
" Etre prêt, c'est tout " naissance du divin enfant les pieds dans le gazon Etreinte de Shakespeare pleine d'étoiles à évoquer la romance des souffrances au crépi de l'orgueil trois étages disposés pour démêler l'écheveau de l'imaginaire le temporaire. Le premier celui de l'acrobate dans l'ornière d'une survivance détourant de toute ressemblance le chat et le chien confinés de connaissances puisées en outrecuidance dans la vision fauve que l'autre existe en refus des apparences si ce n'est d'une extrême attention. Le deuxième près de la rivière comme le chant des pierres à baisser le rideau des convenances devant l'évidence des paradoxes filtres majeurs à même la terre invitant à l'harmonie dans la crypte de grès rose les anges à l'écart gambades hagardes sous le goutte-à-goutte d'une pluie circonstancielle. La troisième d'outre tombe dosseret collé au porte-bagages en ouverture d'âme le souffle du buffadou carabosse carapace jeter son dévolu après l'orage pour céleste amitié enjoindre le convoi des hommes et femmes justes au passage de l'aigle dans l'arc-en-ciel des libertés. 1164








