce qui meurt ? Ce corps qu'on va brûler ou qu'on va enterrer et qui va se décomposer Je ressens la force de ma Personne, qui est bien plus que ce corps . Je suis esprit me fondant dans l'Esprit éternel qui transcende ce corps qui naît et meurt . Une grande et peut-être unique liberté dont dispose l'homme, c'est de s'identifier ou non à ce corps . 073
Etre ici et maintenant, dans l’acceptation de ce qu’on est ; comme
de reconnaître et accueillir que je ne suis pas disponible à telle ou telle
personne ou dans telle ou telle situation .
Deuxio, comme “charité bien ordonnée commence
par soi-même” : s’aimer, s’aimer “soi”. Aimer ce qui en soi
se ferme vis-à-vis de l’autre. Aimer la fermeture .
Puis : Voir, et faire que le paradoxe apparent
s’ouvre pour aboutir à aimer l’autre .
Ou
“autoproduction” , ou “autopoïésis”. Système
organisationnel développant la capacité de s’autoproduire de façon permanente
en faisant référence à soi comme étant la propriété essentielle des systèmes
vivants .
Elle complète ou
s’oppose à la “première cybernétique” qui marque l’ajustement et la
dépendance de l’homme à la machine. Plus prosaïquement, la première
cybernétique constitue l’ensemble des théories relatives aux
communications et à la régulation entre l’être vivant et la machine .
La seconde
cybernétique réintroduit la notion du “sujet” dans la compréhension
du vivant . La discrimination du “soi” et du “non-soi”
constitue la propriété fondamentale d’établir une relation avec
“soi-même” dans, par et malgré la relation avec l’autre, l’extérieur
.
L’être vivant en
s’auto-organisant se crée lui-même .
Le retour récursif
à soi, à l’ “autos”, ouvre le champ des possibles, de la créativité,
de l’éthique .
J'aime ton sourire mésange sur ta main posée s'élève le regard vers un ciel de graines mûres sans regret sur le papier crépon j'épelle ton nom Léonore bleu saphir de tes cils syllabiques je refais le monde ta marche cantatrice évide le ventre de mon attente tes bras levés sont la promesse d'un rituel épousé j'aime ton sourire mésange sur ta main posée s'élève le regard vers un ciel de graines mûres passent le vent et les soupirs tisse l'étole de l'élan courbe le cep contre la terre pour un jour nouveau réajuster le regard Léonore bleu saphir de tes cils syllabiques je m'éprends car te sais libre .
Le fait de le tenir à la main évoque la maîtrise de
l’énergie du milieu qu’on souhaite développer .
Dans le triple monde, du corps, du langage et de
l’esprit, il y a place à la félicité qui surgit. Ligne de feu. Partage et
contenance .
Le canal central est immersion dans la tourbe du
mental. Détachement complet, il est pénétration de la conscience. La
distinction entre le sujet et l’objet s’éclipse .
Trace rouge, soleil et lune confondus, le Souffle
vital et le Mental cessent d’errer .
Trace rouge, voie du vide, voie du milieu,
engagement à la réalisation de la
Vacuité .
Chemin initiatique du noir goudron à l’émergence
du blanc céruse, son contraire, par adjonction de lumière avant la montée vers
la trace rouge, ultime effort à s’extraire du marigot des polarités pour
accéder à la non-dualité .
De la terre s’élève l’énergie vitale, provenant d’un sol stable et
horizontal. Il y a étirement des membrures de l’être végétal. Celui-ci se dote
d’une présence corporelle qui devient forme d’incarnation. Et cet être-arbre là
représente l’esquif permettant de traverser l’océan des mondes subtils sans y
sombrer .
Quant au soleil se frayant un passage entre brume
et ramure, il adombre cet être-arbre là. C’est la descente de l’Esprit. Aussi
haut que soit monté l’astre, le jour précédent, il finit par redescendre. La
tête tombe dans le coeur .
Au centre de la butte la colonne verticale plantée
en commémoration d’une fête patriotique, marque la fausse verticalisation de
notre état d’être-animal social prompt à légitimer toute édification de notre
faiblesse à l’encontre de la finitude qui nous accable, pour en faire un
monument, un assemblage de mots qui mentent, et ce, afin de cacher notre nudité,
afin de voiler le bel agencement de nos possibilités à nous développer .
La rencontre de l’arbre et de la lumière est le
moment de la connaissance de l’ultime parole pour, adressant un petit signe de
la main à nos enfants, nous inscrire par degrés, à pas lents et réguliers, vers
ce qui nous contient et nous oriente .
Pagbibigay ng edukasyon sa sarili sa okasyon ng isang kamag anak, ng isang lugar, ng isang panahon, ng lokal na kulay, ng isang sosyo-kultural na background.
Pagbibigay ng edukasyon sa sarili dahil ito ay ginagawa, at na derogating mula sa obligasyong ito ay maaaring putulin ka mula sa panlipunang pagsasama, ng mga ordinaryong, ng pagsingit, ang pagkakataong magkaroon ng matagumpay na buhay, ng normalidad.
Kaya hinayaan ko ang sarili ko na makapag aral. Isinuot ko ang panty ko sa mga bench ng school. Masunurin, Natutunan ko kung ano ang kailangan upang gawin tulad ng iba, para mabuhay. Anuman ang kinakailangan, pinatahimik ko ang aking mga impulses sa societal mold. Nagkaroon ako ng mga asawa at anak. May mga apo na ako. May bahay at pagkain ako. At pagkatapos ay binigyan ko ang aking sarili ng isang pahiwatig ng orihinalidad na bumubuo sa aking personalidad, narcissize lang ako sapat na hindi maging tupa ng isang Panurge.
Itinayo ko ang aking sarili sa lilim ng aking bayan, Isang sibilisadong bansa kung saan ang social security at retirement pension ay nagbibigay sa akin ng isang bagay upang tamasahin ang kilala bilang isang pahinga, Isang nararapat na katahimikan !
Sa lilim ng aking puno, Hinihintay ko ang kamatayan.
Pero patay na pala ako.
Nabigo ako sa buhay. Hindi ako nagulat sa buhay.
Hindi ko ito ipinahayag bilang isang pagkuha ng panganib. Hindi pa ako nakakabiyahe. Hindi ko pa kilala ang ibang mga tao sa mundo. Hindi ako pinabayaan ng mabibigat na pagsubok. Nagawa kong panatilihin ang pagdurusa sa loob ng matitiis na limitasyon.
Marami na akong nabasa at napanood sa telebisyon at ako ay “Sa mga alam” ng maraming bagay ! Mabait ako sa mga tao ! Iniligtas ko ang aking sarili upang mabuhay hangga't maaari at sa medyo mabuting kalusugan !
Ito ay sa puntong ito ng opacity ng aking pag uugali na ang Iba pang mga nagpakita sa akin, parang bagyo sa magandang araw ng tag init, sa pagpilit sa akin na tingnan ang isang bagay na ito ng pagkakasunud sunod ng matalik na pagkakaibigan at higit pa sa aking simpleng buhay. At ang bagay na ito na wala sa oras at espasyo ay humahabol sa akin sa pamamagitan ng paghila sa akin sa pamamagitan ng mga basques : ” Hoy, Coconut, Hindi ka naman makakaalis ng ganyan, kailangan mong magbayad kasama ang iyong tao ! “
Ngunit sino ito ? Akala ko ako ay isang simple at hindi nagpapakilalang ordinaryong indibidwal, Maaari ba talagang ako ang pinag uusapan natin ?
Oo nga. Ako ay tinatanong ; Ako ay pinahihirapan at inaamin ko : ” Ako ay isang Tao “.
Isang Tao na may Pangalan – Hindi lang pangalan ng national ID card ko – , isang pangalang nakaukit sa isang lugar sa Uniberso ;
May katawan ako, isang puso, Enerhiya, isang psyche, isang napaka kaluluwa na humaharap sa akin ng isang bagay na hindi ko maintindihan nang mabuti, animates sa akin at summons sa akin upang matugunan ito mas malaki kaysa sa aking sarili – at gayon pa man alin ang nasa akin – , para salubungin ang Surprise,
Ebidensya mula sa ibang lugar, may mga nagsasabi na ang Espiritu. Ako ay tunay na isang kasalukuyang tao ; Ako nga ba ” Presensya ” .
Langit, Buhay na buhay ako ! Nakikita ko at ako ay nabubuhay ! Ginagawa ko ang mga bagay tulad ng mga lakad, Nag ahit ako, nag gym ako, Nagsusulat ako ng mga tula, Ako ang nagluluto, Ang hardin, Ang Chat, mga larawan kasama ang aking mga mahal sa buhay, tawag ko sa, kumakanta pa nga ako, … at heto ako ay nahuli sa ganitong pakiramdam ng hindi kilalang Kalawakan na nakapaligid sa akin, sa pamamagitan ng Misteryo at isang hindi mapigilang puwersa na nagtutulak sa akin na talagang maging ito ang Nilalang na ito ako ; Ang mga pandama, Ang puso, ang kaluluwa at ang psyche malawak na bukas na natipon sa aking Katauhan at nakaharap sa ultimate Adventure.
Ako ay may pananagutan, upang magparehistro sa rehistro ng mga taong nabubuhay sa kalinga. Hindi ko na kaya ang English way. Isang obligasyon upang makamit ang mga resulta catches up sa akin. Mukha. Gawin mo pa ang hakbang na gagawin akong Be.
Tanggapin. Sabihin mo na.
Marahas na gleams streak ang nakasisilaw na maw ng mga ulap, Nahihilo ako sa katarata ng ulan, Ang gintong orb ng isang araw na nahulog mula sa walang hangganang kalangitan ay nalilito ako. Naglalakad ako nang napakalapit sa huling talampas. Sa dulo ng linya.
Ako nga ba ” Tingnan mo “, at …
natutunaw ako … I dissolve ang … Ako nga ba ” Kawalan
” … at, … wala na ako dito.